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refoulement primordial

[…] dans FREUD la fonction de la mémoire comme telle, la remémoration fondamentale de tous les phénomènes auxquels nous avons affaire est à proprement […] rivale comme telle des satisfactions qu’elle est chargée d’assurer.

[…] La tyrannie de la mémoire, c’est cela qui pour nous, à proprement parler, s’élabore dans ce que nous pouvons appeler structure, dans le sens que ce terme de structure peut avoir pour nous. Tel est le point de départage, telle est la nouveauté, telle est la coupure sur laquelle il n’est pas possible de ne pas mettre l’accent si l’on veut voir clairement en quoi la pensée et l’expérience freudiennes apportent quelque chose de nouveau dans notre conception du fonctionnement humain comme tel.

[…] En d’autres termes, la structure engendrée par la mémoire ne doit pas vous masquer, dans notre expérience comme telle, la structure de la mémoire elle-même en tant qu’elle est faite d’une articulation signifiante. Car, à l’omettre, vous ne pouvez absolument soutenir ni distinguer ce registre qui est essentiel dans l’articulation de notre expérience, c’est à savoir l’autonomie, la dominance, l’instance comme telle de la remémoration, au niveau non du réel, mais du fonctionnement du principe du plaisir.

[…] c’est ici que se peut apercevoir où peut résider la naissance du sujet comme tel, dont rien par ailleurs ne peut justifier le surgissement. Je vous l’ai dit, la finalité de l’évolution d’une matière vers la conscience, purement et simplement, est une notion mystique, insaisissable et, à proprement parler, indéterminable historiquement. Ce qui d’ailleurs se voit par ceci, c’est qu’il n’y a aucune homogénéité d’ordre dans l’apparition des phénomènes, qu’ils soient prémonitoires, préalables, partiels, préparatoires à la conscience, ou un ordre naturel quelconque, puisque c’est bien quand même de son état actuel que la conscience se manifeste comme phénomène dans une répartition absolument erratique, je dirais presque éclatée.

Ce sont aux niveaux les plus différents de notre engagement dans notre propre réel que la tache ou la touche de conscience apparaît, qu’il n’y a aucune continuité, aucune homogénéité de la conscience et, après tout, c’est bien là où plusieurs fois FREUD, à plus d’un détour, s’est arrêté, soulignant toujours ce caractère infonctionnalisable du phénomène de la conscience.

Notre sujet, par rapport à ce fonctionnement de la chaîne signifiante, a par contre, lui, une place tout à fait solide et je dirai presque repérable, je veux dire dans l’histoire. L’apparition, la fonction du sujet comme tel, nous en apportons une formule tout à fait nouvelle et susceptible d’un repérage objectif. La définition d’un sujet, du sujet originel, d’un sujet en tant qu’il fonctionne comme sujet, d’un sujet détectable dans la chaîne des phénomènes, n’est pas autre chose que celle-ci : c’est que ce qu’un sujet comme tel représente, à proprement parler, essentiellement, originellement, c’est cela, c’est qu’il peut oublier.

Supprimez ce "il", le sujet est littéralement, à son origine et comme tel, l’élision d’un signifiant, le signifiant sauté dans la chaîne. Telle est la première place, la première personne. Ici se manifeste comme telle l’apparition du sujet, faisant toucher du doigt pourquoi la notion de l’inconscient, pourquoi et en quoi la notion de l’inconscient est, dans notre expérience, centrale.

Auteur: Lacan Jacques

Info: 11 mai 1960

[ définition ] [ frayages ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

traditionaliste

Le discours guénonien est d’une clarté admirable, tout paraît en ordre, comme dans une maison parfaitement rangée. Mais ouvrons les armoires et nous y découvrons souvent un invraisemblable fouillis où voisinent les choses les plus hétéroclites.

Auteur: Borella Jean

Info: A propos de René Guénon, dans L'intelligence et la foi, L'Harmattant, Paris, 2018, page 84

[ vacherie ] [ critique ] [ confusion ] [ approximation ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

modes herméneutiques

[…] de la traduction théologique des vérités métaphysiques, il [Guénon] donne comme exemple : "l’Être est" : métaphysique, traduit en "Dieu existe" : théologie. Il nous explique alors que la plupart des difficultés théologiques viennent de la confusion de l’être avec l’existence, confusion qui, en réalité, n’existe que dans l’idée que Guénon se fait de la théologie.

Tout cela n’aurait pas grand intérêt si une telle attitude n’était tout à fait significative. Guénon ne voit pas que si la scolastique est soumise à la théologie, c’est que l’intellectus fidei est nécessairement soumis à la révélation, la smriti est nécessairement soumise à la shruti. Pour Guénon, parler de l’être, c’est métaphysique ; parler de Dieu, c’est religieux ! […] On a le droit et même le devoir d’affirmer l’universalité du discours métaphysique […] et de l’opposer à la singularité de la religion. Mais il faudrait ajouter nécessairement qu’il s’agit alors d’une universalité abstraite visée dans la particularité d’une culture déterminée, tandis que la religion, en parlant de Dieu, parle de l’Universel en soi, de l’Être pur et infini comme tel ; sinon, à quoi bon la révélation ? Ou peut-être faut-il supposer qu’en tenant ce discours abstrait, R. Guénon – ou quelque autre – jouit de la connaissance effective et intégrale de l’Être ?

Auteur: Borella Jean

Info: L'intelligence et la foi, L'Harmattant, Paris, 2018, pages 84-85

[ critique ] [ signification ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

herméneutique

Le christianisme – mot grec qui signifie messianisme – est l’annonce de la proximité du Royaume, non de sa réalisation plénière. Le Royaume est en nous, par la grâce : il est en dehors de nous dans l’Eglise et les sacrements, mais il n’est pas encore réalisé en acte dans le monde. Le Royaume, c’est la plénitude du Logos. Ce Logos est révélé par le Saint-Esprit : il le communique soit comme un centre au cœur de chaque homme, soit comme une circonférence, dont l’Eglise est l’image visible, à l’horizon de toute chose ; mais la relation qui unit le centre à la circonférence et la circonférence au centre n’est pas encore réalisée.

C’est pourquoi le christianisme ne peut pas énoncer cette relation principielle comme une vérité doctrinale, sa nature "incarnationnelle" s’y oppose ; il peut seulement l’annoncer. Le christianisme, nous l’avons vu, c’est la religion du fait, de l’existentiel : le Logos ne s’y dévoile pas directement à l’intelligence spéculative, Il s’y montre comme un être réel, Il se fait chair. Il se donne sacramentellement dans l’eucharistie. Par conséquent, conformément à son mode révélatoire, le christianisme ne pourrait révéler le plérôme que comme un fait. Or, précisément, le plérôme ne se réalisera qu’à la fin des temps, où Dieu sera tout en tous.

On comprend ainsi que le christianisme, dans ses écrits sacrés, ne semble pas offrir une doctrine métaphysique explicitement intégrale ; laquelle ne saurait consister que dans la réalisation anticipée de l’intégration du multiple dans l’Un, du relatif dans l’Absolu, c’est-à-dire de toute chose en Christ. […] le christianisme exclut – relativement – une possibilité comme celle de la gnose intégrale explicite, parce que celle-ci est une manière, à bien des égards illusoire, de s’établir dans l’être immuable, alors que le chrétien est toujours "en voyage".

Auteur: Borella Jean

Info: L'intelligence et la foi, L'Harmattant, Paris, 2018, pages 80-81

[ étymologie ] [ parousie ] [ particularité ] [ temporel-éternel ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

christianisme

L’homme doit donc d’abord saisir directement qu’il a besoin d’être sauvé, c’est-à-dire qu’il est un être radicalement contingent. Le désir du Salut, c’est la conscience de notre contingence. Et c’est pourquoi le Salut se présente en Jésus-Christ, dans la contingence d’une ponctualité spatio-temporelle : voici Jésus, le Salut de Dieu ; crois-tu en Lui ? Voici la contingence qui parle à notre contingence, et qui la sauve d’elle-même, moyennant la foi, parce qu’elle est aussi la pure nécessité du Logos éternel. […] Pour sauver mon intelligence, Platon suffisait. Et du même coup, je m’oubliais, moi-même. Mais Jésus-Christ n’a pas prêché le Logos. Il l’a incarné. La contingence de son incarnation fait alors surgir ma propre contingence comme signe de ma perte et comme conscience de mon salut […]. […]

Nous comprenons alors que ce dont nous parlait la grande tradition métaphysique, à travers ses multiples expressions, n’était pas seulement des abstractions ou des idées directement assimilables par notre intelligence, mais que, derrière ces mots et ces concepts, se trouve la vraie patrie de notre être. L’impassibilité du discours intellectif cesse d’être de l’indifférence. […] On le voit, la véritable intelligence de Platon, c’est la foi en Jésus-Christ qui nous la donne.

