Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 6
Temps de recherche: 0.0431s

sagesse

Ne tiens pas tête à la colère d'un roi ni au débordement d'un fleuve.

Auteur: Proverbe africain algérien

Info:

[ bon sens ] [ rapport de force ] [ lucidité ]

 

Commentaires: 0

couple

C'est terrible de penser que quelqu'un t'aimera seulement si tu te comportes comme il le veut, lui.

Auteur: Caboni Cristina

Info: Le Parfum des sentiments

[ tensions ] [ rapport de force ] [ intolérance ]

 

Commentaires: 0

rapports humains

Souvenez-vous de la règle d'or formulée par Boulgakov : ne demandez jamais rien à ceux qui sont plus forts que vous. Ils vous le proposeront d'eux-mêmes et vous supplieront même de le prendre.

Auteur: Marinina Alexandra

Info: La mort pour la mort, trad. Galia Ackerman et Pierre Lorrain, p.192, Seuil/Policiers, 1999

[ rapports de force ]

 

Commentaires: 0

guerre totale

— Qu’est-ce que vous pensez de la guerre ?
— Y a rien de mal dans la guerre, je réponds.
— Ah ! ouais ? Ah ! ouais ?
— Ouais. Quand vous montez dans un taxi, c’est la guerre. Quand vous payez votre pain, c’est la guerre. Quand vous payez une pute, c’est la guerre. Des fois, j’ai besoin de pain, de taxis et de putes.

Auteur: Bukowski Charles

Info: Dans "Je t'aime Albert"

[ rapports marchands ] [ rapports de force ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

affrontement

Deux cavaliers se rencontrèrent un jour sur un chemin très étroit où tous deux ne pouvaient passer de front. L'un des deux devait donc céder la place à l'autre, mais tous deux s'entêtèrent, et ils allèrent jusqu'à s'injurier ; enfin l'un dit à l'autre :

— Écoute ! Je te conseille de me laisser passer, sans cela je te traiterai de la même façon que j'ai traité jadis un entêté qui me résistait.

L'autre, effrayé de cette menace, laissa le chemin libre ; mais comme le cavalier s'éloignait, il lui demanda ce qu'il lui aurait fait s'il n'avait pas voulu céder.

— Dis moi, lui dit-il, que fis-tu à cet entêté qui te résistait ?

— L'autre était très entêté, plus entêté encore que toi ; voyant que je ne pouvais rien obtenir de lui, je me décidai à ... à le laisser passer.

Auteur: Tolstoï Léon

Info:

[ histoire courte ] [ drôle ] [ rapport de force ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

obséquiosité

— Veux-tu me rendre un service ?

— Oui… Oui…

Je craignis qu’il ne me sollicitât d’une chose insignifiante ou bien trop importante. J’aime à rendre des services, de petits services, bien entendu, pour montrer ma bonté.

— Prête-moi cinquante francs.

Nos regards se rencontrèrent. Mille pensées me vinrent à l’esprit. Certainement, il en fut de même chez Billard. Entre nous, il n’y avait plus de barrière. Il lisait dans mon âme aussi facilement que je lisais dans la sienne.

La seconde d’hésitation qui, dans une telle circonstance, frappe chaque homme, disparut et, d’une voix qu’il m’était permis de rendre solennelle, je dis :

— Je vous les prêterai.

J’étais heureux, plus d’inspirer de la reconnaissance que de prêter. La conversation allait reprendre. Maintenant, je ne gênais plus. Je pouvais rester jusqu’à minuit, revenir demain et après-demain et toujours. S’il m’avait emprunté cinquante francs, c’était qu’il avait confiance en moi.

L’argent de ma pension était dans ma poche. Pourtant, je ne donnais pas à Billard ce qu’il m’avait demandé. Je faisais semblant de ne plus y songer. Je sentais que plus j’attendrais, plus on ferait l’aimable.

À présent, je jouais un rôle. À chacun de mes mouvements, on m’épiait, espérant que je sortirais mon portefeuille. Depuis des années, je n’avais eu une pareille importance. Un sourire accueillait chacune de mes paroles. On m’observait ; on craignait que je n’oubliasse.

Il faudrait être un saint pour résister à la tentation de prolonger cette joie.

Ah, comme j’excuse les gens riches !

Auteur: Bove Emmanuel Bobovnikoff Dugast Vallois

Info: Mes amis

[ pouvoir ] [ rapports de force ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson