Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info
Rechercher par n'importe quelle lettre



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits... Recherche mots ou phrases tous azimuts... Outil de précision sémantique et de réflexion communautaire... Voir aussi la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats ... Lire la suite >>
Résultat(s): 10
Temps de recherche: 0.0255s

bien-être

Les biens superflus rendent la vie superflue.

Auteur: Pasolini Pier Paolo

Info: Cité dans le livre de Davide Toffolo : Pasolini, une rencontre

[ survie ] [ matérialisme redondant ]

 

Commentaires: 0

langage

Chaque mot est comme une tache inutile sur le silence et le néant.

Auteur: Beckett Samuel

Info:

[ redondant ] [ superfétatoire ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

superflu

Une explication, quelle qu'elle soit, ne peut être qu'en trop face à la présence des choses.

Auteur: Robbe-Grillet Alain

Info:

[ langage ] [ redondant ]

 

Commentaires: 0

langage

112. […] Qu’y a-t-il en effet de plus sot que de parler sur la manière de parler, puisqu’en lui-même, le fait de parler est toujours une sottise, à moins que ce ne soit une nécessité ?

Auteur: Cicéron

Info: De l'Orateur : Livre I

[ habituellement redondant ] [ ordinairement superfétatoire ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

idiomes

Au départ, c'était l'absence du langage qui prouvait l'absence de la pensée chez les autres espèces ; maintenant, c'est la présence manifeste de la pensée chez des animaux non linguistiques qui prouve que le langage n'est pas si important.

Auteur: Waal Frans de

Info: Sommes-nous trop bêtes pour comprendre l'intelligence des animaux ?

[ redondants ] [ homme-animal ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

communication

L’absence de truchements l’inquiétait au plus haut point. Cette communauté rassemblée à la hâte ne verrait jamais naître une cohésion sociale tant qu’il n’existerait pas de langue commune qui permettrait aux travailleurs de vivre ensemble. Tout en déplorant cette lacune, David lui-même ne s’était cependant jamais donné la peine d’apprendre le créole.

Auteur: Tarcau Miruna

Info: L'apprentissage du silence, p 150

[ psycho-sociologie ] [ idiomes redondants ] [ interface linguistique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

indicible

Lorsqu'un homme est amoureux

comment peut-il utiliser d'anciens mots ?

Une femme doit-elle

désirant son amant

s'allonger avec

des sachants linguistes ?



Je n'ai rien dit

à la femme que j'aimais

mais j'ai rassemblé

les mots d'amour dans une valise

et ai fui toutes les langues.



 

Auteur: Kabbani Nizar

Info:

[ poème ] [ langage redondant ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

résilience

Telle est la marque d'un système biologique robuste : les partis politiques peuvent périr dans tel ou tel accident tragique, la société continuera de fonctionner, parfois avec un petit contretemps. Il est fort probable que pour chaque cas clinique étrange, où les dommages au cerveau entraînent quelque bizarre modification du comportement ou de perception, il y ait des centaines de cas où des parties du cerveau sont endommagées sans qu'aucun signe clinique ne soit détectable.

Auteur: Eagleman David

Info:

[ hologramme redondant ] [ analogie ] [ individu-communauté ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

pragmatisme

- Il n'y a pas besoin d'amour, Gusti, répétait l'ami Koch. Il n'y a pas besoin d'amour, écoute-moi. Dans notre stupidité, c'est ça que nous attendons toujours. L'Amour. Etre aimé, elle est bien bonne ! Après des siècles de haine et d'errance, qu'on nous aime d'un coup. Aime ton prochain plus que toi-même ? Le prochain ! Hum ! oui, je comprends… mais même le prochain ne peut être aimé autant qu'on aime sa propre petite peau. Un mensonge. Jamais plus que soi ! Ce n'est pas possible. Et si c'est possible, c'est trop. Pourquoi nous aimer ? Sommes-nous meilleurs, plus beaux ? Parfaits ? Nous ne le sommes pas. Donc : qu'on nous laisse tranquilles. C'est tout, c'est tout ! Tu m'entends ? C'est tout ! Qu'on cesse de nous demander d'être meilleurs, plus beaux, parfaits. C'est tout ! Il n'y a pas besoin d'amour, Gusti.

Auteur: Manea Norman

Info: La tanière

[ espérance inutile ] [ espoir redondant ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

concept psychanalytique

M’est avis : 

– qu’il n’est pas possible de le comprendre [le contre-transfert] hors du registre de ce que j’ai pointé comme étant la place de (a), l’objet partiel, l’ἄγαλμα [agalma] dans la relation de désir en tant qu’elle-même est déterminée à l’intérieur dans une relation plus vaste, celle de l’exigence d’amour, 

– que ce n’est que là, que ce n’est que dans cette topologie que nous pouvons comprendre une telle façon de procéder, dans une topologie qui nous permet de dire que, même si le sujet ne le sait pas, par la seule supposition je dirai objective de la situation analytique, c’est déjà dans l’Autre que (a), l’ἄγαλμα fonctionne, 

– et que ce qu’on nous présente à cette occasion comme contre-transfert, normal ou pas, n’a vraiment aucune raison spéciale d’être qualifié de "contre-transfert", je veux dire qu’il ne s’agit là que d’un effet irréductible de la situation de transfert simplement par elle-même.

Le fait qu’il y a transfert suffit pour que nous [analystes] soyons impliqués dans cette position, d’être celui qui contient l’ἄγαλμα [agalma], l’objet fondamental dont il s’agit dans l’analyse du sujet, comme lié, conditionné, par ce rapport de vacillation du sujet que nous caractérisons – comme constituant le fantasme fondamental, comme instaurant le lieu où le sujet peut se fixer comme désir. C’est un effet légitime – du transfert. Il n’y a pas besoin là pour autant de faire intervenir le contre-transfert comme s’il s’agissait de quelque chose qui serait – la part propre, et bien plus encore la part fautive, de l’analyste. Seulement je crois que pour le reconnaître, il faut que l’analyste sache certaines choses. Il faut qu’il sache en particulier que le critère de sa position correcte n’est pas qu’il comprenne ou qu’il ne comprenne pas.

Il n’est pas absolument essentiel qu’il ne comprenne pas, mais je dirai que jusqu’à un certain point cela peut être préférable à une trop grande confiance dans sa compréhension. En d’autres termes, il doit toujours mettre en doute ce qu’il comprend et se dire que ce qu’il cherche à atteindre, c’est justement ce qu’en principe il ne comprend pas.

C’est en tant certes qu’il sait ce que c’est que le désir, mais qu’il ne sait pas ce que ce sujet, avec lequel il est embarqué dans l’aventure analytique, désire, qu’il est en position d’en avoir en lui - de ce désir - l’objet. Car seulement cela explique tels de ces effets si singulièrement encore effrayants, semble-t-il. 

Auteur: Lacan Jacques

Info: 8 mars 1961

[ définition ] [ notion redondante ] [ compréhension ] [ réfutation des préjugés ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson