Les Américains, mal éduqués, ont toujours été réceptifs, crédultes, et donc vulnérables... enclins à suivre les escrocs.

Dès qu'on se contente de moins que ce que l'on mérite, on obtient encore moins que ce que l'on avait prévu.  

Le matérialisme a également vaincu le féminisme. Signe des temps, Gloria Steinem était présente sur le piquet de grève lors de l'ouverture du premier magasin américain de DeBeers sur la Cinquième Avenue en juin 2005, pour protester contre l'expulsion des Bushmen au Botswana afin de laisser la place aux mineurs de diamants et contre les accusations selon lesquelles l'entreprise vendait des " diamants de sang " utilisés pour financer des guerres civiles en Afrique.

Sa présence était sans intérêt pour les jeunes beautés d'Hollywood qui se font un plaisir de défendre l'industrie du diamant dans des mises en page de magazines et lors d'apparitions personnelles.

Alors que Steinem était à l'extérieur, Lindsay Lohan se pavanait dans une party, pas mécontente de la possibilité de porter l'un de ces gros cailloux.

Interrogée par les journalistes sur la controverse concernant les Bushmen, elle a répondu  : " Je ne m'implique dans aucun drame ". 

La certitude que le temps n'était pas une chose qui passe, mais une chose qui se renouvelle sans cesse.

Même dans sa propre maison il avait l'impression d'être la personne à l'extérieur qui regarde dedans.

L'étrange idée américaine selon laquelle le fait de donner de l'argent à des campagnes politiques relève de la liberté d'expression signifie que les très riches ont beaucoup plus de liberté d'expression, et donc en fait beaucoup plus de pouvoir de vote, que les autres citoyens.

De nombreuses personnes ont désespérément besoin de recevoir ce message : 'Je ressens et pense la même chose que toi, je me préoccupe d'un grand nombre de choses qui te tiennent à cœur, même si la plupart des gens ne s'en préoccupent pas. Tu n'es pas seul'.

Croyez en la vérité. Abandonner les faits, c'est abandonner la liberté. Si rien n'est vrai, personne ne peut critiquer le pouvoir, car il n'y a pas de base pour le faire. Si rien n'est vrai, tout n'est que spectacle. Le plus gros portefeuille paie pour les lumières les plus aveuglantes.

Un jour, j'ai dit à ma femme que j'allais acheter une enveloppe :

Elle m'a dit : " Mais, tu n'es pas si pauvre. Pourquoi n'irais tu pas commander une centaine d'enveloppes sur Internet et les mettre dans le placard ?"

J'ai fait semblant de ne pas l'entendre. Et je suis allé chercher une enveloppe parce que je passe un sacré bon moment en achetant une enveloppe.

Je rencontre beaucoup de gens. Et je croise des bébés superbes. Et un camion de pompiers passe. Je leur fais un signe de la main. Et je demande à une femme quelle sorte de chien c'est. Parce que je ne sais pas, elle non plus. Morale de l'histoire : nous sommes sur Terre pour pétouiller, trainasser, communiquer...

Et, bien sûr, les ordinateurs nous en dispenseront. Ce que les informaticiens ne réalisent pas, ou ce dont ils se moquent, c'est que nous sommes des animaux dansants. Vous savez, nous aimons bouger. Bref c'est comme si nous n'étions plus du tout censés danser.

Levons-nous tous et agitons-nous un peu...

Dansons au moins un peu.

Ainsi, la paix du corps, c’est le tempérament bien ordonné de ses parties ; la paix de l’âme irraisonnable, le repos bien ordonné de ses appétits ; la paix de l’âme raisonnable, l’accord bien ordonné de la connaissance et de l’action ; la paix du corps et de l’âme, la vie et la santé bien ordonnées de l’être animé ; la paix de l’homme mortel et de Dieu, l’obéissance bien ordonnée dans la foi sous la loi éternelle. La paix des hommes, c’est la concorde ordonnée ; la paix domestique, c’est entre les hôtes du même foyer, la concorde et l’ordre du commandement et de l’obéissance ; la paix sociale, c’est entre les citoyens la concorde et l’ordre de l’autorité et de la soumission ; la paix de la cité céleste, c’est l’ordre et la concorde, une société dans la jouissance de Dieu, dans la jouissance mutuelle de tous en Dieu. La paix de toutes choses, c’est la tranquillité de l’ordre. L’ordre, c’est cette disposition qui, suivant la parité ou la disparité des choses, assigne à chacune sa place. Ainsi, bien que les malheureux, en tant que malheureux, ne soient pas en paix puisqu’il leur manque cette tranquillité de l’ordre où le trouble est inconnu, toutefois, comme leur misère est juste et méritée, dans cette misère même ils ne peuvent être hors de l’ordre.