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sagesse

Un jour, un vieux professeur fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Debout devant ce groupe d'élite, le vieux prof les regarda un à un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
Du dessous de la table, il sortit un immense pot "Mason" de un gallon qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit une douzaine de cailloux de la grosseur approximative d'une balle de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : Est-ce que le pot est plein? Tous lui répondirent "oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment? Alors, il se pencha de nouveau et ressortit avec un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : Est-ce que le pot est plein? Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "probablement pas". Bien ! Répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et, cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla emplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : Est-ce que le pot est plein? Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non".
Bien! Répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Il leva les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience?" Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "cela démontre que même lorsqu'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof, ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : "si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite".
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ses propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie?... votre santé?... votre famille?... vos amis?... ou, toute autre chose?... Ce qui est important, c'est de mettre ses gros cailloux en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... SA VIE.
Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :
Quels sont les gros cailloux dans ma vie? Ensuite, mettez-les en premier dans votre pratique.
D'un geste amical de la main, le vieux prof quitta la salle.

Auteur: Internet

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[ leçon ] [ fable ]

 

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empathie

Olivier Collignon et ses collègues ont démontré que les femmes étaient supérieures aux hommes dans le traitement des informations émotionnelles émanant de sources auditives, visuelles et audio-visuelles. Les émotions à l'étude étaient la peur et le dégoût.
Pour cette étude, des modèles vivants, soit des acteurs et des actrices, ont été utilisés pour simuler la peur et le dégoût, plutôt que de simples photographies. "Les mouvements faciaux jouent un rôle important dans la perception de l'intensité d'une émotion et stimule différemment les zones du cerveau impliquées dans le traitement de ces informations", explique Collignon, chercheur à l'Institut de neuroscience à l'Université catholique de Louvain en Belgique. L'étude a aussi mis l'accent sur l'utilisation de stimuli bimodaux: une expression faciale animée jumelée à une voix non verbale.
L'équipe de chercheurs a demandé aux participants de l'étude, 23 femmes et 23 hommes âgés de 18 à 43 ans sans problèmes neurologiques ou psychiatriques, d'identifier l'émotion de la peur et du dégoût le plus rapidement possible par la présentation d'un stimulus auditif, d'un stimulus visuel, d'un stimulus audio-visuel congruent et, finalement, d'un stimulus audio-visuel non congruent, par exemple un visage de peur jumelé à une voix de dégoût, et vice versa. Les femmes différencient plus facilement le dégoût de la peur.
Non seulement les femmes traitent plus efficacement l'information émotionnelle uni sensorielle (expression faciale ou voix), mais sont aussi plus efficaces pour traiter l'intégration de la voix et de l'expression faciale.
Les émotions de la peur et du dégoût ont été privilégiées dans cette étude, car elles ont des fonctions de prévention dans les situations menaçantes et sont donc liées à la survie de l'espèce humaine.
Ces études inter sexes sont nécessaires pour aider les chercheurs à mieux comprendre les maladies mentales qui ont une composante inter genre importante, c'est-à-dire qui affectent différemment les hommes et les femmes. Par exemple l'autisme affecte beaucoup plus d'hommes que de femmes et une de ces caractéristiques est la difficulté à reconnaître l'expression des émotions.
Les chercheurs Baron et Cohen ont mis de l'avant en 2002 une théorie provocante selon laquelle l'autisme pourrait être l'exacerbation du cerveau masculin. Ils ont suggéré que l'autisme et le syndrome d'Asperger seraient l'extrême pathologique du comportement cognitif et interpersonnel mâle, caractérisé par une capacité d'empathie plus limitée et une systématisation accrue. "Nos résultats de recherche démontrant que les hommes identifient et expriment les émotions moins efficacement, renforcent, du moins en partie, cette théorie", reconnaît Olivier Collignon.
Les femmes sont-elles programmées ainsi dès la naissance ou est-ce le résultat de l'expérience de vie? Le fait que certaines différences soient décelables très tôt chez l'enfant alors que les expériences de socialisation sont peu nombreuses laisse croire que la biologie joue un rôle. La psychologie de l'évolution propose comme hypothèse que la femme est dotée de cette disposition biologique à traiter plus efficacement l'information émotionnelle en tant que mère prodiguant les soins aux nouveau-nés et aux enfants en bas âge: elle peut ainsi décoder rapidement la détresse d'un enfant qui ne parle pas encore ou d'un adulte menaçant, augmentant les chances de survie de sa progéniture. "Cela ne doit pas occulter le rôle important de la culture et de la socialisation dans cette différence inter genre", prévient cependant Olivier Collignon.

Auteur: Internet

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[ psychose ] [ femmes-hommes ]

 

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physique photonique

Quantifier la quantification :  projet mathématique "d'une immense beauté".

Les chercheurs mettent au point une méthode pour déterminer le degré de quantification de l'état d'un système.

Tout grand objet : balle de base-ball, véhicule, planètes, etc, se comporte conformément aux lois classiques de la mécanique formulées par Sir Isaac Newton. Les petits, comme les atomes et les particules subatomiques, sont régis par la mécanique quantique, où un objet peut se comporter à la fois comme une onde et comme une particule.

