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syndicalisme

Les syndicats ne peuvent pas vivre si les ouvriers y sont obsédés par les sous au même degré que dans l’usine, au cours du travail aux pièces. D’abord parce qu’il en résulte l’espèce de mort morale toujours causée par l’obsession de l’argent. Puis parce que, dans les conditions sociales présentes, le syndicat, étant alors un facteur perpétuellement agissant dans la vie économique du pays, finit inévitablement par être transformé en organisation professionnelle unique, obligatoire, mise au pas dans la vie officielle. Il est alors passé à l’état de cadavre.

Auteur: Weil Simone

Info: L'enracinement, Editions Gallimard, 1949, page 44

[ intérêts financiers ] [ réclamations matérielles ] [ critique ]

 

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groupements

La lutte des partis, telle qu'elle existait dans la Troisième République, est intolérable ; le parti unique, qui en est d'ailleurs inévitablement l'aboutissement, est le degré extrême du mal ; il ne reste d'autre possibilité qu'une vie publique sans partis. 

[…]

Aux yeux des gens de 1789, il n’y avait même pas d’autre possibilité ; une vie publique telle que la nôtre au cours du dernier demi-siècle leur aurait paru un hideux cauchemar ; ils n’auraient jamais cru possible qu’un représentant du peuple pût abdiquer sa dignité au point de devenir le membre discipliné d’un parti.

Rousseau d’ailleurs avait montré clairement que la lutte des partis tue automatiquement la République. Il en avait prédit les effets. Il serait bon d’encourager en ce moment la lecture du Contrat social. En fait, à présent, partout où il y avait des partis politiques, la démocratie est morte. […] Une démocratie où la vie publique est constituée par la lutte des partis politiques est incapable d’empêcher la formation d’un parti qui ait pour but avoué de la détruire. Si elle fait des lois d’exception, elle s’asphyxie elle-même. Si elle n’en fait pas, elle est aussi en sécurité qu’un oiseau devant un serpent.

Auteur: Weil Simone

Info: L'enracinement, Editions Gallimard, 1949, page 42

[ critique ] [ impasse ] [ coteries ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

théologie chrétienne

Il convient à l’ange d’être dans un lieu. Cependant, être dans un lieu se dit de façon équivoque pour l’ange et pour un corps. Le corps est dans un lieu parce qu’il y est appliqué selon le contact de la quantité dimensive ; les anges n’ont pas cette sorte de quantité, ils n’ont que la quantité virtuelle. Et si l’on dit que l’ange est dans un lieu corporel, c’est parce que sa puissance s’applique d une certaine manière à ce lieu. 

L’ange n’est donc ni mesuré par un lieu, ni affecté par une position dans le continu ; c’est là le propre du corps localisé, puisqu’il a une quantité dimensive. L’ange n’est pas non plus contenu dans un lieu ; en effet, si une substance incorporelle exerce sa puissance sur une réalité corporelle, elle la contient, mais elle n’est pas contenue par elle, car l’âme est dans le corps comme le contenant, non comme contenu par lui ni de même l’ange, bien loin d’être contenu par le lieu qu’il occupe, l’enveloppe d’une certaine manière.

Auteur: Saint Thomas d'Aquin

Info: Somme théologique, I, Q.52, a.1

[ métaphysique ] [ localisation ] [ spiritualité ] [ angéologie ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

astronomie

Et pour mettre là-dessus définitivement "le point sur les i", à savoir - ce que je vous ai indiqué - que ce n’est pas le géocentrisme soi-disant démantelé par le nommé "Chanoine KOPPERNIGK" [Copernic] qui est le plus important, et c’est même en ça que c’est assez faux, assez vain, de l’appeler une "révolution copernicienne". 

Parce que, si dans son livre Sur les révolutions des orbes célestes il nous montre une figure du système solaire qui ressemble à la nôtre, à celle qu’il y a sur les manuels aussi dans la classe de sixième, où l’on voit le soleil au milieu, et tous les astres qui tournent autour dans l’orbe, il faut dire que ce n’était pas du tout un schéma nouveau, en ceci que tout le monde savait au temps de COPERNIC - ce n’est pas nous qui l’avons découvert - que, dans l’Antiquité, il y avait un homme HÉRACLIDE, puis ARISTARQUE de Samos, lui assurément d’une façon tout à fait attestée, qui avaient fait le même schéma. 

La seule chose qui aurait pu faire de COPERNIC autre chose qu’un fantasme historique - car ce n’était pas autre chose - c’est si son système avait été, non pas plus près, de l’image que nous avons du système solaire réel, mais plus vrai. Et plus vrai, ça voudrait dire plus désencombré d’éléments imaginaires qui n’ont rien à faire avec la symbolisation moderne des astres, plus désencombré que le système de PTOLÉMÉE. Or il n’en est rien. Son système est aussi bourré d’épicycles. Et des épicycles, qu’est-ce que c’est ? C’est quelque chose d’inventé, et d’ailleurs personne ne pouvait croire à la réalité des épicycles !