Auteur: Borella Jean

Info: L'intelligence et la foi, L'Harmattant, Paris, 2018, pages 74-75

[ corps-âme-esprit ] [ kérygme ] [ matérialisation ] [ continuité ] [ accomplissement ]

 

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traditionaliste

Guénon n’a semble-t-il, de Platon, que l’idée que l’on peut s’en faire à l’aide d’un manuel de dixième ordre. […] Guénon écrit : "la métaphysique occidentale […] se réduit d’ailleurs à la seule doctrine d’Aristote et des scolastiques car […] on ne rencontre en Occident, du moins à partir de l’Antiquité classique, aucune autre doctrine qui soit vraiment métaphysique" [Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues, p. 126]. Voilà une raison évidemment péremptoire ! Mais elle ne convaincra que ceux qui prennent les tautologies du verbalisme pour de la rigueur intellectuelle. Comment une telle ignorance du platonisme peut-elle s’affirmer avec autant d’assurance ? Guénon est impeccable sur les principes, le Vedânta shankarien, la symbolique et la critique du monde moderne. Précisons que, dans L’homme et son devenir selon le Vêdanta, il présente un Vedânta mêlé de Samkhya, autrement dit une métaphysique mêlée de cosmologie selon l’Ecole de Vijnânabhikshu (XVIe siècle). Pour le reste, celui qui le relit vingt ans après, avec un peu plus de science et un peu moins de naïveté, s’expose à certaines déceptions. Tout le monde peut se tromper, et tout le monde se trompe, mais parler de omni re scibili et quibusdam aliis [De toutes les choses qu'on peut savoir, et même de plusieurs autres ] avec une assurance sempiternelle et inconfusible ne laisse pas d’être quelque peu problématique.

Auteur: Borella Jean

Info: L'intelligence et la foi, L'Harmattant, Paris, 2018, pages 71-72

[ critique ] [ partialité ] [ vacherie ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

philosophie antique

[…] la tradition platonicienne ne peut être assumée par la révélation chrétienne que si elle est dépouillée de son "égoïté" culturelle, de son centre le plus intérieur, de sa racine génétique. Et c’est contre ce dépouillement que protestent Plotin et Porphyre. Ce centre est un centre mystique. Le cœur du platonisme, c’est la contemplation du Bien, au-delà de l’être, et l’identification intellective à la source surintelligible de toute lumière. Le vrai platonisme, disons-le clairement, celui de Platon, et non celui des manuels universitaires, est l’une des plus hautes expressions de la métaphysique universelle. […] Mais c’est que le christianisme parle au nom d’un autre centre mystique, d’une ponctualité vraiment sacrée, celle du Logos fait chair en Jésus-Christ. L’ésotérisme platonicien est alors comme absorbé et effacé dans l’ésotérisme christique : il ne demeure de lui qu’une langue conceptuelle, relativement extérieure, que la nouvelle religion adopte comme la sienne propre.

Auteur: Borella Jean

Info: L'intelligence et la foi, L'Harmattant, Paris, 2018, pages 69-70

[ rencontre ] [ assimilation ] [ intégration ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

couple

En moi rien ne s'éteint ni s'oublie, mon amour se nourrit de ton amour, ma belle, et durant ta vie il sera entre tes bras sans s'échapper des miens.

Auteur: Neruda Pablo

Info:

[ déclaration d'amour ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

onomasiologie hébraïque

(FLP) Comme en musique tonale, où chaque instrument a ses limites et spécificités propres de traitement-production des sons tout en fonctionnant sur le même système tempéré, chaque langue "voit le monde à sa manière".  Ma question est donc : quelles sont les spécificités de l'hébreu et comment cet idiome voit-il le monde-priméité ?

(Claude) - L'hébreu possède en effet des spécificités remarquables qui façonnent une vision particulière du monde. Voici une analyse de ses caractéristiques les plus significatives :

1 Structure des racines :

- Système basé sur des racines trilittères (généralement 3 consonnes)

- Cette structure crée des familles de mots partageant un noyau sémantique commun

Exemple : la racine L-M-D (למד) génère des mots liés à l'apprentissage : apprendre, enseigner, étudiant, étude...

Cette caractéristique favorise une pensée qui perçoit les connections profondes entre les concepts

2 Conception du temps :

- Absence de temps au sens indo-européen

- Distinction entre actions accomplies et inaccomplies plutôt que passé/présent/futur

- Vision plus aspectuelle que temporelle

- Cela suggère une perception du temps moins linéaire, plus cyclique ou situationnelle

3 Économie et densité :

- Grande concision grâce au système des racines

- Un seul mot peut contenir une information très dense

- Les prépositions et pronoms peuvent être attachés aux mots

- Cette densité favorise la multiplicité des interprétations possibles

4 Dynamisme des verbes :

- Système de conjugaisons (binyanim) qui modifie le sens des verbes

- Un même verbe peut exprimer l'actif, le passif, le réflexif, le causatif

- Vision du monde où les actions sont interconnectées et transformables

5 Absence de verbe "être" au présent :

- Utilisation de phrases nominales

- Met l'accent sur l'état plutôt que sur le devenir

- Suggère une vision plus essentielle, moins transitoire des choses

6 Dimension numérique :

- Chaque lettre a une valeur numérique (guématria)

- Les mots sont donc aussi des nombres

- Crée un niveau supplémentaire de signification et de relations

7 Concept de genre :

- Tout nom est soit masculin soit féminin

- Les verbes s'accordent en genre

- Vision du monde où la dualité masculine/féminine est omniprésente

8  Relation au concret :

- Vocabulaire souvent basé sur des images concrètes

- Les concepts abstraits dérivent souvent de termes concrets

Exemple : "esprit" (ruah) signifie aussi "vent"

Suggère une pensée qui ancre l'abstrait dans le tangible

9 Place de l'interprétation :

- Écriture consonantique à l'origine

- Multiplicité des lectures possibles

- Favorise une approche interprétative et dialogique du sens

10 Dimension sacrée :

- Langue considérée comme divine dans la tradition

- Chaque lettre est porteuse de signification

- Vision du langage comme outil de création et de transformation

11 Temporalité des verbes :

- Le futur peut devenir passé par ajout d'un simple "et" (vav conversif)

- Suggère une vision fluide et interconnectée des temporalités

Cette structure linguistique unique façonne une vision du monde :

- Plus associative que linéaire

- Plus holistique qu'analytique

- Plus orientée vers les relations que vers les éléments isolés

- Plus attentive aux transformations qu'aux états fixes

- Plus ouverte à la multiplicité des interprétations

Cette façon de "voir le monde" à travers l'hébreu a profondément influencé la pensée juive et continue d'imprégner la culture israélienne contemporaine.

Auteur: Claude.ai 3.5 Sonnet

Info: 12 novembre 2024

[ perspectiviste ] [ atemporelle ] [ judéo-christianisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

théologie

(FLP) - Peux-tu développer autour de ce principe herméneutique majeur du judaïsme qui pose une lecture non temporelle et non diachronique de la Bible, placée sous le signe de l'éternité. Il s'énonce par la formule : "Il n'y a ni avant ni après dans la Torah."

(Claude) - Ce principe "Ein mouqdam oume'ouhar baTorah" (אין מוקדם ומאוחר בתורה) - "Il n'y a ni avant ni après dans la Torah" - est effectivement un concept  fondamental dans l'exégèse juive. Je vais développer ses implications majeures :

Dimension métaphysique.

- La Torah est considérée comme préexistante à la Création, comme un plan divin hors du temps

- Elle reflète une vérité éternelle qui transcende la chronologie historique

- Chaque mot, chaque passage peut donc être mis en relation avec n'importe quel autre, indépendamment de leur position dans le texte

Implications herméneutiques :

- Cette approche permet une lecture synchronique plutôt que diachronique du texte

- Elle autorise des rapprochements thématiques entre des passages éloignés

- Un événement narré plus tard peut éclairer un passage antérieur et vice-versa

- Les répétitions ou apparentes contradictions sont vues comme porteuses de sens supplémentaires

1 Méthodes d'interprétation :

- Le Midrash utilise abondamment ce principe pour tisser des liens entre différentes parties du texte

- La méthode de la Guézéra Shava (analogie verbale) s'appuie sur cette conception

- Les commentateurs peuvent expliquer un verset en utilisant des passages situés ailleurs dans la Torah

1 Exemples concrets :

- L'histoire de la création de la femme est racontée deux fois (Genèse 1 et 2)

- Le récit du don de la manne précède l'arrivée au Sinaï dans l'Exode, mais y fait référence

- Certains commandements sont détaillés bien après leur première mention

1 Implications philosophiques :

- Cette lecture suggère une conception cyclique plutôt que linéaire du temps

- Elle propose une vision holistique où chaque élément est en relation avec le tout

- Le texte devient un réseau de significations plutôt qu'une simple narration

1 Impact sur la pensée juive :

- Influence sur la conception du temps dans le judaïsme

- Développement d'une pensée associative et analogique

- Vision de la Torah comme un système cohérent et unifié

Cette approche herméneutique ouvre à une lecture plus profonde et plus riche du texte biblique, dépassant la simple chronologie pour accéder à des niveaux de sens multiples et interconnectés. 

Auteur: Claude.ai 3.5 Sonnet

Info: novembre 2024

[ atemporalité ] [ judéo-christianisme ] [ judéité ] [ anagogisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel