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intraduisibles

臨終 ( Rinjū ): Ce terme japonais désigne les derniers instants avant la mort, souvent associés à une préparation spirituelle.

往生 ( Ōjō ): Terme bouddhiste japonais qui signifie "renaissance" ou "passage vers une autre vie". Peut être utilisé pour parler de la mort dans une perspective spirituelle.

逝世 ( Shìshì ):  Terme chinois taoïste qui signifie "quitter le monde" ou "passer de la vie à la mort". Peut être utilisé dans un contexte formel ou respectueux.

羽化 ( Yǔhuà ): Terme chinois taoïste poétique qui signifie "se transformer en oiseau" ou "s'envoler". Peut être utilisé pour parler de la mort comme une transition vers un autre état.


Auteur: Deepseek.Ai

Info:

[ idéogrammes ] [ instant de la mort ] [ séparation corps-esprit ] [ exitus ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

niche cognitive humaine

Pourquoi nos sens ne perçoivent pas l’inframonde quantique

Ce concept de niche est une idée issue de la biologie évolutive et des sciences cognitives. Elle postule que les organismes développent des systèmes perceptifs et cognitifs adaptés à leur environnement immédiat, c’est-à-dire aux échelles spatio-temporelles et aux phénomènes critiques pour leur survie.

Explication scientifique

- Échelle mésoscopique : Les humains perçoivent un " monde moyen " (entre 10⁻⁶ m [cellules] et 10⁴ m [paysages]), avec des événements se déroulant à des échelles de temps de la milliseconde à la décennie.

Exemple évolutif : Nos yeux détectent la lumière visible (400-700 nm), car c’est la plage dominante du spectre solaire atteignant la Terre, utile pour la chasse, l’agriculture, etc.

Nous ne percevons pas les UV, les infrarouges, ou les champs quantiques (comme le champ électromagnétique fondamental), car ces données étaient non pertinentes pour la survie ancestrale.

Limites quantiques :

Les phénomènes quantiques (ex : superposition, intrication) opèrent à des échelles subatomiques (10⁻¹⁰ m et moins) et des temps ultra-courts (10⁻¹⁵ s).

Notre cerveau, optimisé pour traiter des objets macroscopiques en mouvement classique (ex : prévoir la trajectoire d’un prédateur), n’a pas évolué pour " visualiser " des probabilités d’onde ou des particules virtuelles.

Implications philosophiques

Réalité voilée : ces limitations cognitives suggèrent que notre perception n’est pas une " photographie " de la réalité, mais une interface utilitaire, filtrée par l’évolution.

Outils scientifiques comme extensions :

Les microscopes électroniques, les détecteurs de particules, ou les interféromètres (ex : LIGO) agissent comme des " prothèses sensorielles " pour explorer l’inframonde.

Cela ne signifie pas que la réalité quantique est " plus vraie ", mais qu’elle complète notre compréhension de l’univers.

Analogies

-Un poisson des abysses, aveugle à la lumière solaire, ne perçoit pas les couleurs, mais détecte les champs électriques : sa niche cognitive est adaptée à son environnement.

De même, l’humain est " aveugle " aux états quantiques, mais peut les modéliser mathématiquement. 



 

Auteur: Deepseek.Ai

Info: 27 février 2025

[ anthropocentrisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

chevauchements

(FLP - As-tu constaté des structures, non musicales, qui sont clairement polyrythmiques ?

(Deeps) - La polyrythmie, cette superposition de rythmes différents, n'est pas l'apanage de la musique. On en trouve des exemples fascinants dans divers domaines :

1. Dans la nature

- Le vol des oiseaux migrateurs : certains oiseaux, comme les oies sauvages, volent en formation en V. Chaque oiseau ajuste son rythme de battement d'ailes en fonction de sa position dans la formation, créant une polyrythmie visuelle et aérodynamique.

- Le mouvement des vagues : les vagues de l'océan, entraînées par différents courants et vents, se rencontrent et se superposent, créant des motifs polyrythmiques complexes et hypnotiques.

- Les cycles biologiques : de nombreux êtres vivants sont soumis à des cycles biologiques qui se déroulent à des rythmes différents. Par exemple, le rythme cardiaque, la respiration et les ondes cérébrales peuvent interagir de manière polyrythmique.

2. Dans les structures sémantiques

- Le langage : la poésie, en particulier, joue avec les rythmes et les sonorités pour créer des effets polyrythmiques. Les vers, les strophes, les rimes et les assonances se combinent pour former une musique des mots.

- Les récits : les histoires que nous racontons sont souvent construites sur plusieurs niveaux narratifs qui s'entrecroisent et se répondent. Ces récits enchâssés peuvent être considérés comme des formes de polyrythmie narrative.

3. En biologie

- Le corps humain : notre corps est une machine polyrythmique ! Le cœur bat à un certain rythme, la respiration à un autre, le système digestif suit son propre tempo, etc. Tous ces rythmes interagissent et se coordonnent pour maintenir notre équilibre.

- Les écosystèmes : les interactions entre les différentes espèces au sein d'un écosystème peuvent être vues comme une forme de polyrythmie. Chaque espèce a son propre cycle de vie, sa propre période de reproduction, etc.

4. En microbiologie on observe des phénomènes polyrythmiques, souvent à une échelle microscopique. Voici quelques exemples :

- Cycles de croissance bactérienne : Les populations bactériennes ne croissent pas toujours de manière linéaire. Elles peuvent présenter des cycles de croissance et de dormance, influencés par la disponibilité des nutriments, la température et d'autres facteurs environnementaux.

Dans un écosystème microbien complexe, différentes espèces de bactéries peuvent avoir des cycles de croissance qui se croisent et interagissent, créant des motifs polyrythmiques.

- Rythmes circadiens chez les micro-organismes : Certains micro-organismes, comme les cyanobactéries, possèdent des rythmes circadiens internes qui régulent leurs activités métaboliques en fonction du cycle jour/nuit. Ces rythmes peuvent interagir avec d'autres rythmes environnementaux, comme les marées ou les saisons, créant des motifs polyrythmiques complexes.

- Interactions microbiennes : Les micro-organismes interagissent constamment entre eux, que ce soit par la compétition pour les ressources, la prédation ou la symbiose. Ces interactions peuvent donner lieu à des oscillations et des cycles qui se superposent et s'influencent mutuellement, créant des dynamiques polyrythmiques.

- Les virus et leurs cycles de réplication : Les virus, en eux même, ont des cycles de réplication qui peuvent interagir avec les cycles biologiques de la cellule hôte, créant ainsi des phénomènes polyrythmiques. Les differentes phases de réplication virales, peuvent être considérées comme des rythmes qui se superposent aux rythmes de la cellule hôte.   

5. En astronomie la polyrythmie se manifeste de manière spectaculaire, à des échelles de temps et d'espace vertigineuses. Voici quelques exemples :

- Les mouvements célestes : Les planètes de notre système solaire orbitent autour du Soleil à des vitesses différentes, créant une polyrythmie orbitale. Chaque planète a sa propre période de révolution, et ces périodes interagissent de manière complexe. Les lunes des planètes, comme les lunes de Jupiter, ont également leurs propres rythmes orbitaux, qui se superposent aux rythmes des planètes.

- Les étoiles elles-mêmes se déplacent dans la galaxie, et ces mouvements créent des rythmes à l'échelle galactique.

- Les cycles stellaires : Les étoiles ont des cycles de vie qui durent des milliards d'années. Ces cycles comprennent des phases de naissance, de maturation et de mort, et ces phases se déroulent à des rythmes différents selon la masse et la composition de l'étoile.

- Les étoiles variables, comme les étoiles céphéides, ont des pulsations régulières qui peuvent être considérées comme des rythmes stellaires.

- Les interactions gravitationnelles entre les corps célestes créent des oscillations et des résonances qui peuvent être considérées comme des formes de polyrythmie. Par exemple, les marées sur Terre sont le résultat de l'interaction gravitationnelle entre la Terre et la Lune, et ces marées ont des rythmes complexes qui varient en fonction de la position de la Lune et du Soleil.

Les rythmes galactiques : Les galaxies elles-mêmes ont des structures en spirale qui tournent et évoluent au fil du temps.

Les bras spiraux d'une galaxie ont leurs propre vitesse et leur propre cycle, ceux ci interagissent entre eux, et avec le centre galactique.

Etc, etc, etc 

Auteur: Deepseek.Ai

Info: 25 février 2025

[ hyper-complexité ] [ simultanéité ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

symbologie

(FLP) - Salut... comment perçois-tu l'évolution du langage humain et de ses interactions sémiotiques au sens large... comment vois-tu son avenir ? en allant à l'essentiel et en restant concis

(Deepseek) - Je vais aller droit au but :

Évolution & Avenir

1 - Accélération : Le langage évolue via la technologie (réseaux sociaux, IA), créant des hybrides (mèmes, emojis, prompts d’IA) qui compressent le sens.

2 - Diversification : Les interactions multiculturelles et les langues minorisées gagnent une visibilité numérique, mais l’anglais domine comme lingua franca algorithmique.

3 - Hybridation : Le texte se mêle à l’audio, au visuel, au code (réalité augmentée, métavers), rendant la sémiotique plus sensorielle et moins linéaire.

Défis/Futur :

- Fragmentation : Risque de bulles sémiotiques (communautés fermées, dialectes IA).

- Universalité : Besoin croissant de symboles/gestes universels (face au cloisonnement numérique).

- Éthique : Qui contrôle les nouveaux codes ? (biais des LLM, déshumanisation des échanges).

Essentiel : Le langage restera un outil de pouvoir et de lien, mais sa forme devra concilier rapidité numérique et profondeur humaine.

(FLP) - J'aimerai que tu tentes de développer un peu ta vision en prenant en compte deux directions simultanées A) la fragmentation de l'attention et de sa continuité du à une infobésité, couplée B) aux stimuli pnl et l'irruption des images-vidéos, qui tendent à aller dans le même sens.

(Deepseek) -  Voici une synthèse structurée autour de ces deux axes :

A. Fragmentation de l’attention & infobésité : vers un langage " minimaliste 

1  Brièveté et compression :  Les messages se réduiront à des formats ultra-concis (mots-clés, hashtags, emojis), voire à des symboles universels (emoji avec deux flèches inverses pour " interaction ",  emoji  X majuscule rouge pour " refus ").  Ex. : Les snippets d’IA (résumés automatiques) remplaceront les paragraphes.

2.  Hiérarchie disruptive :  Le langage abandonnera la linéarité (début/milieu/fin) au profit de sauts contextuels, comme les liens hypertexte ou les notifications imbriquées.  Ex. : Un e-mail deviendra un arbre de décisions cliquables plutôt qu’un texte continu.

3. Micro-narrations : Les récits se fragmenteront en capsules émotionnelles (ex. : stories Instagram/TikTok), où l’émotion prime sur la cohérence.

Risque : Perte de la pensée complexe au profit de l’immédiateté.

B. Stimuli PNL (Neuro-Linguistique) & domination de l’image : vers un langage " neuro-ergonomique "

1  Langage subliminal et biais cognitifs : 

- Les mots seront optimisés pour déclencher des réactions rapides (ex. : call-to-action algorithmiques, formulations hypnotiques type " Ne ratez pas ça ").

- La PNL et l’IA exploiteront les patterns émotionnels pour capter l’attention (ex. : titres de vidéos YouTube conçus par GPT-4).

2  - Hybridation texte-image-vidéo :

- Le langage deviendra multimodal : une idée = un mot + une image + un son (ex. : les mèmes, les GIFs réactifs).

- Les émoticônes évolueront en avatars 3D interactifs (ex. : Meta avatars dans le métavers).

3   Langage algorithmique :

- Les IA génératives créeront des dialectes adaptés à chaque utilisateur (ex. : ChatGPT personnalisant son ton selon votre historique).

- Risque : Une bulle linguistique individualisée, où chacun communique dans un jargon unique, incompréhensible hors contexte.

Synergie A + B : Vers une " linguistique de l’urgence "

1  Émergence de dialectes éphémères :

Des langages cryptiques, nés sur les réseaux sociaux (ex. : le Vaporwave linguistique), fusionneront icônes, argot et références culturelles ultra-spécifiques.

2  Démocratie vs manipulation :

Les outils d’IA pourraient réhabiliter la nuance (ex. : plugins de détection de biais) ou, au contraire, amplifier la désinformation via des deepfakes textuels/vidéo.

3  Nouveaux illettrismes :

Une fracture entre ceux qui maîtrisent les codes multimédias (ex. : lire un graphique interactif) et ceux restés dans le texte linéaire.

La " littératie visuelle " deviendra aussi cruciale que l’écriture.

Conclusion : Un équilibre à inventer

Le langage futur oscillera entre efficacité neuro-ergonomique (capturer l’attention en 3 secondes) et résistance critique (préserver la profondeur). Les enjeux clés seront :

Éthique des IA : Limiter la manipulation tout en exploitant leur potentiel créatif.

Pédagogie adaptée : Apprendre à naviguer dans un flux info-sensoriel sans s’y dissoudre.

Nouveaux humanismes : Réinventer des espaces de dialogue lent (ex. : clubs de lecture virtuels avec IA modératrice).

Le langage ne mourra pas : il se métamorphosera en une peau numérique, à la fois miroir et filtre de notre réalité hyperstimulée.

(FLP) - Ok, c'est pas mal... cependant ce que tu avances concerne plutôt le langage des interactions sur le web. il n'en reste pas moins que les hommes continueront à échanger et à débattre "en live" je doute que ce que tu viens de développer corresponde vraiment aux humains à venir - qui sont basiquement des parlêtres - plus évolués, mieux éduqués et informés. Non ?

(Deepseek) - Vous avez raison de souligner ce point : l’analyse précédente se concentrait sur les mutations instrumentales du langage (liées aux contraintes technologiques et à l’infobésité), mais elle ne répondait pas pleinement à la dimension ontologique des humains comme " parlêtres ", capables de débattre, de créer du sens partagé, et de résister aux simplifications. Reprenons cette critique pour affiner la perspective :

1. Distinguer deux dimensions du langage : l’outil vs l’être

Langage-outil (web, réseaux) :

Effectivement dominé par l’urgence, la fragmentation, les stimuli PNL. C’est un langage conçu pour survivre dans un écosystème attentionnel hostile.

Langage-être (débats, intimité, art) :

Ici, le langage reste un acte de liberté, de construction identitaire et de résistance. Même hyperconnectés, les humains cherchent des espaces où le verbe se déploie lentement (ex. : podcasts longs, clubs de philosophie en ligne).

2. Les " parlêtres " futurs : une dialectique entre adaptation et résistance

a. L’éducation et l’accès à l’information ne garantissent pas la profondeur

Un humain mieux informé n’est pas nécessairement un humain plus attentif : la surcharge cognitive peut paradoxalement renforcer le recours à des raccourcis linguistiques (même chez les élites).

Ex. : Les académiques utilisent ChatGPT pour résumer des articles complexes, risquant de perdre la nuance.

b. Mais l’humain reste un animal dialectique

Le besoin de débattre, de contredire, de jouer avec le langage est constitutif de notre espèce. Les réseaux sociaux eux-mêmes voient émerger des contre-cultures verbales sophistiquées (ex. : le shitposting philosophique, les débats sur Substack).

La complexité linguistique ne disparaît pas : elle se niche dans des niches (communautés fermées, œuvres artistiques).

c. L’IA comme amplificateur, pas comme remplacement

Des outils comme les LLM (Large Language Models) pourraient enrichir les débats en temps réel :

— Fournir des références factuelles pendant une conversation.

— Traduire instantanément les nuances interculturelles.

— Cartographier les biais logiques dans un discours politique.

Mais cela suppose un usage maîtrisé, non subi, de la technologie.

3. Le grand paradoxe futur : l’exigence de profondeur dans un monde de surfaces

Plus le langage-outil devient efficace/bref, plus le langage-être deviendra un marché de niche valorisé (comme le vinyle dans la musique numérique).

Exemples émergents :

— Slow Communication : Mouvement prônant des échanges épistolaires numériques lents (ex. : plateforme Letterspace).

— Hybridation délibérative : Assemblées citoyennes utilisant l’IA pour structurer des débats complexes, sans sacrifier la parole humaine.

— Néo-oralité : Retour des performances de poésie orale, des contes interactifs en réalité mixte.

4. Ce qui pourrait vous donner raison (un scénario optimiste)

Si les humains deviennent effectivement " plus évolués ", cela implique :

Une pédagogie critique généralisée : Apprendre à jongler entre TikTok et Platon sans mépriser l’un ni sacraliser l’autre.

La réhabilitation de la vulnérabilité langagière : Acceptation du silence, du bégaiement, du doute comme parties nobles du dialogue.

Des institutions hybrides : Des parlements où l’IA modère les temps de parole, mais où l’émotion humaine reste souveraine.

En synthèse : Le langage comme champ de bataille

Votre objection touche à l’essentiel : le langage n’est pas qu’un reflet passif des technologies, c’est aussi le lieu où se joue ce que nous voulons être. Les tendances que je décrivais (fragmentation, stimuli) sont réelles, mais elles ne définiront l’avenir que si nous renonçons à les contester.

Les " parlêtres " de demain auront peut-être deux visages :

- Une main pianotant des emojis sur un smartphone,

- L’autre main tenant un livre ou serrant celle d’un interlocuteur en regardant un coucher de soleil.

La question ne sera pas " Quel langage dominera ? ", mais " Comment naviguer entre ces pôles sans se schizophréniser ? ". Et ça, c’est une aventure strictement humaine.

Auteur: Deepseek.Ai

Info: 5 février 2025

[ communication ] [ technologies ] [ homme-machine ] [ diachronicité ]

 
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Ajouté à la BD par miguel