Ne vous imaginez pas qu’ils étaient assez bêtes pour penser qu’ils verraient, comme ce que vous voyez quand vous ouvrez votre montre : une série de petites roues. Mais il y avait cette idée que le seul mouvement parfait qu’on pouvait imaginer concevable était le mouvement circulaire. Tout ce qu’on voyait dans le ciel était vachement dur à interpréter, car comme vous le savez, ces petites planètes errantes se livraient à toutes sortes d’entourloupettes irrégulières entre elles, dont il s’agissait d’expliquer les zigzags. On n’était satisfait que quand chacun des éléments de leur circuit, pouvait être ramené à un mouvement circulaire.

[…] Ce qu’il faudrait que vous lisiez pendant ces vacances, et vous allez voir que c’est possible, pour votre plaisir, c’est à savoir comment KÉPLER arrive à donner la première saisie qu’ont ait eue de quelque chose qui est ce en quoi consiste véritablement la date de naissance de la physique moderne. Il y arrive en partant des éléments dans PLATON du même Timée dont je vais vous parler, c’est à savoir d’une conception purement imaginaire, avec l’accent qu’a ce terme dans le vocabulaire dont je me sers avec vous, de l’univers entièrement réglé sur les propriétés de la sphère articulée comme telle : comme étant la forme qui porte en soi les vertus de suffisance qui font qu’elle peut essentiellement combiner en elle l’éternité de la même place avec le mouvement éternel. 

C’est autour de spéculations, d’ailleurs raffinées, de cette espèce qu’il y arrive, puisqu’il y fait entrer à notre stupeur, les cinq solides - comme vous savez il n’y en a que cinq - parfaits inscriptibles dans la sphère. En partant de cette vieille spéculation platonicienne, déjà trente fois déplacée, mais qui déjà revenait au jour, à ce tournant de la Renaissance, et de la réintégration dans la tradition occidentale des manuscrits platoniciens, qui littéralement monte à la tête de ce personnage, dont la vie personnelle, croyez-moi, dans ce contexte de la révolution des paysans, puis de la guerre de Trente Ans, est quelque chose de gratiné et auquel, vous allez voir, je vais vous donner le moyen de vous reporter : ledit KEPLER, à la recherche de ces harmonies célestes, et par un prodige de ténacité - on voit vraiment le jeu de cache-cache de la formation inconsciente - arrive à donner la première saisie qu’on ait eue de quelque chose qui est ce en quoi consiste véritablement la date de naissance de la science physique moderne.

En cherchant "un rapport harmonique", il arrive à ce rapport de la vitesse de la planète sur son orbe à l’aire de la surface couverte par la ligne qui relie la planète au soleil. C’est-à-dire qu’il s’aperçoit du même coup que les orbites planétaires sont des ellipses.

[…] Si génial que fût GALILÉE, dans son invention de ce qu’on peut vraiment appeler la dynamique moderne, à savoir d’avoir trouvé la loi exacte de la chute des corps, ce qui était un pas essentiel, et bien entendu, malgré que ce soit sur cette affaire de géocentrisme qu’il ait eu tous ses embêtements, il n’en reste pas moins que GALILÉE était là, aussi retardataire, aussi réactionnaire, aussi collant à l’idée du mouvement circulaire parfait - donc seul possible pour les corps célestes - que les autres. Pour tout dire, GALILÉE n’avait même pas franchi ce que nous appelons la révolution copernicienne dont nous savons qu’elle n’est pas de COPERNIC. Vous voyez donc le temps que mettent les vérités à se frayer le chemin en présence d’un préjugé aussi solide que la perfection du mouvement circulaire.

Auteur: Lacan Jacques

Info: 21 décembre 1960

[ historique ] [ progrès symbolique ] [ impasses ] [ héliocentrisme ]

 
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sphère

Au temps et au niveau de PLATON, et non seulement au niveau de PLATON mais bien avant lui, cette forme, σϕαῖρος [sphairos] comme dit encore EMPÉDOCLE, dont le temps m’empêche de vous lire les vers : 

"ἀλλ᾽ ὄ γε πάντοθεν ίσος έὼν καὶ πάμπαν ἀπεἰρων Σϕαῖρος κυκλοτερὴς μονιη περιηγἒὶ χαίρων"

"Mais lui, partout égal à lui-même et sans limite aucune, Sphairos à l’orbe pur, joyeux de la solitude qui l’entoure."

