Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info
Rechercher par n'importe quelle lettre



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits... Recherche mots ou phrases tous azimuts... Outil de précision sémantique et de réflexion communautaire... Voir aussi la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats ... Lire la suite >>
Résultat(s): 5481
Temps de recherche: 0.033s

théologie

Quand la physique quantique nous mène à Dieu

Yves Dupont est l’auteur de “l’empreinte de Dieu dans le monde quantique”. En cette année 2025 consacrée par les Nations Unies “année internationale des sciences et technologies quantiques”, il apporte une lecture spirituelle à ses travaux scientifiques, dans la continuité de la réflexion menée par Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies dans “Dieu, la science, les preuves”.

Alors qu’un sondage de l'American Association for the Advancement of Science de 2009 affirme que 51 % de scientifiques croient en une entité supérieure, dont 33 % en Dieu, les scientifiques contemporains semblent vouloir apporter un nouveau regard sur la science à la lumière de la foi.

La physique, porte ouverte sur la métaphysique

Yves Dupont en est convaincu, la science se lit aussi par le prisme spirituel. Une certitude qui le pousse à envisager les entités comme incapables de s’auto-créer. “S'il y a des idées, c'est qu'il y a quelqu'un qui les pense”. Il faut, selon sa piste de réflexion, envisager la physique et les mathématiques comme une voie de réflexion vers l'infiniment grand et vers une conception spirituelle de la science. “On voit bien que derrière cette physique se greffent des entités non matérielles”. Celles-ci amènent naturellement vers une conception du mystère qu’Yves Dupont attribue à Dieu. “Ce que j'essaie de montrer, c'est qu'au-delà de la matière, il y a l'esprit, que j'appelle l'esprit omniscient”. Cette nouvelle façon de penser la science vise à envisager la religion non pas en tant que superstition vouée à l’échec, mais comme une grille de lecture du mystère de la création. 

S'il y a des idées, c'est qu'il y a quelqu'un qui les pense.

L’incarnation au sommet de la réflexion

Intégrer les questions métaphysiques dans la pensée scientifique revient à prouver la présence permanente de Dieu dans sa création. La question qui vient alors naturellement à l’esprit est la suivante : de quel Dieu s’agit-il ? Selon Yves Dupont, il s’agit bien du Dieu tel que le conçoivent les chrétiens, car c’est le propre du Christianisme que de considérer le mystère de l’incarnation. “À partir du moment où il y a un lien métaphysique entre le monde matériel et le monde de l'esprit, on est, je pense, très proche de la philosophie et théologie chrétienne, à savoir que Dieu intervient dans le monde”, souligne-t-il. L’auteur va plus loin en affirmant la vérité de l’incarnation. “C’est une réalité matérielle”, précise-t-il. Quoi de mieux qu’une réalité matérielle pour percer le mystère d’une entité immatérielle ? Une chose est sûre, pour Yves Dupont, la raison, c’est Dieu.


 

 

Auteur: Internet

Info: https://www.rcf.fr/, Constance Fiévet - RCF, le 2 juin 2025

[ rationalisme ] [ spiritualité ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

sciences

Pourquoi un bruit strident de craie est-il insupportable ?
Des bruits stridents tels que celui d'une fourchette sur une assiette ou celui d'une craie sur un tableau provoquent chez la majorité des gens des réactions de frissonnement ou de chair de poule. L'étude menée par un chercheur de l'Institut de Musicologie de l'Université de Vienne et un chercheur de l'Université Macromedia pour les Médias et la Communication de Cologne révèle que cela est dû à la fois à des raisons psychologiques et à des raisons physiologiques.
Les fréquences moyennes sont en cause
Dans un premier temps, les chercheurs Christoph Reuter et Michael Oehler ont regroupé une centaine de volontaires afin de sélectionner les bruits stridents (ongles sur un tableau, fourchette sur une assiette...) les plus crispants. D'autres volontaires ont ensuite été soumis à cette sélection de sons au cours des expériences. Deux groupes ont été formés avec ces volontaires ; le premier a été informé qu'ils entendraient des extraits de musique moderne, l'autre groupe savait qu'il allait écouter des bruits de raclement.
Durant la lecture des sons, le niveau de stress des participants a été mesuré (sur la base de la pulsation, de la tension artérielle, de la température et de la résistance électrique de la peau), puis leurs avis concernant l'évaluation du bruit ont été recueillis. Il s'avère que ceux qui pensaient écouter de la musique ressentent les bruits de façon nettement moins désagréable ; mais les réactions corporelles liées au stress étaient cependant comparables dans les deux groupes.
Par la suite, les chercheurs ont modifié les sons avec un programme informatique, en enlevant ou amplifiant certaines fréquences ou en supprimant certaines parties. Il s'est avéré que ce sont principalement les fréquences du bruit comprises entre 2.000 et 4.000 Herz qui sont perçues comme désagréables: sans ces composantes, les bruits ne sont plus aussi mal ressentis. Une étude de 1986 par le chercheur Randolph Blake, lauréat du prix IgNobel en 2006 pour cette raison, avait déjà conclu que c'étaient principalement les bruits de fréquence moyenne qui provoquaient cette sensation.
Cette gamme de fréquence joue un rôle particulier dans la communication humaine: même les enfants en bas âge pleurent surtout dans cette gamme. Or le canal auditif humain, en raison de sa longueur et de sa forme, permet la résonance des sons de ces fréquences. Les chercheurs font donc l'hypothèse que le caractère désagréable des sons de raclement est encore renforcé par l'anatomie humaine. Ils envisagent à présent de mieux comprendre les spécificités de ces bruits, afin que les ingénieurs puissent réduire la nuisance causée par exemple par les aspirateurs ou les équipements de construction.

Auteur: Internet

Info: 23 nov 2011

[ écoute ] [ musique ]

 

Commentaires: 0

lectrices

F.D. : Il n'y a qu'à moi que ça arrive : j'ai adoré, j'ai dévoré un livre... et pourtant quelques temps après je ne m'en souviens plus, même pas le nom des personnages !

Marylin Fournier : Euh moi aussi, c’est pareil. Qu’est-ce que ce groupe est génial, c’est rassurant de savoir que l’on est pas seule  

Caroline Bayet : Moi aussi, ça m’arrivait! Alors je fais un livre de lecture! Cb est hyper sympa et pratique!

Nadine Riquoir : C'est pareil pour moi!! Peut-être qu on en lit tellement qu'on mélange tout, car dès un livre terminé... un autre prend le relais tout de suite !!

Erminia Antoinetta Alati : Merci pour ce post j'ai cru être la seule et avoir un problème de mémoire.

Wendy Stou : Pareil, je me souviens d'aucun, je sais juste que j'ai adoré l'histoire xD

Clarisse Rizet Prioux : Ah bah je suis rassurée alors je ne suis pas la seule 

Annie Coté Lucas : Pareil, je pense qu'il faudrait investir dans un cerveau plus performant 

Véronique Ramond : Pareil. Je vais me souvenir que j'ai aimé (ou non), de l'émotion. Ça va me revenir si je remets le nez dedans, mais je serais bien incapable de raconter l'histoire ou de me souvenir du nom des personnages qq semaines plus tard. Je me sens moins seule.

Lau Evanaelle : Ah mais tout mais tout pareil donc aucune inquiétude

Mireille Everaert : Je suis tellement contente de n' être pas du tout la seule d'avoir ce problème

Murielle Vallery : Ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas la seule. Je peux me rappeler un peu de l'histoire mais pas du tout des prénoms des personnages 

Catherine Desroches : Je me sens moins seule dans ce cas donc j'ai décidé de noter mes futures lectures dans un joli carnet déniché pendant mes vacances en Bretagne

Lamia Sta : je prends note des passages qui me parlent.

Nelly Clément : Mitou. C'est pourquoi je garde les livres. Un jour je les relirai 

Florence Dupont à Nelly Clément : je faisais ça aussi avant. Maintenant par manque de place et pour raison financière je préfère la bibliothèque !

Virginie Flament : Si ça peut vous consoler il m'arrive de devoir reprendre la lecture de mon livre à la 1ere page  et parfois plusieurs fois 

Laetitia Jaquet : Vous n'êtes pas seule je vous rassure 

Jacqueline Besoin : Moi idem

Stéph Anie Bui : Je suis également pareille 

etc, etc

Auteur: Internet

Info: Initié par Florence Dupont In le Groupe FB La Fureur De Lire. 23 juillet 202

[ oublieuses ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

déréalisation

Quand dose de rappel rime avec casque de réalité virtuelle. Pour la première fois, le centre installé au Multiplex à Dijon (Côte-d'Or) a ouvert des créneaux de vaccination dédiés aux enfants ce mercredi 12 janvier. Avec un équipement spécifique pour l'occasion : un casque de réalité virtuelle.

Les enfants qui se sont inscrits pour recevoir leur vaccin contre le Covid-19 sont donc pris en charge par les personnels soignants et enfilent l'outil juste avant que la terrible aiguille qui peut parfois leur faire peur ne vienne les piquer. "Ils ont un paysage apaisant qui leur permet de se concentrer sur autre chose. Ça permet de focaliser et attirer l'attention des enfants sur autre chose pour les vacciner sans leur fait mal", décrit Bruno Cabrita, responsable du centre et médecin chef du SDIS 21.

Pour l'heure, les équipes médicales du Multiplex disposent d'un seul casque prêté par l'association Rêve d'enfants malades, le Lions Club Dijon Doyen et le club Ferrari France. Le dispositif est expérimenté pour la première fois ce mercredi et le sera lors des prochaines sessions de vaccination réservée à nos petites têtes, à commencer par ce samedi 15 janvier.

Ce mercredi, ce sont alors 20 enfants qui ont pu enfiler le casque de réalité virtuelle au moment de se faire vacciner. Et le bilan est positif. "On est plutôt bluffé et étonné. On s'attendait à ce que ça marcherait, mais pas aussi bien. Ça a un effet dans l'image", analyse Bruno Cabrita.

Une fois le casque retiré, les enfants sont invités à donner leur avis sur le dispositif en lui attribuant une note sur 10. Pour Matthias*, c'est un bon 8/10. "Ça s'est bien passé, j'étais moins stressé", salue-t-il. "Le fait qu'il ne voit pas l'aiguille ça enlève du stress et ça le rassure je pense", ajoute sa mère. Du côté des autres enfants vaccinés ce mercredi, les notes sont toujours comprises entre 9 et 10. 

Après chaque utilisation, le casque est désinfecté par les personnels du Multiplex. D'une autonomie de 7 heures, l'équipement permet donc d'apaiser les enfants au moment d'un geste de santé auquel ils seront confrontés toute leur vie. "En vivant comme ça l'une des premières injections, ils voient que finalement la peur de l'aiguille n'est pas forcément fondée puisqu'avec le casque cela ne fait pas mal", explique le médecin chef du SDIS 21.

Si l'heure est encore à l'expérimentation des casques, Bruno Cabrita imagine pouvoir développer le dispositif à d'autres centres de vaccination de la région. "Si ça fonctionne, on pourrait avoir d'autres casques", conclut-il.

Auteur: Internet

Info: 16 janvier 2022, https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/casques-de-realite-virtuelle-sur-la-tete-les-enfants-vivent-mieux-la-vaccination-a-dijon-2414740.html

[ échappatoire ] [ acceptation de la contrainte ] [ moyens technologiques ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

ufo

Le mercredi 17 juillet 1957, à l'aube, un bombardier de reconnaissance électronique RB-47H Stratojet de l'USAF, indicatif Lacy 17, se rend à Oklahoma City, avec 6 officiers à bord, dont le commandant Mac Clure, et le major Lewis D. Chase.
A 10500 m il repère une grosse et intense lumière blanche-bleutée, comme le rappelle le résumé de l'American Institute of Aeronautics and Astronautics.
Muni d'un appareillage électronique de contre-mesures (ECM) le RB-47 de l'Air Force sera suivi par un objet non identifié sur plus de 1200 km pendant 1 heure et 30 minutes, tandis qu'il survole le Mississippi, la Louisiane, le Texas et atteint l'Oklahoma. L'objet fut à plusieurs reprises vu directement par l'équipe du poste de pilotage comme une très vive lumière ; il fut acquis par un radar au sol et détecté par les appareils de contrôle ECM du RB 47. Une transmission de micro-ondes à 3 Ghz a été détectée par l'équipage du RB-47. L'opérateur #2 des contre-mesures électroniques de Lucy 17 (identifiant), du RB47, intercepta près de Meridian, Mississippi, un signal ayant les caractéristiques suivantes : fréquence 2995 à 3.000 Ghz; étendue du signal pulsé : 2.0 microsecondes; fréquence de répétition du signal : 600 Hz (cycles par seconde); taux de balayage 4 tours/mn; polarité verticale. Le signal s'est rapidement déplacé sur l'écran du localisateur, indiquant un déplacement rapide de la source émettrice; la source est en vol. L'intérêt de ce cas tient aux apparitions et disparitions constatées simultanément par 3 canaux distincts et à la rapidité des manoeuvres qui dépassait tout ce dont l'équipage avait eu jusque-là l'expérience 1.
L'objet disparaît ainsi des écrans radar plusieurs fois de suite, pour réapparaître simultanément en suivant presque tout le temps l'avion à une distance d'environ 17 km, avant de changer rapidement de position pour se trouver devant l'avion. Chase oublie un moment sa mission et met le cap sur la mystérieuse lumière qui disparaît à son approche. Chase reprend son cap initial mais la "cible" réapparaît sous le Stratojet. L'avion pique à nouveau vers l'ovni qui disparaît encore une fois. A court de kérosène, le Boeing doit retourner sur sa base de Forbes.
10 ans plus tard, la commission Condon est saisie du cas, mais classera l'affaire faute de pouvoir accéder au dossier, ayant fait ses recherches sur la date erronée du jeudi 19 septembre.
Par la suite, James E. McDonald retrouve la date correcte du mercredi 17 juillet, et de ce fait beaucoup plus d'informations.
Philip Julian Klass proposera des explications de ce cas qui seront contestées, notamment par Brad Sparks 6 qui arguera que sans le vouloir Klass n'avait en fait que renforcer ce cas.

Auteur: Internet

Info:

[ ovni ] [ témoignage ]

 

Commentaires: 0

fin des temps

Quand l’Univers vacille : la révélation d’une simulation quantique

Dans les limbes feutrées des laboratoires, là où la lumière des idées éclaire les ténèbres de l’inconnu, une équipe internationale de chercheurs a récemment franchi un seuil vertigineux. Armés d’un simulateur quantique de 5564 qubits, ces architectes du réel ont osé sonder l’un des scénarios les plus cataclysmiques que puisse concevoir l’esprit humain : la désintégration du vide, l’effondrement même de notre Univers.

Le faux vide : une stabilité trompeuse

Au cœur de cette expérience, un concept aussi subtil qu’inquiétant : celui du " faux vide ". Selon la physique quantique, l’Univers dans lequel nous évoluons ne serait peut-être qu’un équilibre précaire, une sorte de plateau métastable. Ce " faux vide ", stable en apparence, dissimule la possibilité d’une transition vers un état plus fondamental, le " vrai vide ". Si cette bascule devait survenir, elle bouleverserait jusqu’aux lois les plus intimes de la nature : constantes, particules, forces… tout serait reconfiguré dans un souffle cosmique.

La naissance des bulles du vrai vide

La simulation orchestrée par l’équipe du professeur Zlatko Papic a permis d’observer, pour la première fois avec une telle précision, la dynamique de cette hypothétique transition. Des bulles de vrai vide, nées au hasard du faux vide, s’étendent à la vitesse de la lumière, dévorant l’ancien monde pour imposer leur ordre nouveau. Ces bulles, en interagissant, révèlent les mécanismes profonds des transitions de phase quantiques, similaires à celles qui auraient pu façonner l’Univers dans les instants qui suivirent le Big Bang.

Un laboratoire pour l’Univers

Si la probabilité que notre Univers s’effondre ainsi à brève échéance demeure infinitésimale, la portée de ces travaux dépasse le simple exercice de pensée. Ils offrent un laboratoire inédit pour comprendre les transitions cosmiques majeures, et ouvrent la voie à une exploration plus intime des lois fondamentales. L’ordinateur quantique, en devenant l’outil de prédilection de ces investigations, promet de résoudre d’autres énigmes abyssales : la nature de la matière noire, l’origine de l’énergie sombre, ou encore la conciliation tant attendue entre gravité et mécanique quantique.

Vers de nouveaux horizons

L’aventure ne fait que commencer. Les chercheurs ambitionnent d’étendre leurs simulations à des modèles tridimensionnels, promesse d’une plongée encore plus profonde dans la fabrique de l’Univers. Au-delà de la cosmologie, ces avancées pourraient révolutionner l’informatique quantique et la science des matériaux, ouvrant des perspectives insoupçonnées.

Ainsi, dans le silence bourdonnant des qubits, l’Univers se dévoile fragile, éphémère, suspendu à la pointe d’une transition quantique. Et l’homme, humble explorateur, poursuit sa quête, oscillant entre vertige et émerveillement, à la frontière du possible et de l’impossible.



Auteur: Internet

Info: https://www.techno-science.net/actualite/simulation-quantique-revele-effondrement-physique-notre-univers-N26969.html synthèse littéraire par perplexity-ai

[ transduction cosmique ] [ multivers ] [ plurivers ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

linguistique générale

L'influence de C.S. Peirce sur la grammaire cognitive de Ronald Langacker est profonde et multiforme.

1. Parallèles conceptuels : 

- Signes et signification : Peirce a développé une théorie complète des signes, définissant le sens comme la relation triadique entre un signe, son référent et son interprète. Langacker s'inspire de cette approche pour analyser le sens en grammaire cognitive, en considérant les mots et les structures grammaticales comme des signes qui renvoient à des concepts et à des expériences.

- Pragmatisme : Peirce est considéré comme le fondateur du pragmatisme, une philosophie qui met l'accent sur les conséquences pratiques de la pensée et du langage. Langacker intègre cette perspective dans sa grammaire cognitive, en soulignant que le langage est avant tout un outil pour l'action et la communication.

- Catégories : Peirce a élaboré une théorie des catégories, décrivant comment nous classons et conceptualisons le monde. Langacker utilise cette théorie pour analyser la façon dont les catégories sont exprimées linguistiquement, notamment à travers la grammaire et le lexique.

2. Influence de Peirce sur la pensée de Langacker :

L'engagement de Peirce envers l'empirisme, le réalisme et la sémiotique a profondément influencé la vision de Langacker sur le langage. Il a trouvé dans les idées de Peirce une validation philosophique pour sa propre approche cognitive du langage.

- Empirisme : Peirce a souligné l'importance de l'expérience dans la construction de la connaissance. Langacker s'inscrit dans cette lignée en considérant que le langage est façonné par nos interactions avec le monde et nos expériences sensorielles.

- Réalisme : Peirce défendait l'idée que le monde existe indépendamment de nos esprits. Langacker partage cette vision réaliste du langage, en considérant que les mots et les structures grammaticales renvoient à des réalités objectives.

- Sémiotique : Peirce a jeté les bases de la sémiotique, l'étude des signes et de la signification. Langacker applique les principes de la sémiotique à l'analyse linguistique, en considérant le langage comme un système de signes complexes.

3. Conclusion :

L'influence de C.S. Peirce sur la grammaire cognitive de Ronald Langacker est évidente dans les fondements conceptuels de cette théorie et dans l'approche globale du langage adoptée par Langacker. Peirce a fourni à Langacker un cadre philosophique solide pour explorer la relation profonde entre la cognition humaine, la signification et la structure linguistique.

En résumé, C.S. Peirce a joué un rôle crucial dans le développement de la grammaire cognitive de Ronald Langacker, en lui offrant des outils conceptuels et une perspective philosophique pour analyser le langage dans toute sa richesse et sa complexité.

Auteur: Internet

Info: Infos mélange de gemini-bard et perplexity

[ historique ] [ vingtième siècle ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

homme-animal

Les oiseaux ont des gène de langage en commun avec les humains
Le processus par lequel les bébé oiseaux apprennent à chanter ressemble par un certain nombre de traits avec celui par lequel les enfants en bas âge apprennent à parler.
Aujourd’hui les chercheurs ont identifié un gène commun aux les oiseaux et aux personnes qui est à la base de ces capacités. Cette découverte marque le début d'un effort pour explorer les sous structures génétiques de l'étude vocale.
L'apprentissage vocal est caractéristique chez certain nombre d'animaux, y compris les humains, dauphins, baleines et oiseaux. Pour sonder comment la génétique guide ce processus, Sebastian Haesler de l'institut Max Planck pour la génétique moléculaire à Berlin et Kazuhiro Wada du centre médical à Duke University et leurs collègues se sont concentré sur un gène connu sous le nom de FoxP2, dont la mutation est associée aux problèmes de langue chez les individus. "Chez les humains affectés, la mutation de Fox cause un dysfonctionnement très spécifique," explique le co-auteur d'étude Erich Jarvis de Duke University. "Ces personnes ont une coordination moteur en grande partie normale, mais présentent une incapacité à prononcer correctement des mots ou de les façonner en des phrases grammaticalement correctes. De plus, elles éprouvent des problèmes comprendre un langage complexe. "L'équipe a analysé l'expression du gène FoxP2 chez un certain nombre d'espèces d'oiseau, certains apprentis de l’aptitude vocale, d’autres non, ainsi qu’ avec des crocodiles, le parent vivant le plus proche des oiseaux.
Chez les humains et les oiseaux le gène est exprimé dans une région du cerveau connue sous le nom de "ganglions fondamentaux", rapportent aujourd'hui les chercheurs dans le Journal of Neuroscience. " Nous avons constaté que les niveaux de FoxP2 semblent augmenter par moment juste avant que l'oiseau ne commence à modifier ses chants," dit Jarvis. " Ainsi ceci confirmerait un rôle de cause à effet, sous-tendu par le gène, qui permettrait aux circuits cérébraux "chanson-étude" de devenir plus plastiques, il permet aussi aux oiseaux d'imiter des bruits.
"En revanche, chez les espèces qui n'ont pas d’apprentissage vocal, l'équipe n'a observé aucun niveau de localisation ou de différentiel de l'activité FoxP2. Les prochains plans à étudier par l'équipe seront de savoir s’il y a de petites différences de FoxP2 entre les oiseaux qui apprennent à chanter et les autres qui ne le font pas, et comment les mutations de ce gène affectent l'étude vocale. D'autres facteurs, tels que des raccordements entre le cerveau et les neurones moteur commandant la voix, contribuent également à l'apprentissage vocal. Mais il est intrigant, note Jarvis, "Qu'un gène antique comme FoxP2 puisse avoir quelque chose faire avec des vocalisations apprises chez l'homme et chez les oiseaux."

Auteur: Internet

Info: Sarah Graham, SCIENCE NEWS 31 Mars 2004

[ musique ] [ génétique ] [ ADN ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

empathie

Le sentiment de solitude se "transmet", comme la grippe.
Une étude parue dans Journal of Personality and Social Psychology et menée par une équipe mixte de l'école de médecine de Harvard à Boston, de l'Université de Chicago et de l'Université de Californie à San Diego suggère que le sentiment de solitude est contagieux et peut de disséminer dans les réseaux sociaux tel un virus en période d'épidémie. Ainsi, le fait d'être entouré et de rester socialement connecté est aussi important pour la santé que de se laver les mains. Se sentir seul ne signifie pas forcément ne pas avoir de connections mais peut-être que celles-ci ne sont pas assez satisfaisantes.
Ce travail est le résultat de l'analyse et du suivi de plusieurs milliers de sujets pendant près de 60 ans dans la petite ville de Framingham, Massachusetts, dans laquelle la majorité des participants de l'étude se connaissent. Grâce à toutes ces informations, les chercheurs ont reconstruit le réseau social de chaque individu de cette population. Cette étude est la dernière d'une longue série qui a déjà conclue à la contagiosité d'autres caractères physiques et sociaux tels que l'obésité, fumer ou encore la joie. Dans ce nouveau travail, les scientifiques ont démontré qu'il était plus facile "d'attraper" ce sentiment de solitude de ses amis plutôt que de sa famille, que celui-ci se transmettait plus souvent parmi les femmes que parmi les hommes et qu'il était plus contagieux parmi les connections sociales proches vivant à moins de 2 km. De plus, les scientifiques observent que lorsqu'une personne connait un ami avec un sentiment de solitude, celle-ci a 40 à 65% de risques supplémentaires de se sentir seule elle aussi. De la même manière lorsque l'ami d'un ami se sent seul, les risques d'avoir aussi ce sentiment augmentent de 14 à 36% alors que le risque supplémentaire est de 6 à 26% lorsque cela concerne l'ami d'un ami d'un ami.
Pour mesurer ce sentiment de solitude, les auteurs de l'étude ont utilisé un test de diagnostic de la dépression. Il a été montré qu'une fois qu'un individu ressent cette solitude, il a tendance à se localiser sur les extérieurs du réseau social après avoir transmis ce sentiment à ses amis et à ses voisins les plus proches. Sur la périphérie, les individus se sont coupés de leurs amis ou ont perdu leurs connaissances, ce qui les fait se sentir seuls et ils ont alors tendance à transmettre ce sentiment à leurs amis restants impliquant le commencement d'un nouveau cycle. Ces travaux se rapprochent de ceux de Emile Durkheim qui, dès 1951, avait déjà proposé l'hypothèse que les suicides, bien que très personnels, étaient fortement influencés par les forces sociales.

Auteur: Internet

Info:

[ sensibilité ] [ grégaire ]

 

Commentaires: 0

points de vue

Un jour de grand soleil, six aveugles instruits et curieux, désiraient, pour la première fois, rencontrer un éléphant afin de compléter leur savoir.

Le premier s’approcha de l’éléphant, et près de de son flanc vaste et robuste, il s’exclama : "Dieu me bénisse, un éléphant est comme un mur !".

Le deuxième, tâtant une défense s’écria "Oh ! Oh ! rond, lisse et pointu!, selon moi, cet éléphant ressemble à une lance !".

Le troisième se dirigea vers l’animal, pris la trompe ondulante dans ses mains et s'écria : "Pour moi, l’éléphant est comme un serpent".

Le quatrième tendit une main impatiente, palpa le genou de l'éléphant et décida qu’un éléphant devait ressembler à un arbre !

Le cinquième ayant touché par hasard l’oreille de l'éléphant, dit : "Même pour le plus aveugle des aveugles, cette merveille d’éléphant est comme un éventail !"

Le sixième chercha à tâtons l’animal et, s’emparant de la queue qui balayait l’air, perçu quelque chose de familier : "Je vois, dit-il, l’éléphant est comme une corde !"

Les 6 aveugles discutèrent longtemps avec passion, chacun défendant sa perception de ce que pouvait être un éléphant. Ils avaient bien du mal à s'entendre.

Un sage qui passait par là les entendit se disputer et demanda : "Que se passe t-il quel est l'objet de vos échanges si passionnés ?"

"Nous n'arrivons pas nous à mettre d’accord sur ce que peut être un éléphant, et à quoi il peut ressembler !"Chaque aveugle expliqua sa perception de ce que pouvait être un éléphant.

Après avoir écouté chaque aveugle, le sage dit : "Vous avez tous dit vrai ! Si chacun de vous décrit l’éléphant de façon si différente, c’est parce que chacun a touché une partie différente de l’animal. L’éléphant a réellement les caractéristiques que vous avez tous décrit. Et si vous rassemblez l'ensemble des caractéristiques de ce que vous avez données, vous pouvez avoir une représentation de l'animal dans son ensemble."

"Oooooooh !" s'exclama chacun. Et la discussion s’arrêta net ! Ils furent tous heureux d’avoir dit la réalité, car chacun détenait une part de vérité, et heureux d'avoir contribué à la construction d'une réalité plus grande, une réalité plus grande que la seule addition des caractéristiques apportées par chaque aveugle. La vérité n’est jamais le résultat d'un seul point de vue ou d'une seule perception. Une vérité nouvelle peut émerger des mises en commun des vérités individuelles. De cette mise en commun peut naître une perception globale qui inclut et transcende l'ensemble des vérités individuelles. C'est le principe de la collaboration générative.

Auteur: Internet

Info: Les aveugles et l’éléphant. Conte traditionnel hindou jaïniste où ce concept est nommée " syādvāda ”, “ anekāntavāda ”, ou théorie des affirmations multiples.

[ facettes ] [ relativité ] [ exactitude ] [ comptine ] [ septénaire ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel