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duperie politique

Vu la bêtise aussi dure que le granit de notre humanité, il n'y a pas à s'étonner du résultat.

Sous la conduite de la presse, ébloui par le nouveau et séduisant programme, le bétail à voter " bourgeois ", aussi bien que le prolétarien, revient à l'étable commune et élit de nouveau celui qui l'a trompé. Ainsi, le candidat des classes laborieuses redevient la chenille parlementaire. Il continue à manger sur la branche de la vie publique, y devient gros et gras et, quatre ans après, se transforme en de nouveau en un brillant papillon.

Auteur: Hitler Adolf

Info: Mein Kampf

[ opinion manipulée ] [ opportunistes ] [ ascendante ] [ descendante ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

élévation spirituelle

Ce n’est donc point par la médiation des démons que nous devons aspirer à la bienveillance, à la protection des dieux ou plutôt des saints anges, mais par la conformité d’une volonté pure ; c’est par cette conformité de volonté que nous sommes avec eux, que nous vivons avec eux, qu’avec eux nous adorons le Dieu qu’ils adorent, quoique nous ne puissions les voir de l’œil de la chair ; et ce qui nous éloigne d’eux n’est pas l’étendue : c’est la différence de volonté, c’est notre fragilité, c’est notre misère qui met entre eux et nous une distance morale. Ce n’est point la captivité de notre corps dans les liens de la chair et de l’habitation terrestre ; c’est le goût de notre cœur pour les impuretés de la terre qui s’oppose à cette heureuse union.

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, page 364

[ tentations ] [ angélisme ] [ facultés intellectives ] [ faiblesse ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

philosophie

J’ai donc de préférence choisi les platoniciens comme les philosophes qui, ayant eu d’un seul Dieu, créateur du ciel et de la terre, les plus saines opinions, doivent à la sagesse de leur doctrine l’éclat de leur gloire. Au jugement de la postérité, la prééminence leur appartient. Vainement Aristote, disciple de Platon, vaste génie, inférieur en éloquence à Platon, et supérieur à beaucoup d’autres, fonde la secte des péripatéticiens, qui prend son nom de l’habitude de disputer en se promenant ; vainement, du vivant même de son maître, il rassemble au bruit de sa renommée de nombreux auditeurs ; vainement, après la mort de Platon, Speusippe, fils de sa sœur, et Xénocrate, son cher disciple, lui succèdent dans son école, appelée académie, d’où leur vient et à leurs successeurs le nom d’académiciens ; les plus illustres philosophes de notre temps, sectateurs de Platon, ne veulent être appelés ni péripatéticiens, ni académiciens ; ils se disent platoniciens. Les principaux sont, parmi les Grecs, Plotin, Jamblique, Porphyre, puis un philosophe également versé dans les langues grecque et latine, l’africain Apulée. Mais tous ces philosophes et leurs co-sectateurs, et Platon lui-même, ont pensé qu’il fallait rendre hommage à plusieurs dieux.

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, pages 342-343

[ christianisme ] [ annonciateurs ] [ monothéisme ] [ postérité ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

philosophie-théologie

Il en est, parmi nos frères en la grâce de Jésus-Christ, qui s’étonnent d’apprendre, soit par entretien, soit par lecture, que Platon ait eu de Dieu des sentiments dont ils reconnaissent la conformité singulière à la vérité de notre religion. Aussi plusieurs ont pensé que, dans son voyage en Egypte, il entendit le prophète Jérémie, ou qu’il lut les livres des prophéties. J’ai moi-même émis cette opinion dans quelques-uns de mes ouvrages. Mais une recherche chronologique plus exacte m’a prouvé que la naissance de Platon est d’un siècle environ postérieure au temps où prophétisa Jérémie, et que depuis sa mort, après une vie de quatre-vingt ans, jusqu’à l’époque où Ptolémée, roi d’Egypte, demanda à la Judée les livres des prophètes qu’il fit interpréter par soixante-dix juifs hellénistes, on trouve à peu près un espace de soixante ans. Ainsi donc Platon n’a pu ni voir Jérémie, mort si longtemps auparavant, ni lire les Ecritures qui n’étaient pas encore traduites en langue grecque. Si ce n’est peut-être que dans sa passion pour l’étude, il parvint, autant que l’intelligence lui en pouvait être donnée, à s’instruire des Ecritures, comme des livres de l’Egypte, non pas en les faisant traduire, ce qui n’appartient qu’à un roi, tout-puissant par les bienfaits ou par la crainte, mais en conversant avec des interprètes juifs ; et ce qui favorise cette conjecture, c’est qu’on lit au début de la Genèse : "Dans le principe, Dieu fit le ciel et la terre. Or la terre était une masse invisible et informe, et les ténèbres couvraient la surface de l’abîme et l’esprit de Dieu était porté sur les eaux". Et Platon, dans le Timée, où il traite de la formation du monde, prétend que dans cette œuvre merveilleuse, Dieu unit ensemble la terre et le feu. Evidemment ici, le feu tient la place du ciel : sens assez conforme à cette parole de l’Ecriture : "Dans le principe, Dieu fit le ciel et la terre". Platon ajoute que l’air et l’eau furent les deux moyens de jonction entre les deux extrêmes, la terre et le feu ; et il est probable qu’il explique ainsi ce verset : "L’esprit de Dieu était porté sur les eaux". […] Ailleurs, il dit que le philosophe est l’homme épris de l’amour de Dieu. Et l’Ecriture n’est-elle pas toute brûlante de cet amour ?

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, page 340

[ Bible ] [ correspondances ] [ hypothèses ] [ christianisme ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

païen

[…] Platon met le souverain bien à vivre selon la vertu ; […] suivant lui, cette vie n’est possible qu’à l’homme qui connaît et imite Dieu ; que telle est l’unique source de sa félicité. C’est pourquoi il ne craint pas de dire que philosopher, c’est aimer Dieu dont la nature est incorporelle. D’où il suit que l’ami de la sagesse ou le philosophe ne trouvera le bonheur qu’en commençant à jouir de Dieu. Quoique, en effet, l’on ne soit pas nécessairement heureux pour jouir de ce que l’on aime, car plusieurs sont malheurs d’aimer ce qui n’est pas aimable, et plus malheureux encore d’en jouir, cependant nul n’est heureux, s’il ne jouit de ce qu’il aime. Ceux mêmes qui s’attachent à ce qui n’est pas aimables, ne se trouvent pas heureux par l’amour, mais par la jouissance. Qui donc jouit de ce qu’il aime et aime le véritable et souverain bien, n’est-il pas heureux ? Et le nier, n’est-ce pas le comble de la misère ? Or, ce véritable et souverain bien, c’est Dieu même, Platon le dit : aussi veut-il que le philosophe ait l’amour de Dieu, car si le bonheur est la fin de la philosophie, jouir de Dieu, aimer Dieu, c’est être heureux.

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, pages 337-338

[ christianisme ] [ prémisses ] [ paganisme ] [ questions ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

géopolitique

Les régimes politiques résultent des structures familiales 

"[...] J’avais affirmé, il y a quelque quarante ans, dans la Troisième Planète. Structures familiales et systèmes idéologiques (1983), que la distribution planétaire des régimes politiques (libéraux, sociaux-démocrates, communistes, etc.) résultait de structures familiales paysannes variées, engendrant des prédispositions libérales ou autoritaires, égalitaires ou inégalitaires. La carte du communisme reproduisait, pour l’essentiel, celle de la famille communautaire exogame, associant un père et ses fils mariés, patrilinéaire donc, autoritaire et égalitaire.

On m’avait ri au nez. Ma théorie était une insulte à la liberté humaine. Odieuse était l’idée d’une liberté engendrée par la famille nucléaire (qui exige une émancipation précoce des enfants). La liberté déterminée par la famille ? Au pays de Pétain, la famille ne peut qu’être antilibérale par nature. Après 1990, j’avais suggéré que des traces communautaires subsisteraient et qu’on ne pouvait attendre de la Russie une démocratie d’alternance. Indifférence générale. Mais nous y sommes. La Russie de Poutine est exactement ce que l’anthropologie prédisait. Et pas seulement la Russie. Le monde entier, soulevé par l’alphabétisation, l’urbanisation et l’industrialisation, a été activé idéologiquement, et il n’est pas le plus souvent libéral.

