kvantovyy (квантовый) : terme polysémique, étroitement lié à la mécanique quantique et à ses concepts fondamentaux. Peut être utilisé dans différents contextes pour désigner :

- Des phénomènes physiques: par exemple, "квантовое явление" (phénomène quantique) désigne un phénomène qui ne peut pas être expliqué par la physique classique et qui nécessite la mécanique quantique pour être compris.

- Des objets physiques : par exemple, "квантовая частица" (particule quantique) désigne une particule élémentaire, comme un électron ou un photon, dont le comportement est régi par la mécanique quantique.

- Des technologies : par exemple, "квантовый компьютер" (ordinateur quantique) désigne un ordinateur qui utilise les principes de la mécanique quantique pour effectuer des calculs.

La découverte des quanta a conduit au développement de la mécanique quantique, une théorie physique qui décrit le comportement de la matière et de l'énergie à l'échelle atomique et subatomique. La mécanique quantique a introduit des concepts nouveaux et parfois contre-intuitifs, tels que la dualité onde-particule, le principe d'incertitude et l'intrication quantique.

Le terme "quantique" est parfois utilisé dans un sens plus large, voire métaphorique, pour désigner quelque chose qui est discontinu, discret ou qui présente des propriétés étranges et inattendues.

En résumé "квантовый" est un terme riche et complexe qui renvoie à un concept fondamental de la physique quantique. Il est important de comprendre sa signification précise dans chaque contexte.

J'en ai assez du  pas assez 

du presque amour (peut-être)  à moitié accompli

des choses fragiles qui se plient, puis se brisent

comme les promesses chuchotées que nous simulons



J'ai soif de stabilité, d'authenticité, de vérité

de l'amour le plus pur qu'un coeur puisse ressentir

d''un tonnerre qui éclate dans ma poitrine

pas " plutôt proche ", mais toujours le meilleur



et si ça signifie que je marche seul

sur un chemin étroit avec un coeur de pierre

alors laissez mon âme, dans ses besoins, réaliser

que ce qui est à l'intérieur de moi est suffisant



je ne suis pas une pause, une question ou une attente

ni un demi-souhait, ni un coup du sort

je suis les racines, les flammes, la mer

le tout ceci est ce que je cherche pour moi



ne m'apportez plus d'étoiles empruntées

pas de feux d'artifice ni de symboles cachés

Je cherche l'amour qui ne meurt jamais

qui fait mal, qui crie et ne dit pas de mensonges



Je danserai seul, s'il n'y a pas de feu

en l'absence de passion, les cœurs peuvent se fatiguer

Je ne perdrai pas de temps avec du presque vrai

ni me contenter de ce qu'on attend de l'amour 

En réalité, pour tous les électeurs qui n’ont pas voté pour Hitler, et il s’agissait de la majorité d’entre eux, aucun parti ne fut capable d’organiser une force d’opposition au raz de marée national-socialiste. Cette attitude découle directement de la corruption d’une élite qui n’a pas eu le courage de défendre ses principes et, par conséquent, de prendre ses responsabilités politiques. Les libéraux, pour leur part, ne défendaient plus l’idéal de liberté de l’humanisme européen, ils ne se préoccupaient que de la liberté des marchés, seuls comptaient les intérêts financiers. Dans ce contexte, on ne ‘s’étonnera pas que les grandes puissances financières aient soutenu le nouveau pouvoir politique. Les sociaux-démocrates, en reniant leurs idéaux, ont perdu leur raison d’être. Ils ont renoncé à leur combat pour l’éducation morale et culturelle du peuple. En ne défendant plus que des intérêts d’ordre matériel, ils ont contribué à nourrir le ressentiment. Quant aux conservateurs, en prétendant défendre l’ «ordre» et les «traditions», ils ont abandonné sans scrupules leurs valeurs dans le seul but de se maintenir au pouvoir /…/ C’est dans ce contexte politique que les fascistes purent accéder au pouvoir, ces démagogues sans idées, dont la politique ne consistait qu’à attiser la haine et nourrir le ressentiment, sentiments profondément ancrés dans la peur de la liberté et l’étroitesse d’esprit. Une telle politique devait déboucher inéluctablement sur la violence, une violence sans limites. 

Mon cœur brûle d’un feu qui ne connaît pas de repos.

Je désire Toi, ô mon Bien-aimé, mais plus je Te cherche, plus je sens Ton absence.

Je suis comblée et vide, joyeuse et désespérée, car mon désir est à la fois ma joie et ma souffrance.

Ô Amour éternel, pourquoi me fais-Tu languir ainsi ?

Pourquoi me donnes-Tu ce goût de Toi, si Tu ne veux pas m’étancher ?

Il n'est pas bon d'être femme quand les hommes se font la guerre. Leur ingéniosité est sans limite pour asservir, avilir, dégrader. Luis serre très fort son stylo pour chasser la honte d'appartenir au même sexe que les auteurs du crime qu'il a sous les yeux.

Elle nous répétait souvent : " Les p'tits bonheurs, il faut les attraper et les serrer fort contre soi. Si on les collectionne, ils finissent par former un grand bonheur." Mon père, avec son esprit plus pragmatique, était totalement hermétique à sa poésie. Et chaque été sur la plage, nous avions droit aux mêmes sarcasmes. Là où elle nous montrait des galets en forme de cœur, il ne voyait que des cailloux.

Mon âme est embrasée par un feu qui ne consume que pour renaître. Je brûle d’un désir si ardent que rien ne peut l’apaiser, si ce n’est Lui. Mais plus je m’approche, plus je sens mon éloignement. Je suis comblée et vide, heureuse et désespérée, car mon désir est à la fois ma joie et ma souffrance. Ô Amour, pourquoi me fais-tu languir ainsi ? Pourquoi me donnes-tu ce goût de toi, si tu ne veux pas m’étancher ?  

Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie.

J’ai chaud extrême en endurant froidure :

La vie m’est et trop molle et trop dure.

J’ai grands ennuis entremêlés de joie.

Tout à un coup je ris et je larmoie,

Et en plaisir maint grief tourment j’endure ;

Mon bien s’en va, et à jamais il dure ;

Tout en un coup je sèche et je verdoie.

Ainsi Amour inconstamment me mène ;

Et, quand je pense avoir plus de douleur,

Sans y penser je me trouve hors de peine.

Puis, quand je crois ma joie être certaine,

Et être au haut de mon désiré heur,

Il me remet en mon premier malheur.

L’Âme est si profondément blessée par l’amour qu’elle ne peut plus se contenter de rien d’autre que de Lui. Elle est comme une flamme qui brûle sans cesse, consumant tout ce qui n’est pas Lui. Elle souffre, car elle ne peut atteindre ce qu’elle désire, et pourtant elle ne peut cesser de désirer. Elle est à la fois comblée et vide, heureuse et désespérée, car elle sait que son désir ne sera jamais pleinement assouvi.