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dernières paroles
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Auteur: Mirbeau Octave
Années: 1848 - 1917
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info: en mourant dans les bras De Sacha Guitry, il lui parlait d'écriture théâtrale
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risquer
Le ridicule n'existe pas : ceux qui osèrent le braver en face conquirent le monde.
Info:
réserve
Ceux qui se taisent disent plus de choses que ceux qui parlent tout le temps.
[ mutisme ]
navrant
Ce n'est pas de mourir qui est triste... c'est de vivre quand on n'est pas heureux...
Info: Le jardin des supplices, p.220
[ affligeante ] [ existence ]
femmes-par-hommes
On aime une femme, on se laisse aller… et c’est toujours, toujours, de la saleté !
Info: La Mort de Balzac
[ amour ] [ affaiblissement ] [ négligence ]
bienveillance
Ne hais personne, pas même le méchant. Plains-le car il ne connaîtra jamais la seule jouissance qui console de vivre : faire le bien....
Info: Lettres de ma chaumière
[ compréhension ]
beaux-arts
Quand je suis triste, rien ne me déride comme de penser à l'art officiel, à ses pompes, à ses oeuvres. C'est un des sujets les plus merveilleusement comiques qu'il y ait dans le monde. Et il est inépuisable.
[ grotesque ] [ subventionné ]
peinture
La vérité, c'est qu'il n'est pas d'art plus sain... il n'est pas d'art plus réellement, plus réalistement peintre que l'art de Van Gogh... Van Gogh n'a qu'un amour : la nature ; qu'un guide : la nature... Il a même l'instinctive horreur de tous ces vagues intellectualismes où se complaisent les impuissants.
[ sincérité ]
humiliation
- Vous pouvez manger cette poire, elle est pourrie... Finissez ce poulet à la cuisine, il sent mauvais... Chaque mot vous méprise, chaque geste vous ravale plus bas qu'une bête... Et il ne faut rien dire ; il faut sourire et remercier, sous peine de passer pour une ingrate ou un mauvais coeur...
Info: Le journal d'une femme de chambre
[ serviteur ] [ domestique ] [ valet ]
exagération
Nous passions une saison à Noirmoutier. Nous y avions fait connaissance d'une dame très laide, si laide que je renonce à vous décrire l'énormité, l'hyperbolisme, l'hugotisme de cette laideur, si laide que je n'ai jamais eu la curiosité - désireux qu'elle restât un mythe - de demander qui elle était, d'où elle venait, de quelles amours tératologiques et contradictoires elle avait bien pu naître.
Info: Dingo
[ littérature ] [ moche ]