Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info
Rechercher par n'importe quelle lettre



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits... Recherche mots ou phrases tous azimuts... Outil de précision sémantique et de réflexion communautaire... Voir aussi la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats ... Lire la suite >>
Résultat(s): 13
Temps de recherche: 0.0266s

unification

La vérité de la liberté humaine réside dans l'amour qui brise les barrières. 


Auteur: Moltmann Jürgen

Info:

[ transduction ] [ dépassement ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

palier

Le saut qualitatif rompt avec l’immanence de son milieu d’origine pour y pallier l’insuffisance de la compréhension quantitative des processus.

Auteur: Horeau Matthieu

Info: In Saut qualitatif et rationalité, La position philosophique de Kierkegaard. Cairn 2013

[ point de bascule ] [ philosophie ] [ transduction ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

abiotique-biotique

L’origine de la vie pourrait correspondre à une transition physique associée à un changement de structure causale, où l’information acquiert une efficacité causale directe et contextuelle sur la matière où elle est incarnée.

Auteur: Walker Sara Imari

Info: "  The Algorithmic Origins of Life ", Journal of The Royal Society Interface, 2013

[ énactions ] [ transductions ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

science figée

La physique que nous connaissons et aimons, telle qu'elle est enseignée dans les départements de physique modernes, fournit une description fondamentale d'un univers mort. Ce n'est pas l'univers dans lequel je vis, et je parie que vous non plus.

Auteur: Walker Sara Imari

Info:

[ arrêt sur image ] [ limitation ] [ transductions pétrifiées ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

théorie endosymbiotique

A la différence des cellules dans lesquelles elles résident, les mitochondries se reproduisent par simple division, et elles se reproduisent à d’autres moments que le reste de la cellule. Sans les mitochondries, la cellule à noyau – et, par voie de conséquence, la plante ou l’animal – ne peut pas utiliser l’oxygène, et ne peut donc pas vivre. Les spéculations qui suivirent cette découverte conduisirent les biologistes à un scénario étonnant : les descendants des bactéries qui nageaient dans les mers primitives et respiraient de l’oxygène il y a trois milliards d’années existent aujourd’hui dans les cellules humaines sous la forme de mitochondries. A une époque reculée, les bactéries se combinèrent avec d’autres micro-organismes. Elles s’installèrent à l’intérieur, fournissant de l’énergie tirée de l’oxygène et s’occupant d’éliminer les déchets, en échange du gîte et du couvert.

Auteur: Margulis Lynn

Info: Dans "L'univers bactériel", page 21

[ eucaryotes ] [ transduction ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

sémiose animale

L’entrée était marquée avec un symbole particulier, en l’occurrence la couleur bleue. L’abeille qui volait à travers l’entrée parvenait à un carrefour, ou "chambre de décision", où elle pouvait choisir entre deux voies. L’un des embranchements était marqué d'une couleur bleue, l’autre avec la couleur jaune. Les abeilles qui suivaient la piste bleue trouvaient en fin de parcours une fiole contenant une solution sucrée. Celles qui choisissaient la piste jaune ne recevaient aucune récompense. Les abeilles avaient appris que le sucre se trouvait au bout de la piste portant le même symbole que celui qui marquait l’entrée extérieure du labyrinthe. En d’autres termes, "même" égale "sucre". Dans une expérience ultérieure, l’entrée avait été marquée avec un symbole différent, des lignes horizontales de couleur sombre, par exemple. Dans ce deuxième cas, en atteignant la chambre de décision, les abeilles rencontraient à nouveau les deux voies, qui, cette fois, ne se signalaient plus par des couleurs, mais par des lignes – lignes verticales pour l’une, horizontales pour l’autre. Les abeilles réussissaient brillamment, en se dirigeant DIRECTEMENT vers le motif semblable à celui qu’elles avaient vu à l’entrée.

Auteur: Giurfa Martin

Info: Le concept de "similitude" et de "différence" chez un insecte. (2001) Résumé par Jeremy Narby

[ stimuli-signaux ] [ convention collective ] [ mécanisme répétitif ] [ transduction cognitive ] [ abstraction ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

vocabulaire

Toute la différence entre le langage animal et le langage humain se situe dans le passage de l'usage de stimuli-signaux à celui de signes-symboles. Alors qu'un signal fait réagir, un signe fait penser. Le signal est en effet quelque chose qui désigne quelque chose d'autre qu'il indique ou demande. C'est un stimulus, càd quelque chose de sensible qui a pour fonction de provoquer une réaction, de faire faire. En présence d'un feu rouge, l'automobiliste s'arrête : il ne se met pas à évoquer des considérations sur la rougeur du feu !

Les stimuli-signaux et, avec eux le "langage" animal, sont des "instruments d'action immédiate". Le signe-symbole est "un instrument de pensée et non seulement d'action immédiate". Il permet l'évocation inactuelle! C'est précisément le jour où Helen Keller cesse de réagir aux stimuli-signaux, auxquels sa gouvernante l'a conditionnée, qu'elle comprend que les mots ont un sens et qu'elle devient capable de "parler" (avec le langage tactile des sourds-muets). 

Ainsi, jusque-là elle n'avait fait que réagir au mot eau. A présent ce mot évoquait pour elle l'eau elle-même, "ce quelque chose de merveilleux qui était en train de couler sur sa main". Le langage est ainsi ce par quoi se réalise en l'être humain l'ouverture de son moi hors de l'immédiateté de l'instant, donc à l'universel.

Auteur: Ruyer Raymond

Info:

[ parole ] [ représentation ] [ sémiose ] [ déclic ] [ abstraction ] [ saut qualitatif ] [ transduction ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

fin des temps

Quand l’Univers vacille : la révélation d’une simulation quantique

Dans les limbes feutrées des laboratoires, là où la lumière des idées éclaire les ténèbres de l’inconnu, une équipe internationale de chercheurs a récemment franchi un seuil vertigineux. Armés d’un simulateur quantique de 5564 qubits, ces architectes du réel ont osé sonder l’un des scénarios les plus cataclysmiques que puisse concevoir l’esprit humain : la désintégration du vide, l’effondrement même de notre Univers.

Le faux vide : une stabilité trompeuse

Au cœur de cette expérience, un concept aussi subtil qu’inquiétant : celui du " faux vide ". Selon la physique quantique, l’Univers dans lequel nous évoluons ne serait peut-être qu’un équilibre précaire, une sorte de plateau métastable. Ce " faux vide ", stable en apparence, dissimule la possibilité d’une transition vers un état plus fondamental, le " vrai vide ". Si cette bascule devait survenir, elle bouleverserait jusqu’aux lois les plus intimes de la nature : constantes, particules, forces… tout serait reconfiguré dans un souffle cosmique.

La naissance des bulles du vrai vide

La simulation orchestrée par l’équipe du professeur Zlatko Papic a permis d’observer, pour la première fois avec une telle précision, la dynamique de cette hypothétique transition. Des bulles de vrai vide, nées au hasard du faux vide, s’étendent à la vitesse de la lumière, dévorant l’ancien monde pour imposer leur ordre nouveau. Ces bulles, en interagissant, révèlent les mécanismes profonds des transitions de phase quantiques, similaires à celles qui auraient pu façonner l’Univers dans les instants qui suivirent le Big Bang.

Un laboratoire pour l’Univers

Si la probabilité que notre Univers s’effondre ainsi à brève échéance demeure infinitésimale, la portée de ces travaux dépasse le simple exercice de pensée. Ils offrent un laboratoire inédit pour comprendre les transitions cosmiques majeures, et ouvrent la voie à une exploration plus intime des lois fondamentales. L’ordinateur quantique, en devenant l’outil de prédilection de ces investigations, promet de résoudre d’autres énigmes abyssales : la nature de la matière noire, l’origine de l’énergie sombre, ou encore la conciliation tant attendue entre gravité et mécanique quantique.

Vers de nouveaux horizons

L’aventure ne fait que commencer. Les chercheurs ambitionnent d’étendre leurs simulations à des modèles tridimensionnels, promesse d’une plongée encore plus profonde dans la fabrique de l’Univers. Au-delà de la cosmologie, ces avancées pourraient révolutionner l’informatique quantique et la science des matériaux, ouvrant des perspectives insoupçonnées.

Ainsi, dans le silence bourdonnant des qubits, l’Univers se dévoile fragile, éphémère, suspendu à la pointe d’une transition quantique. Et l’homme, humble explorateur, poursuit sa quête, oscillant entre vertige et émerveillement, à la frontière du possible et de l’impossible.



Auteur: Internet

Info: https://www.techno-science.net/actualite/simulation-quantique-revele-effondrement-physique-notre-univers-N26969.html synthèse littéraire par perplexity-ai

[ transduction cosmique ] [ multivers ] [ plurivers ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

émergence

"[…] Méfiez-vous du registre de la pensée qui s’appelle évolutionniste. |

[...] Ce que j’essaie pour l’instant d’articuler devant vous, c’est quelque chose qui vous montre la nécessité d’un point de création ex nihilo pour, qu’en sorte, en naisse, ce qui dans la pulsion est à proprement parler historique. " Au commencement était le Verbe "

Ce qui veut dire : le signifiant. Sans le signifiant, au commencement, il est impossible d’articuler la pulsion comme historique, et c’est ceci qui suffit à introduire la dimension de l’ex nihilo dans la structure du champ analytique comme tel.

La seconde raison pourra vous paraître paradoxale, mais c’est pourtant une raison qui - en tout cas à mes yeux, dans le registre de ce que j’ai déployé devant vous - est essentielle, c’est que la perspective créationniste comme telle est la seule qui permette d’entrevoir comme possible, pour une pensée qui se déroule, qui se développe, l’élimination radicale de Dieu comme tel. Paradoxalement c’est dans la perspective créationniste - et c’est la seule - que peut s’envisager l’élimination toujours renaissante de l’intention créatrice comme supportée par une personne.

Elle est concevable - pour autant que dans le domaine du commencement absolu désigné comme celui qui marque la distinction, l’origination de la chaîne signifiante comme un ordre distinct - elle est concevable dans la pensée évolutionniste, simplement Dieu - pour n’être nommable nulle part - est littéralement omniprésent. Une évolution qui s’oblige elle-même à déduire le mouvement ascendant qui va arriver jusqu’au sommet de la conscience et de la pensée, d’un processus continu, et implique forcément que cette conscience et cette pensée étaient à l’origine. C’est seulement dans une perspective qui comporte la distinction du mémorable et du mémorisé comme tels, comme étant une dimension qui doive être distinguée, c’est seulement dans celle-là que nous ne nous trouvons pas faire perpétuellement cette implication de " l’être dans l’étant ", qui est au fond de la pensée évolutionniste.

En d’autres termes, ce que je suis en train de vous dire, ça n’est pas qu’il est impossible de faire sortir ce qu’on appelle " la pensée " quand on l’identifie à la conscience, d’une évolution de la matière, ce n’est pas cela qui est difficile. Ce qui est difficile à faire sortir d’une évolution de la matière, c’est tout simplement l’homo faber, la production comme telle, le producteur comme tel. C’est en tant que la production est un domaine original, et un domaine de création ex nihilo, pour autant qu’il introduit dans le monde naturel l’organisation du signifiant, c’est pour autant qu’il en est ainsi que nous pouvons effectivement trouver la pensée - et non pas un sens idéaliste comme vous le voyez, mais la pensée dans sa manifestation, sa présentification dans le monde - nous ne pouvons la trouver que dans les intervalles du signifiant. "

Auteur: Lacan Jacques

Info: Le séminaire, 4 mai 1960

[ pulsion de mort ] [ tabula rasa ] [ néant ] [ recommencement ] [ transduction ] [ langage ]

 
Commentaires: 6
Ajouté à la BD par miguel

transmutation

La Cohérence Quantique dans la Photosynthèse : Une Danse Subtile de la Lumière

Au cœur des feuilles, là où le soleil caresse les chloroplastes, se joue une symphonie invisible, un ballet quantique où les lois du monde microscopique orchestrent l’alchimie de la vie. La photosynthèse, ce miracle quotidien qui transforme l’énergie solaire en sucre, repose sur une efficacité si parfaite que la physique classique peine à l’expliquer. C’est ici qu’intervient la cohérence quantique, un phénomène délicat où les états énergétiques des molécules, telles des ondes entrelacées, explorent simultanément plusieurs chemins pour trouver la voie la plus efficace.

L’Énigme de l’Efficacité Photosynthétique

Dans les systèmes biologiques, l’énergie captée par les pigments chlorophylliens doit traverser un réseau complexe de molécules avant d’atteindre le centre réactionnel, où elle sera convertie en énergie chimique. Pourtant, malgré les obstacles thermiques et les désordres moléculaires, cette transmission atteint une efficacité proche de 100 %. Comment ?

La réponse réside dans la mécanique quantique. Contrairement à une marche aléatoire où l’énergie se perdrait en chemin, les expériences (notamment en spectroscopie 2D) ont révélé que les excitations lumineuses empruntent des superpositions d’états cohérents, explorant plusieurs trajectoires à la fois, comme un promeneur qui, au lieu d’essayer un seul sentier, emprunterait tous les chemins possibles en même temps pour trouver le plus court.

La Cohérence, ou l’Art de Ne Pas Choisir

Dans les complexes protéiques des antennes collectrices (comme les LH2 des bactéries pourpres ou les PSI/PSII des plantes), les états excités des chromophores (chlorophylles, caroténoïdes) ne se comportent pas comme des particules classiques, mais comme des ondes. Grâce à la cohérence quantique, ces excitations restent délocalisées sur plusieurs molécules simultanément, évitant ainsi les pièges de la dissipation thermique.

Ce phénomène rappelle étrangement l’algorithme quantique : au lieu de tester chaque possibilité l’une après l’autre, le système explore en parallèle toutes les configurations possibles, "calculant" en quelque sorte le chemin optimal vers le centre réactionnel. Cette délocalisation cohérente, bien que fugace (quelques centaines de femtosecondes), suffit à maximiser le transfert d’énergie.

Pourquoi la Nature a-t-elle "Choisi" la Cohérence ?

L’évolution a sculpté la photosynthèse pendant des milliards d’années, optimisant chaque étape. La cohérence quantique offre un avantage décisif :

1   Robustesse face au bruit : Malgré l’agitation thermique, les interférences constructives des états cohérents canalisent l’énergie efficacement.

2   Rapidité : En évitant les détours aléatoires, l’énergie atteint sa cible avant que la décohérence ne la disperse.

3   Adaptabilité : Certains organismes modulent leur structure pour exploiter différentes longueurs d’onde, et la cohérence permet une flexibilité optimale.

Une Poésie Quantique dans le Vivant

Il y a quelque chose de profondément émouvant dans l’idée que la lumière, en pénétrant une feuille, ne se contente pas d’y déclencher des réactions chimiques brutales, mais y danse d’abord, ondulant entre plusieurs réalités, comme hésitante avant de se fixer dans la matière. La cohérence quantique, souvent associée aux laboratoires et aux ordinateurs futuristes, est aussi un phénomène intime de la nature, une ruse sublime pour capter l’éphémère.

Ainsi, la photosynthèse n’est pas seulement une usine biochimique : c’est une œuvre d’art quantique, où la vie a appris à jouer avec les probabilités pour transformer l’incertitude en certitude, le photon en pain.



 

Auteur: Google Bard chatbot

Info: Réponse de gemini 2.5, le 5 juin 2025, à une demande d'éclaircissement sur la photosynthèse

[ seuil de décohérence ] [  rupture de cohérence ] [ moment frontière ] [ transition de phase ] [ saut vibratoire ] [ transduction ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel