Le drame du sujet dans le verbe, c’est qu’il y fait l’épreuve de son manque-à-être, et c’est là que le psychanalyste ferait bien d’en préciser certains moments, car pour le psychologue il n’en peut mais avec ses questionnaires, voire ses enregistrements où ils n’apparaîtront pas de si tôt, ces moments, pas avant qu’un filin ait saisi la structure de la faute comme constituante du jeu d’échecs.
C’est parce qu’elle pare à ce moment de manque qu’une image vient à la position de supporter tout le prix du désir : projection, fonction de l’imaginaire.
À l’opposé vient s’installer un cœur de l’être, pour en désigner le trou, un index : introjection, relation au symbolique.
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Info: Remarques sur le rapport de Daniel Lagache, 1960
Commentaires: 4
Coli Masson
14.05.2025
Je suis grognon.
miguel
14.05.2025
Ah non... tu ne peux dicter le jeu comme ça. Si je me penche, creuse et fouille une idée concept je ne vais pas m'auto-limiter pour je ne sais quelle raison. Les IAs sont artificielles comme le langage et les dictionnaires. Et la synthèse que j'en retirerai éventuellement sera un outcome de mes petites synapses... pourquoi se refuser à des outils... qui par ailleurs permettent de créer d'autres outils... puisque je me suis amusé à pondre des prompts lacaniens à partir de ceci ;-)
Coli Masson
13.05.2025
Avec plaisir ! sans IA stp, juste ton intelligence naturelle !