Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info
Rechercher par n'importe quelle lettre



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits... Recherche mots ou phrases tous azimuts... Outil de précision sémantique et de réflexion communautaire... Voir aussi la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats ... Lire la suite >>
Nuage de corrélats : pour l'activer, cochez seulement catégorie et tag dans la recherche avancée à gauche.
Résultat(s): 96562
Temps de recherche: 0.1142s

biophotons

Nous savons aujourd’hui que l’homme, essentiellement, est un être de lumière. Et la science moderne de la photobiologie… est en train de le prouver. En termes de guérison, les implications sont immenses. Nous savons maintenant, par exemple, que des quanta de lumière peuvent initier, ou arrêter, des réactions en cascade dans les cellules, et que des dommages génétiques cellulaires peuvent être pratiquement réparés, en quelques heures, par de faibles faisceaux lumineux. Nous sommes encore au seuil de la compréhension complète de la relation complexe entre la lumière et la vie, mais nous pouvons maintenant dire de façon catégorique que le fonctionnement de tout notre métabolisme dépend de la lumière.



Auteur: Fritz-Albert Popp

Info: https://prlabs.com/blog/biophoton-fritz-albert-popp.html

[ dualité onde-corpuscule ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

biophysique

Ces scientifiques viennent de prouver que l'on émet tous une lueur fantomatique jusqu'à notre mort 

Une équipe canadienne a capté la trace lumineuse invisible que produisent tous les êtres vivants. Une lueur réelle, issue des cellules, qui disparaît presque instantanément au moment du décès.

Une lumière imperceptible qui signe le vivant

Elle est invisible à l’œil nu, mais bien réelle. Une équipe de chercheurs de l’université de Calgary, au Canada, vient de démontrer que tous les êtres vivants émettent une faible lumière, comme une sorte de lueur fantomatique, qui s’éteint lorsque la mort survient. Ce phénomène, connu sous le nom d’ultraweak photon emission (UPE), n’a rien de mystique : il s’agit d’une émission de photons - les particules de lumière - produite naturellement par les cellules au cours des réactions chimiques qui permettent de générer de l’énergie.

Dans toutes les formes de vie, le métabolisme oxydatif - ce processus qui brûle du sucre avec de l’oxygène - libère de minuscules quantités de lumière. Mais cette émission est si faible qu’elle échappe à nos sens, et même à la plupart des instruments scientifiques. Grâce à des caméras capables de détecter un seul photon, les chercheurs ont réussi à la capter, dans une expérience menée sur des souris.

Les animaux ont été placés dans des boîtes obscures à température stable. Deux clichés à longue exposition ont été pris : l’un alors que la souris était vivante, l’autre juste après sa mort. Sur la première image, des points lumineux apparaissent sur tout le corps, plus intenses au niveau des organes, de la tête et des pattes. Sur la seconde, ces lueurs se sont presque toutes éteintes. L’équipe conclut que cette lumière est directement liée à l’activité cellulaire, et qu’elle cesse presque totalement à l’instant du décès.

Une trace lumineuse qui en dit long sur notre état de santé

Ce phénomène, longtemps resté hypothétique, devient aujourd’hui mesurable. Il pourrait bien devenir un indicateur précieux de l’état biologique d’un organisme. Les chercheurs ont également observé des émissions lumineuses sur des feuilles d’arbre. Après avoir été coupées, elles continuaient à briller, et cette lumière s’intensifiait lorsqu’elles subissaient un stress ou un dommage - par exemple avec l’ajout de benzocaïne, un anesthésique.

Ces observations confirment que la lueur fantomatique accompagne les réactions de réparation et les signaux de stress. Mais elle ne suit pas forcément les critères médicaux habituels de la vie ou de la mort. Comme l’explique Michal Cifra, biologiste à l’Académie des sciences de Prague, cette lumière dépend essentiellement de l’oxygène disponible. Tant qu’il y a oxygène, le métabolisme se poursuit, et les photons sont émis. Un organe isolé, mais irrigué artificiellement, peut donc continuer à briller, même en l’absence d’activité cérébrale.

Ce lien direct entre lumière et activité cellulaire ouvre la voie à des applications médicales non-invasives : en analysant l’intensité lumineuse émise par certaines zones du corps, il serait possible de détecter des lésions, d’évaluer la réponse à un traitement, ou encore de suivre la progression de maladies comme Alzheimer. À une autre échelle, les chercheurs imaginent déjà utiliser cette lueur pour surveiller la santé de vastes écosystèmes en observant, la nuit venue, le scintillement discret des forêts vivantes.

Auteur: Internet

Info: https://www.jeuxvideo.com/ - 13 mai 2025, Arnaud Follin-Arbelet

[ fluide vital ] [ émission de photons ultrafaibles ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

piétinements

Il y avait le silence, celui de la neige pilonnée par des milliers de bottes, celui des silhouettes aux mâchoires crispées marchant épaule contre épaule sans se voir.


Auteur: Canal Richard

Info: Villes-vertige

[ sonorité ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

émotion

On pleure pour se sentir vivant, on pleure comme un rappel de son propre sursis, on pleure de mesurer l'extrême précarité de celui-ci. On dit que l'on pleure ceux qui nous ont quittés mais, à la vérité, on ne pleure jamais que sa propre impuissance.


Auteur: Chacour Éric

Info: Ce que je sais de toi

[ deuil ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

épouse battue

Tu découvrais les limites de ton métier lorsque ces femmes au visage contusionné te racontaient avoir trébuché en descendant les marches de leur maison. Tu tâchais d’écouter, chez chacune, les paroles qu’elle prononçait autant que celles qu’elle taisait. Tu la raccompagnais ensuite, impuissant, vers le seuil de ton cabinet où son mari l’attendait. Un mari dont tu reverrais, à l’heure de t’endormir, les mains aux allures d’escalier.

Auteur: Chacour Éric

Info: Ce que je sais de toi

[ dissimulation ] [ marques ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

monarque

Le roi d'Egypte, ne l'oublions pas, est roi-dieu. La sauvegarde du pays passe par sa personne symbolique et métaphysique.


Auteur: Jacq Christian

Info: Néfertiti et Akhénaton : Le couple solaire

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

rapports humains

Elle a eu un geste de dépit et en bougeant, son parfum s'est jeté sur moi comme un coup de griffe.

Auteur: Spaccesi Marc

Info: Marseille-Cassis

[ femme ] [ métaphores-comparaisons-etc ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

liseurs

Votre façon de lire pourrait révéler une particularité de votre cerveau

La lecture, cette activité millénaire, sculpte littéralement notre cerveau. Alors que 50 % des adultes britanniques déclarent ne pas lire régulièrement, les neuroscientifiques s'inquiètent. Comment cette désaffection pour la lecture pourrait-elle affecter notre évolution cognitive ? Des recherches récentes dévoilent les mécanismes fascinants par lesquels les livres façonnent nos structures cérébrales.

Notre cerveau se transforme à chaque page tournée. Des études d'imagerie cérébrale révèlent que les bons lecteurs présentent des caractéristiques anatomiques distinctes dans certaines régions cérébrales. Cette plasticité neuronale, loin d'être anecdotique, pourrait avoir des implications profondes pour notre développement cognitif collectif à l'heure où les écrans supplantent progressivement les livres. Examinons comment l'acte de lire modifie physiquement notre cerveau et pourquoi ces changements importent.

Les zones cérébrales transformées par la lecture

Une analyse récente portant sur plus de 1 000 participants a mis en évidence que les lecteurs de différents niveaux possèdent des caractéristiques cérébrales distinctives. Deux régions de l'hémisphère gauche, cruciales pour le langage, présentent des particularités chez les bons lecteurs :

La première région est la partie antérieure du lobe temporal. Le pôle temporal gauche joue un rôle déterminant dans l'association et la catégorisation des informations significatives. Pour comprendre un mot comme " jambe ", cette zone cérébrale associe les informations visuelles, sensorielles et motrices qui définissent l'apparence, la sensation et le mouvement des jambes.

La seconde région est le gyrus de Heschl, un pli situé sur le lobe temporal supérieur qui abrite le cortex auditif. Contrairement aux idées reçues, la lecture ne mobilise pas uniquement nos capacités visuelles. Pour associer les lettres aux sons de la parole, nous devons d'abord percevoir les sonorités de la langue, une capacité appelée conscience phonologique.

Épaisseur corticale et performances de lecture

Les recherches attestent qu'une partie antérieure du lobe temporal plus volumineuse dans l'hémisphère gauche par rapport au droit favorise la compréhension des mots et, donc, la lecture. Cette asymétrie structurelle n'est pas surprenante : disposer d'une zone cérébrale plus développée dédiée au sens facilite naturellement le décodage de l'écrit.

Concernant le cortex auditif, un gyrus de Heschl gauche plus fin a été associé à la dyslexie. Néanmoins, les nouvelles études révèlent que cette variation d'épaisseur corticale ne trace pas une simple ligne de démarcation entre les personnes dyslexiques et non-dyslexiques. Elle s'étend à l'ensemble de la population, où un cortex auditif plus épais corrèle avec une lecture plus habile.

Cette corrélation s'explique par le " modèle du ballon " de la croissance corticale : la présence accrue de myéline (substance grasse isolant les fibres nerveuses) dans l'hémisphère gauche comprime les zones corticales, les rendant plus fines mais plus étendues. Les bons lecteurs présentent donc des caractéristiques spécifiques :

- un pôle temporal gauche plus volumineux ;

- un gyrus de Heschl gauche d'épaisseur optimale ;

- une myélinisation plus importante dans les aires du langage ;

- Des colonnes neuronales mieux isolées pour un traitement rapide.

Plasticité cérébrale et pratique de la lecture

Le cerveau humain possède une remarquable capacité d'adaptation. L'apprentissage ou la pratique d'une compétence modifie sa structure même. Les jeunes adultes qui étudient intensivement les langues augmentent l'épaisseur corticale de leurs zones linguistiques. De façon similaire, la lecture régulière façonne probablement la structure du gyrus de Heschl gauche et du pôle temporal.

Cette plasticité neuronale suggère que la lecture n'est pas seulement une activité culturelle, mais un véritable exercice cérébral. Lorsque nous lisons, nous ne nous contentons pas d'absorber des informations, nous reconfigurons littéralement notre anatomie cérébrale pour optimiser cette compétence complexe.

L'avenir de notre cerveau à l'ère numérique

Si la lecture devient progressivement marginalisée au profit d'autres médias, quelles conséquences pourrions-nous observer sur notre évolution cognitive collective ? Notre capacité à interpréter le monde et à comprendre autrui pourrait s'éroder subtilement. Les compétences cognitives développées par la lecture (concentration soutenue, traitement séquentiel complexe, intégration d'informations abstraites) risquent de s'atrophier.

Des études longitudinales seront nécessaires pour évaluer l'impact précis du déclin de la lecture sur nos structures cérébrales. Néanmoins, les données actuelles suggèrent qu'un moment de lecture régulier ne constitue pas seulement un plaisir personnel, il représente un investissement dans notre santé cognitive collective.

 

Auteur: Internet

Info: Futura

[ décryptage ] [ déchiffrage ] [ question ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

homophone

Les mots ne connaissent point de frontières et il est surprenant que nous nous comprenions : quand la marin breton est pris dans un raz, un autre bon Français est pris comme un rat, tandis qu'une Ethiopienne est éprise d'un ras*.

Nul ne sait si notre balance commerciale en termes de mots est déficitaire ou non, mais il est sûr qu'avant d'importer du pétrole des pays arabes, nous leur avons emprunté l'alambic et la smala, le châle et la basane**, le kiosque et la carafe parmi bien d'autres encore.

Auteur: Serge-Jean Major pseudo

Info: Chausse-trap(p)es, p 61 - *équivalent de duc en éthiopie, **peau de mouton

[ langage ] [ étymologie ] [ emprunt ] [ translangue ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

écriture

Le vrai problème du vrai poète est toujours le même. S’il est heureux pendant une longue période, il devient ordinaire. S’il est malheureux pendant une longue période, il ne peut plus trouver en lui la force de tenir en vie sa poésie…  

Auteur: Pamuk Orhan

Info: Neige, p.149

[ équilibre ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel