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dualité

Ce qui enveloppa le monde pour finir, ce fut un grand ricanement. Ricanement d'une résonnance profonde. On sentait que ça venait de loin et que ça irait partout. Mais savoir qui ricanait : le créateur, le destructeur ? Absolumentimpossible à dire. En tout cas, ce fut déprimant pour ceux

qui attendaient la juste trompette des anges.

Auteur: Norge Géo

Info: Fin du monde. Oignons, inédits

[ apocalypse ] [ mourir ]

 

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liseurs

Le vrai lecteur est un aventurier solitaire. Il cherche un frisson nouveau, hors des sentiers battus.

Auteur: Baudelaire Charles

Info:

[ curiosité ] [ moteur ] [ quête ] [ dépaysement ] [ citation s'appliquant à ce logiciel ]

 

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cosmologie

Où est le centre de l’Univers ?

(Photo : Le point d'interrogation cosmique en bas au centre de l'image)

Par sa grandeur et sa complexité, l’Univers continue de fasciner et d’interroger les esprits curieux depuis des siècles. Parmi les questions les plus fondamentales qui captivent les astronomes et les cosmologistes : existe-t-il un centre de l’Univers ? Et si oui, où se trouve-t-il ?

Les découvertes de Hubble

Au début des années 1920, l’astronome Edwin Hubble fit deux découvertes capitales qui transformèrent notre vision du cosmos. Tout d’abord, il observa que les nébuleuses lointaines étaient en réalité des galaxies distinctes, dispersées à travers l’Univers. Cette découverte marqua un tournant majeur dans l’astronomie, car elle montrait qu’il était bien plus vaste et complexe que ce que l’on croyait auparavant.

Plus surprenant encore, Hubble constata que toutes ces galaxies semblaient s’éloigner de la Voie lactée. En analysant leurs spectres lumineux, il observa un décalage vers le rouge proportionnel à leur distance : les galaxies les plus lointaines semblaient s’éloigner plus rapidement que celles situées plus près de nous. Ce phénomène, aujourd’hui connu sous le nom de loi de Hubble, est une preuve cruciale de l’expansion de l’Univers.

Ces observations révolutionnaires trouvèrent leur explication dans la théorie de la relativité générale d’Einstein, publiée quelques années auparavant. Ce scientifique avait en effet prédit que l’Univers pourrait être en expansion ou en contraction, une idée qui contrastait fortement avec la vision statique et immuable du cosmos qui prévalait à l’époque. La découverte de Hubble confirmait ainsi les implications dynamiques de la théorie d’Einstein.

En conséquence, le concept d’un cosmos en expansion constante fut solidifié. Selon cette nouvelle compréhension, l’Univers aurait commencé son expansion à partir d’un état de densité et de température extrêmes, un événement initial connu sous le nom de Big Bang. Cette théorie changea non seulement notre perception du cosmos, mais aussi ouvrit la voie à de nouvelles explorations sur la nature de l’espace, du temps et de notre place au sein de cette immense toile cosmique.

Où est le centre de l’Univers ?

La question du centre de l’Univers est fascinante, mais déroutante. À première vue, on pourrait penser que le Big Bang, le moment initial de son expansion, en est le centre naturel. Cependant, notre compréhension moderne de la cosmologie nous indique que cette notion est plus complexe qu’il n’y paraît.

Pour comprendre l’Univers, nous devons d’abord considérer ses dimensions et ses caractéristiques fondamentales. Il a lui-même un âge estimé à environ 13,77 milliards d’années, mais en raison de la limitation de la vitesse de la lumière, notre vision est limitée à environ 45 milliards d’années-lumière de distance. Au-delà de cette distance, son expansion est si rapide que la lumière émise par ces régions ne nous parviendra jamais. Ainsi, la majeure partie du cosmos nous reste invisible, comparable à chercher à traverser une forêt obscure avec une lampe de poche dont le faisceau ne peut éclairer que jusqu’à une certaine distance.

Pas de centre

Par définition, l’Univers englobe tout ce qui existe. Cela signifie qu’il ne peut y avoir de limites externes, car toute division impliquerait quelque chose en dehors de lui. Ainsi, il pourrait être si vaste qu’il serait impossible de localiser un centre précis dans un espace infini.

Une autre perspective est que l’Univers pourrait être fini, mais courbé sur lui-même à une échelle cosmique très large. Cela signifierait que si vous voyagez assez loin dans une direction, vous finiriez par revenir à votre point de départ, tout comme si vous marchiez autour de la Terre et reveniez à votre point de départ après avoir traversé toutes les directions possibles. Dans ce scénario, il n’y aurait toujours pas de point central privilégié. Chaque point serait alors équidistant du " centre " dans cette structure courbée.

Prenons l’analogie de la Terre : vous pouvez facilement identifier le centre de la planète en pointant vers son noyau, mais il est impossible de désigner un centre sur la surface d’une carte, car chaque point peut sembler être au centre de sa propre perspective. De la même manière, le Big Bang, l’événement qui a marqué le début de notre Univers, n’a pas eu lieu en un point de l’espace, mais à un instant précis dans le temps. Il a marqué le commencement de l’expansion de tout l’espace et de tout le temps simultanément.

Ainsi, même si d’un point de vue terrestre, toutes les autres galaxies semblent s’éloigner de la Voie lactée, donnant l’illusion que nous sommes au centre de l’expansion de l’Univers, cette perception est trompeuse, car toute galaxie pourrait prétendre être au centre de son propre champ d’expansion, chaque point dans l’espace ayant une perspective similaire.

La quête du centre de l’Univers nous invite donc à reconsidérer notre conception de l’espace, du temps et de notre place au sein de ce vaste cosmos en évolution perpétuelle. Elle nous enseigne que bien que nous soyons au centre de notre propre horizon observable, chaque point dans l’Univers peut légitimement prétendre être au centre de son propre univers observable. C’est une perspective vertigineuse, mais enrichissante qui nous pousse à apprécier la relativité de notre position dans cet espace immense en constante expansion.

Auteur: Internet

Info: https://sciencepost.fr/, Brice Louvet, 21 juin 2024

[ astrophysique ] [ positionnement topologique ]

 

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préconscient

Comparer le pouvoir créatif du subconscient à celui de l'esprit conscient, c'est comme comparer une banque de superordinateurs à la calculatrice d'un enfant.

Auteur: Bruce Robert

Info: Astral Dynamics : une nouvelle approche de l'expérience hors du corps

 

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ironie

Après la mort accidentelle du président iranien Ebrahim Raïssi, considéré comme un des principaux responsables des exactions et autres violences perpétrées contre le peuple en lutte avec le pouvoir islamiste. L'opposition se contenta de diffuser ce court message, maintes fois repris. 

"Allah est grand".

Auteur: Internet

Info: mai 2024

[ dictature religieuse ]

 

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codages humains

( FLP ) - Bonjour. L'IA est toujours plus compétente pour le codage informatique... Elle sera peut-être capable d'autonomie d'ici quelques année en la matière. En tant qu'IA pourrais-tu m'expliquer les différences syntaxiques les plus importantes entre le langage humain et le codage informatique ?

(Perplexity.ai) - Voici les principales différences syntaxiques entre le langage humain et le codage informatique : Le langage humain est naturel, flexible et ambigu, tandis que le codage informatique est formel, rigide et précis. Le langage humain utilise des mots, des phrases et une grammaire complexe, alors que le codage utilise des instructions, des syntaxes et des structures de données spécifiques. Dans le langage humain, la signification dépend beaucoup du contexte et de l'interprétation. En revanche, le codage doit être sans ambiguïté et les instructions doivent être exécutées de manière déterministe. Le langage humain est souvent implicite et sous-entend des informations, tandis que le codage doit être explicite et détailler chaque étape. Les humains peuvent communiquer avec des gestes, des expressions et des sous-entendus, mais l'ordinateur ne peut comprendre que des instructions écrites de manière formelle. Enfin, le langage humain évolue naturellement, alors que le codage doit suivre des standards et des conventions stricts pour assurer la compatibilité et la maintenabilité des programmes.

(FLP) - Peut-on avancer que l'un précède s'appuie sur l'autre ? Et donc que l'un s'appuie sur l'autre ?

(Perplexity.ai) -  Oui, on peut avancer que le codage s'appuie sur le langage humain, et que le langage humain précède le codage informatique. Voici les principales raisons qui étayent cette affirmation : Le langage humain est naturel, flexible et ambigu, tandis que le codage informatique est formel, rigide et précis. Le langage humain utilise des mots, des phrases et une grammaire complexe, alors que le codage utilise des instructions, des syntaxes et des structures de données spécifiques. Le langage humain a évolué naturellement au fil du temps, alors que le codage informatique a été développé pour permettre la communication avec les machines, en s'inspirant des structures du langage humain. Les langages de programmation ont été créés comme intermédiaires entre le langage humain et le langage machine binaire. Avant de coder, les programmeurs doivent avoir une compréhension du problème à résoudre et une logique de haut niveau, souvent exprimée sous forme de pseudocode, qui s'appuie sur le langage naturel. Le codage consiste ensuite à traduire cette logique dans un langage de programmation formel. Donc oui, on peut affirmer que le langage humain précède et sert de base au développement du codage informatique, qui s'en inspire pour permettre la communication avec les machines.

(FLP) - Merci. Je suis étonné qu'a aucun moment ne soient évoquées les mathématiques

(Perplexity.ai) - Vous avez raison, les sources fournies ne traitent pas directement des mathématiques, mais plutôt des différences entre le langage naturel et le langage formel. Cependant, on peut faire les observations suivantes : Les sources soulignent que le langage mathématique, tout comme le codage informatique, se distingue du langage naturel par sa syntaxe formelle, sa précision et son absence d'ambiguïté. Elles expliquent que le langage mathématique a ses propres règles grammaticales, catégories de mots et conventions de notation. Certaines sources évoquent spécifiquement l'articulation entre la syntaxe et la sémantique dans le langage mathématique, et l'importance de cette articulation pour la compréhension et l'apprentissage des mathématiques. Donc bien que les mathématiques ne soient pas le sujet principal des sources, on peut en déduire que les différences syntaxiques entre le langage naturel et le langage formel des mathématiques sont un élément clé pour comprendre la nature et l'apprentissage des mathématiques. Les sources soulignent l'importance de cette distinction dans un contexte plus général de formalisation du langage.

(FLP) - Merci. Personnellement j'ai l'impression que ce qu'il se passe c'est que les LLMs, avec les transformers et autres outils, vectorisent des mots ou éléments de langage "au-delà" des frontières des grands idiomes humains. Et donc procèdent et établissent des genres de "catalogages sémantiques des significations"... voire même de mathématisation, du verbe humain

(Perplexity.ai) - Votre observation est pertinente. Les modèles de langage les plus avancés, comme les LLMs (Large Language Models) utilisant des architectures de type transformers, semblent en effet aller au-delà des frontières des langues humaines traditionnelles pour établir une représentation sémantique plus universelle du langage. Voici quelques points clés à ce sujet : Les langues humaines sont naturelles, flexibles et ambiguës, tandis que les langages formels comme les mathématiques ou l'informatique sont plus rigides et précis. Les LLMs cherchent à capturer la sémantique sous-jacente au-delà des spécificités syntaxiques des langues. En vectorisant les mots et éléments de langage, les LLMs établissent une représentation numérique de la signification qui transcende les frontières linguistiques. Ils peuvent ainsi faire des analogies, des inférences et des généralisations au-delà des règles grammaticales d'une langue donnée. On peut voir cela comme une forme de "mathématisation" du langage naturel, où les modèles tentent de saisir la logique et la structure sémantique profonde, au-delà des variations de surface entre les idiomes humains. Cela ouvre la voie à un traitement plus universel et formel du langage par les machines. Donc vous avez raison, les LLMs semblent viser une représentation plus abstraite et générique du langage, qui dépasse les catégorisations traditionnelles des langues naturelles. Cela leur permet d'établir des "catalogages sémantiques" plus mathématiques et transversaux, au-delà des frontières linguistiques.

 

Auteur: Internet

Info: 22 juin 2024

[ intelligence artificielle ] [ comparaison ] [ dialogue homme-machine ] [ dictionnaires 2.0 ]

 
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commérages

Si un meurtre est bien sûr une tragédie, c'est d'abord un formidable sujet de conversation. Dresser un tableau 100% négatif des assassins, c'est faire preuve d'un esprit étroit. Le tueur crée du lien social. Il alimente les débats, nourrit les échanges, fait vivre la cité. Il faudrait chiffrer ça en détail, mais je mettrais mon majeur à couper que le ratio avantages / inconvénients plaide en faveur du crime.

Auteur: Erre Jean-Marcel

Info: Qui a tué l'homme-homard ?

[ tueur ] [ fait divers ] [ passe-temps ]

 

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paradoxe

Les chiffres sont clairs : plus un pays est développé, plus la consommation de psychotropes augmente. Plus les gens vivent dans le confort, plus ils sont dépressifs. Plus ils vivent longtemps, en bonne santé et en mangeant à leur faim, plus ils voient la vie en noir.

S'il faut en conclure que c'est le bonheur qui rend malheureux, on n'est pas sorti de l'auberge.

Auteur: Erre Jean-Marcel

Info: Le bonheur est au fond du couloir à gauche

[ confort ] [ réussite ] [ échec ]

 

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couples mythiques

A la place, j'ai cherché du réconfort dans la littérature, comme toujours. Et j'en ai trouvé, comme chaque fois. Romeo et Juliette ? une passion abrégée par un double suicide. Tristan et Iseult ? Deux amants à la fin pathétique. Orphée et Eurydice ? Un désastre. Antigone et Hémon ? La cata. Catherine Earnshaw et Heathcliff ? la lose intégrale. Chloé et Colin ? la seum du nénuphar. Quant à Adam et Eve - le tout premier couple de l'histoire, protagonistes du livre le plus vendu au monde -, passé les premiers temps des roucoulades à base de zoophilie naturiste et de dégustation de granny smith, ils n'auront pas connu bien longtemps le Paradis.

Auteur: Erre Jean-Marcel

Info: Les autres ne sont pas des gens comme nous, p. 43

[ ironie ]

 

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palier évolutif

On a le coupable de la chute dramatique en oxygène survenue dans les océans il y a 94 millions d’années

Il y a 94 millions d’années, la vie marine connaissait une période difficile. De nombreuses espèces disparaissent, sous l’effet de l’appauvrissement en oxygène du milieu océanique. Si l’activité volcanique était déjà suspectée comme étant la cause de cette crise, le véritable coupable vient d’être clairement identifié.

On sait à quel point atmosphère et océan sont deux milieux étroitement liés et dépendants. Ainsi, toute perturbation climatique se répercute d'une manière ou d'une autre sur le milieu marin. C'est ainsi que l’on observe actuellement une acidification des océans, en réponse au réchauffement climatique.

Dans son histoire, la Terre a connu de nombreuses fluctuations environnementales de ce type, certains événements particulièrement sévères ayant mené à des crises biologiques, voire à des extinctions de masse. Hormis la crise actuelle qui est causée par les activités humaines, toutes les autres trouvent leur origine dans des combinaisons de paramètres naturels (volcanisme, variations de l’orbite terrestre, agencement des continents...).

La formation des grands plateaux volcaniques souvent à l’origine des crises biologiques

Des épisodes de volcanisme intense, marqués par l’effusion de gigantesques volumes de lave sur plusieurs dizaines de milliers d’années, sont souvent à l’origine de ces bouleversements climatiques. La formation de ces grands plateaux basaltiques que l'on appelle des LIP (Large Igneous Province) émet en effet de grandes quantités de CO2, qui vont au fil du temps s'accumuler dans l'atmosphère, entraînant un réchauffement global du climat et une perturbation du cycle du carbone. Cette hausse des températures engendre ainsi une augmentation des processus d'érosion des roches continentales, et donc un apport en nutriments plus important dans l'océan. Dopée par cet apport nutritif, la productivité organique de l'océan augmente. Algues et micro-organismes se développent en masse. De grandes quantités de matière organique vont alors commencer à se déposer dans le fond des océans. Et cela ne va pas être sans conséquence sur l'environnement marin. La dégradation de toute cette matière organique par les bactéries va en effet entraîner une forte consommation de l'oxygène. Peu à peu, la teneur en O2 de l'océan baisse et des zones anoxiques (sans oxygène) commencent à se former. Or, sans oxygène, pas de vie, même dans les océans.

Ces événements anoxiques océaniques sont ainsi souvent associés à des extinctions de masse dans le domaine marin. On les identifie dans les séries sédimentaires par la présence de strates de couleur noire car chargées en matière organique, et par l'absence de faune benthique normalement typique de cet environnement. Ces conditions peuvent perdurer plusieurs milliers d'années.

Une sévère extinction dans les océans il y a 94 millions d’années

Le Crétacé est marqué par deux grands épisodes de ce type. Notés OAE 1 et OAE 2 (OAE pour Oceanic Anoxic Event), ils se sont produits respectivement il y a 120 et 94 millions d'années. Le second événement anoxique, qui marque la limite entre le Cénomanien et le Turonien, est ainsi caractérisé par une extinction de masse particulièrement sévère dans le milieu marin. Les célèbres ichtyosaures et presque tous les pliosaures disparaissent à ce moment-là. Si le rôle des volcans dans l'origine de cet événement dramatique est depuis longtemps suggéré, la source exacte restait débattue. Jusqu'à présent, deux suspects potentiels étaient proposés : le LIP des Caraïbes et le LIP de l'Extrême-Arctique. Une nouvelle étude, publiée dans la revue Nature communications, pointe cependant du doigt un autre coupable.

(Photo : carte présentant la paléogéographie au milieu du crétacé)$

L'analyse géochimique et isotopique de sédiments prélevés dans le bassin de Mentelle au large de l'Australie révèle en effet que l'Événement anoxique océanique 2 (OAE 2), survenu il y a 94 millions d'années, serait lié à l'activité éruptive du plateau océanique de Kerguelen, qui serait arrivé à l'émersion à ce moment-là.

Bien que les causes de cet événement soient totalement différentes de celles de la crise climatique actuelle, comprendre les origines et les mécanismes de ces crises passées est essentiel pour anticiper au mieux l'évolution de notre environnement.

Auteur: Internet

Info: https://www.futura-sciences.com/ Morgane Gilliard, 20 juin 2024

[ crétacique ] [ pressions de sélection ] [ palier évolutif ] [ équilibres ponctués ]

 

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