Les insultes entre nations sont toujours politiques mais les alignements de la " troisième guerre mondiale " suivent la carte des taux de patrilinéarité de Paola Giuliano et Nathan Nunn (Ancestral Characteristics of Modern Populations 2014, corrigée des erreurs de l’Atlas ethnographique de George Murdock). L’Occident trouve ici sa base anthropologique : la parenté bilatérale et la famille nucléaire, qui assuraient un statut élevé aux femmes. L’Allemagne et le Japon n’appartiennent pas anthropologiquement à cet Occident : leur inclusion résulte de leur conquête en 1945. Et l’autre camp, au cœur de l’Ancien Monde ? C’est celui du communautarisme et du non-individualisme. L’effondrement du communisme athée a paradoxalement élargi la séduction de la Russie, qui se trouve désormais des affinités avec toutes les cultures patrilinéaires, de Ouagadougou à Pékin. Nous comprenons la sympathie pour Moscou de la Turquie, de l’Iran, de l’Inde, de l’Arabie saoudite.

Nous avons le devoir d’affirmer nos valeurs. Nous devons espérer qu’elles s’étendront au monde. Les systèmes familiaux, d’ailleurs, changent au cours des millénaires. Mais soyons sûrs que la guerre ne fera pas avancer la liberté, au contraire. L’affirmation impérieuse par l’Occident de son militaro-libéralo-fémino-LGBTisme (écrit sans ironie, j’ai besoin d’un concept global) ne peut qu’exaspérer les 75 % patrilinéaires de la planète, qui ne sont pas dans un état d’esprit favorable à des élections incessantes, à une émancipation immédiate des femmes, à l’homosexualité et à la négation de la différence entre les sexes (dans des cultures patrilinéaires, c’est un peu normal). Peut-on raisonnablement prêcher une tolérance interne aux nations en pratiquant l’intolérance dans les relations internationales ? Nous devons éviter ce qui serait pire qu’un conflit de civilisations, parce que plus profond, ancré dans l’inconscient des peuples : une guerre des mondes. Nous devons accepter et négocier la coexistence planétaire de fonds anthropologiques différents."


 

Auteur: Todd Emmanuel

Info: Sur https://www.laicite-republique.org/, 13 février 2023, à propos de ""Pire qu’un conflit de civilisations, nous devons éviter une guerre des mondes".

[ agnatisme ] [ historique ] [ nord-sud ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

dualité

La plus grande sagesse du monde reste impuissante si aucune force ne la sert, ne la défend, ne la protège, que la douce déesse de la paix ne peut paraître qu'au côté du dieu de la guerre, et que toute grande oeuvre de paix doit être soutenue et protégée par la force.

Auteur: Hitler Adolf

Info: Mein Kampf

[ brutalité ] [ dissuasion ] [ patrilinéarité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

philosophe

Mais parmi les disciples de Socrate, celui qui éclipsa toute autre renommée par les vives clartés de la gloire la plus légitime, c’est Platon. Athénien, d’une famille illustre, il s’éleva de bonne heure au-dessus de tous ses condisciples par la supériorité de son intelligence. Jugeant toutefois que, pour perfectionner la philosophie, ce n’était pas assez de son génie et des leçons de Socrate, il entreprit les plus lointains voyages, partout où l’entraînait la renommée de quelque enseignement célèbre. Ainsi l’Egypte lui communiqua les rares secrets de sa doctrine, et l’Italie où régnaient les Pythagoriciens, l’initia facilement, par des entretiens avec les plus savants d’entre eux, aux différentes questions remuées par la philosophie de Pythagore. Il aimait tendrement Socrate, son maître ; aussi lui donne-t-il la parole dans presque tous ses ouvrages où, réunissant les tributs de ses voyages aux résultats de ses propres méditations, il relève ce mélange par le charme piquant que Socrate répandait sur ses conversations morales. L’étude de la sagesse se divisa en action et spéculation, ou partie active et partie spéculative ; active, celle qui regarde la conduite de la vie et le règlement des mœurs ; spéculative, celle qui se rattache à la recherche des causes et à la vérité pure. Socrate excelle, dit-on, dans la première, et Pythagore dans la seconde, sur laquelle il concentra toutes les forces de sa pensée. Platon réunit l’une et l’autre ; la philosophie lui doit sa perfection et cette division nouvelle : la morale, qui surtout a rapport à l’action ; la physique, qui s’attache à la contemplation ; la logique, qui distingue le vrai du faux.

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, pages 330-331

[ biographie ] [ résumé ] [ théorie-pratique ]

 

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platoniciens

La littérature grecque, dont la langue est célèbre entre tous les idiomes des nations, présente deux écoles philosophiques : l’italique qui doit son nom à cette partie de l’Italie, dite autrefois la grande Grèce, et l’ionienne, née dans ces contrées qu’on appelle encore aujourd’hui la Grèce. L’école italique a pour auteur Pythagore de Samos, qui, dit-on, créa ce mot de philosophie. Avant lui, on appelait sages les hommes qui semblaient avoir sur les autres la supériorité d’une vie à certains égards meilleure. Mais lui, interrogé sur sa profession, se déclara philosophe, c’est-à-dire partisan ou amateur de la sagesse ; car en afficher la profession lui paraissait le comble de l’arrogance. Le chef de l’école ionienne est Thalès de Milet, l’un des sept sages. Laissant les six autres se distinguer par la conduite de leur vie et quelques enseignements de morale, Thalès sonde la nature des choses et fonde sa renommée sur des écrits qui perpétuent sa doctrine. Ce qu’on admirait surtout en lui, c’est la science des calculs astrologiques qui lui faisait prédire les éclipses de soleil et de lune. Il crut cependant que l’eau était le principe des choses et des éléments du monde, et du monde lui-même et de tout ce que le monde produit ; et dans cette œuvre que la contemplation nous découvre partout si admirable, il ne fait intervenir aucune Providence divine. Anaximandre, l’un de ses auditeurs, lui succède sans adopter son système sur la nature des choses. Il n’admet pas avec Thalès qu’elles procèdent toutes de l’eau, d’un principe unique, il assigne à chacune son principe particulier. Il veut que ces principes soient infinis et engendrent une infinité de mondes avec tout ce qu’ils produisent. Il veut que ces mondes meurent et renaissent tour à tour, après avoir rempli les conditions de leur durée. Enfin, il ne donne aucune part à l’intelligence divine dans les révolutions de l’univers. Maître d’Anaximène, il le laisse son successeur. Celui-ci attribue les causes générales à l’air infini. Il ne nie point les dieux ; il en parle même. Et cependant, suivant lui, l’air n’est pas leur créature, ils sont les créatures de l’air. Son disciple Anaxagore pense qu’un esprit divin est l’auteur de tout ce que nous voyons ; qu’une matière infinie, formée d’atomes semblables, compose tous les êtres, chacun suivant son espèce et le mode de son existence, et toutefois en vertu de l’action divine. Diogène, autre disciple d’Anaximène, croit que l’air est la matière de toutes choses, mais il lui prête une raison divine sans laquelle il serait incapable de rien produire. Archelaos, disciple et successeur d’Anaxagore, professe les mêmes opinions sur les parties élémentaires des choses, et suivant lui, une intelligence qui préside à la composition et à la décomposition de ces parties, produit tous les phénomènes sensibles. Il eut pour disciple Socrate, maître de Platon, et c’est en vue de Platon que j’ai sommairement tracé ce récit.

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, pages 328-329

[ ascendance ] [ précédecesseurs ] [ origines ] [ résumé ] [ généalogie intellectuelle ]

 

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christianisme

Pour nous, ce que nous cherchons, c’est une âme qui, affermie par la vraie religion, n’adore pas le monde comme son Dieu, mais l’admire en vue de Dieu, comme l’œuvre de Dieu, et, délivrée de toute souillure mondaine, s’élève pure à Dieu, créateur du monde.

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, page 315

[ naturel-surnaturel ] [ créature-créateur ]

 

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