Σϕαῖρος [sphairos] au masculin, c’est : un être qui, de tous les côtés semblable à lui-même, est de tous côtés sans limites. 

"Sphairos qui a la forme d’un boulet, ce Sphairos règne dans sa solitude royale rempli par son propre contentement, sa propre suffisance".

Ce σϕαῖρος [sphairos] hante la pensée antique. Il est la forme que prend, au centre du monde d’EMPÉDOCLE, la phase de rassemblement de ce qu’il appelle, lui, dans sa métaphysique, ϕιλίη [Philiè] ou ϕιλότης [philotès], l’Amour. Cette ϕιλότης [philotès] qu’il appelle ailleurs : Σχεδύνη [schedunè ], l’Amour qui rassemble, qui agglomère, qui assimile, qui agglutine - exactement : agglutiné – c’est la κρῆσις [krèsis], c’est de la κρῆσις [krèsis] d’amour. 

Auteur: Lacan Jacques

Info: 21 décembre 1960

[ géométrie ] [ symbole ] [ historique ] [ philia ]

 

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nature

Force est de constater que faire de l'anthropomorphisme revient à nier le règne végétal. Nous avons certes quelques points communs, mais les divergences sont majeures. Alors que l'immobilité nous semble un facteur limitant, il apparaît que les végétaux, sur une période d'évolution beaucoup plus longue que la nôtre, ont mis en place un mode de communication permanente et n'ont pas besoin de se mouvoir pour recevoir les informations dont ils ont besoin. Il n'y a pas plus connecté que le végétal.[...]

Prenons l'exemple d'un petit arbre de 4 mètres de haut : la surface de contact entre les feuilles et l'air, entre les branches et l'air, ainsi qu'entre les racines et le sol correspond à plus de 200 hectares, équivalent à des "panneaux" qui sont déployés. Cela doit bien lui servir à quelque chose. De la même façon, un séquoïa géant de Californie, haut de ses 113 mètres, aura une équivalence de surface de connexion de 6000 hectares !


Auteur: Thoby Jean

Info: Le chant secret des plantes

[ interdépendance ]

 

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génodique

La musique des plantes

Au cœur du Plantarium de Gaujacq, sanctuaire végétal façonné par la main patiente de  Monsieur Thoby et de son épouse Frédérique, s’ouvre une porte sur un monde insoupçonné : celui où les plantes, loin d’être de simples témoins silencieux de nos existences, deviennent musiciennes, vibrantes, presque bavardes sous l’oreille attentive du musiniériste.

Un jardin, mémoire vivante de la diversité

Le Plantarium, héritier des jardins savants d’antan, se veut laboratoire ouvert et conservatoire de la diversité végétale. Là, chaque plante, de la plus rare à la plus commune, trouve sa place et son importance. Les séquoias, par exemple, rappellent que la notion de " plante introduite " est toute relative : jadis, la Pangée abritait déjà ces géants, bien avant que les frontières humaines ne les séparent. Ainsi, la diversité, et non la provenance, est célébrée comme la clef de la vitalité du jardin.

Un microclimat propice à l’exubérance végétale

La Chalosse, avec ses pluies généreuses et ses vents rares, offre un écrin idéal à la croissance des végétaux. Les glycines s’y élancent de huit mètres par an, et la pergola monumentale du jardin, longue de 89 mètres, s’inspire des proportions historiques du jardin botanique de Montpellier. Ce choix n’est pas anodin : il favorise l’étude, la contemplation, et la transmission du savoir botanique, dans une continuité harmonieuse avec les traditions universitaires.

La musique cachée des plantes

Mais le véritable enchantement réside ailleurs : dans la capacité de Monsieur Thoby à faire " chanter " les plantes. En s’appuyant sur des travaux scientifiques, il explique que chaque masse possède une fréquence, selon le principe énoncé par Louis de Broglie en 1927. Ainsi, la matière, qu’elle soit bois, lumière ou son, n’est qu’une variation d’ondes, une partition invisible qui structure l’univers.

Joël Sternheimer, élève de de Broglie, a poursuivi cette intuition : connaissant la masse des acides aminés, il a pu calculer la fréquence propre à chaque protéine, révélant que la chaîne protéique d’une plante compose une mélodie unique. Ces sons, inaudibles pour l’oreille humaine, peuvent être transposés dans une gamme perceptible, offrant à l’homme la possibilité d’écouter la " voix " des plantes. Ainsi, chaque plante, dans son intimité cellulaire, émet une musique, signature de son identité profonde.

L’échange vibratoire, ou la communication subtile

Jean Thoby rappelle aussi que les plantes, sensibles aux vibrations, réagissent à la parole humaine. Des expériences montrent que des mots doux favorisent leur croissance, tandis que des paroles négatives les affaiblissent. Ce dialogue subtil, fondé sur l’effet miroir, tisse un lien entre l’homme et le végétal, une résonance où l’intention, plus que le verbe, devient langage commun.

Conclusion

Au Plantarium de Gaujacq, la science et la poésie se rejoignent : le jardin devient scène, les plantes musiciennes, et l’homme, humble auditeur de cette symphonie invisible. Jean Thoby, en musiniériste, nous invite à écouter autrement, à reconnaître dans la rumeur végétale une sagesse ancienne et une promesse d’harmonie retrouvée avec le vivant



 

Auteur: Internet

Info: https://www.youtube.com/watch?v=941H1ys7Eqk - Synthèse par perplexity.ai

[ phytoneurologie ]

 

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homme-végétal

La phytoneurologie est l'analyse de l'activité électrique de surface d'un végétal par l'étude de la différence de potentiel électrique entre les racines et le feuillage. Cette ondulation ainsi obtenue peut être transcodée en image, lumière, graphique, ou en musique !



Auteur: Thoby Jean

Info: Le chant secret des plantes

[ génodique ]

 

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homme-végétal

L’homme qui murmurait à l’oreille des ceps de vigne

Joël Sternheimer, physicien dont le seul tort est peut-être d'avoir été un peu en avance sur son temps, a mis à jour la grande partition biologique de la nature.

Tel un Champollion musicien, il a décrypté les hiéroglyphes du vivant, en trouvant la mélodie de chacune des petites briques qui constituent la matière. Il a ainsi tracé le plus doux des chemins pour communiquer avec la nature. Les plantes vont être son terrain d'expérimentation idéal. En effet, chaque fleur est un laboratoire chimique qui travaille 24 heures sur 24.

Au premier rayon du soleil, des capteurs thermiques donnent le signal à la plante de produire la protéine de croissance. Dès la nuit venue, la température chute, c'est au tour de la protéine qui inhibe la croissance de s'activer, on la nomme le " complexe du soir ". Sans elle, la plante ne cesserait de pousser et s'écroulerait sous son propre poids. La nature exerce ainsi un arbitrage parfait entre agent stimulant et répresseur. Sans cette régulation, il n'y aurait que des créatures monstrueuses.

Sternheimer, grâce à la loi de De Broglie, a trouvé la fréquence de vibration des acides aminés en rapport à leur masse. Il la ramène par un jeu de proportion dans le champ que l'horaire humain entend, et nous livre ainsi la partition secrète du monde vivant. En jouant la mélodie d'une protéine, il se rend compte qu'il la stimule. En stimulant les protéines responsables de la croissance d'une plante, il contribue à accélérer cette croissance. En jouant la mélodie de la protéine qui inhibe la croissance, il inhibe la plante.

Le pouvoir de Sternheimer est désormais celui d'un démurge, d'un créateur de monde. Il devient le joueur de flûte de Hamelin qui exerce son charme sur les rats pour en débarrasser la ville, puis sur les enfants pour se venger de ne pas avoir été rétribué.

La manipulation du vivant, même par la musique, pose un problème éthique majeur. Est-ce ce problème qui va détourner la communauté scientifique de ce qui pourrait être une formidable avancée dans le monde de la santé ? Si l'intervention musicale n'est pas cadrée, il suffit de jouer une petite mélodie apparemment anodine pour déclencher un dérèglement hormonal majeur chez celui qui l'écoute.

Mais au bout de cette hypothèse, il y a le soin par le son. Plus besoin de chimie pour stimuler une défense immunitaire, plus besoin de pilules pour produire des enzymes, ni d'injections pour inhiber une protéine qui fait des ravages dans le corps d'un patient. En attendant ce moment, certes utopique, Sternheimer va se servir des plantes. Ou plutôt, les plantes vont lui servir de cobaye.



 



 

Auteur: Internet

Info: https://www.radiofrance.fr/ - 17 juillet 2023

[ cycle circadien ] [ résonances ] [ génodique ] [ phytoneurologie ] [ électrophysiologie ]

 

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femmes-hommes

Hommes et femmes ne réagissent pas de la même façon aux interactions avec autrui. Au repos, les neurones des femmes ont tendance à systématiquement passer en revue, ruminer, ressasser leurs derniers échanges relationnels (amoureux ou pas). Ceux des hommes le font aussi, mais avec beaucoup moins d'énergie et de détails. Autrement dit, en moyenne, le cerveau de la femme est plus " social " que celui de l'homme. Et donc plus dépendant de la qualité relationnelle de l'existence.


Auteur: Cyrulnik Boris

Info: Votre cerveau n'a pas fini de vous étonner

[ différents ] [ imaginaires ] [ orthogonaux ]

 

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Ajouté à la BD par miguel