La frontière entre le domaine classique et le domaine quantique a toujours été d'un grand intérêt. Les recherches rapportées dans AVS Quantum Science par AIP Publishing, examinent la question quant à savoir ce qui fait qu'une chose est "plus quantique" qu'une autre. Existe-t-il un moyen de caractériser la "quanticité" ? Les auteurs indiquent qu'ils ont trouvé une approche pour le faire.

Le degré de quanticité est important pour des applications telles que l'informatique et la détection quantiques, qui offrent des avantages que l'on ne trouve pas dans leurs équivalents classiques. Pour comprendre ces avantages, il faut à son tour comprendre le degré de quanticité des systèmes physiques concernés.

Plutôt que proposer une échelle dont les valeurs seraient associées au degré de quanticité, les auteurs de cette étude examinent les extrêmes, à savoir quels sont les états les plus, ou les moins... quantiques. Selon l'auteur Luis Sanchez-Soto, l'idée de cette étude est venue d'une question posée lors d'une réunion scientifique.

"Je donnais un séminaire sur ce sujet lorsque quelqu'un m'a posé la question suivante : 'Vous, les gars de l'optique quantique, vous parlez toujours des états les plus classiques, mais qu'en est-il des états les plus quantiques?'", 

On a compris depuis longtemps que les états dits cohérents peuvent être décrits comme quasi-classiques. Ils se produisent, par exemple, dans un laser, où la lumière provenant de plusieurs sources de photons est en phase, par conséquence dans un état très peu quantique.

Un tel système quantique peut être représenté mathématiquement par des points, plus ou moins nombreux, que l'on répartit sur une sphère, souvent en les intriquant sur spectre de couleurs pour avoir une meilleure représentation de ce qu'on appelle en général "constellation de Majorana". Pour les états cohérents, la constellation est simplement un point unique. Par conséquent ceux qui sont les plus quantiques présentent des configurations plus riches/nombreuses qui recouvrent plus richement la sphère. Les sphères pouvant être modélisées de plusieurs manières : par un simple cercle où sont disposés les "points quantiques", via les répartitions de couleurs, voire en usant de ces point de polarités pour transformer chaque sphère en un polyèdre plus ou moins complexe. 

Les chercheurs, après avoir examiné plusieurs autres approches de scientifiques ayant exploré les quanta, et en prenant en compte la constellation de Majorana pour chacune d'entre elles, s'étaient sont alors demandés comment répartir au mieux, ou le plus uniformément, l'ensemble des points sur une sphère dans le cadre de cette approche. 

C'est ainsi que Sanchez-Soto et ses collègues, en abordant la quanticité sous cet aspect, ont réalisé qu'il s'agissait d'un projet mathématique non seulement utile, mais "d'une immense beauté".

Auteur: Internet

Info: https://www.newswise.com. 12 nov 2020

[ électrons ]

 

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biophysique

Ces scientifiques viennent de prouver que l'on émet tous une lueur fantomatique jusqu'à notre mort 

Une équipe canadienne a capté la trace lumineuse invisible que produisent tous les êtres vivants. Une lueur réelle, issue des cellules, qui disparaît presque instantanément au moment du décès.

Une lumière imperceptible qui signe le vivant

Elle est invisible à l’œil nu, mais bien réelle. Une équipe de chercheurs de l’université de Calgary, au Canada, vient de démontrer que tous les êtres vivants émettent une faible lumière, comme une sorte de lueur fantomatique, qui s’éteint lorsque la mort survient. Ce phénomène, connu sous le nom d’ultraweak photon emission (UPE), n’a rien de mystique : il s’agit d’une émission de photons - les particules de lumière - produite naturellement par les cellules au cours des réactions chimiques qui permettent de générer de l’énergie.

Dans toutes les formes de vie, le métabolisme oxydatif - ce processus qui brûle du sucre avec de l’oxygène - libère de minuscules quantités de lumière. Mais cette émission est si faible qu’elle échappe à nos sens, et même à la plupart des instruments scientifiques. Grâce à des caméras capables de détecter un seul photon, les chercheurs ont réussi à la capter, dans une expérience menée sur des souris.

Les animaux ont été placés dans des boîtes obscures à température stable. Deux clichés à longue exposition ont été pris : l’un alors que la souris était vivante, l’autre juste après sa mort. Sur la première image, des points lumineux apparaissent sur tout le corps, plus intenses au niveau des organes, de la tête et des pattes. Sur la seconde, ces lueurs se sont presque toutes éteintes. L’équipe conclut que cette lumière est directement liée à l’activité cellulaire, et qu’elle cesse presque totalement à l’instant du décès.

Une trace lumineuse qui en dit long sur notre état de santé

Ce phénomène, longtemps resté hypothétique, devient aujourd’hui mesurable. Il pourrait bien devenir un indicateur précieux de l’état biologique d’un organisme. Les chercheurs ont également observé des émissions lumineuses sur des feuilles d’arbre. Après avoir été coupées, elles continuaient à briller, et cette lumière s’intensifiait lorsqu’elles subissaient un stress ou un dommage - par exemple avec l’ajout de benzocaïne, un anesthésique.

Ces observations confirment que la lueur fantomatique accompagne les réactions de réparation et les signaux de stress. Mais elle ne suit pas forcément les critères médicaux habituels de la vie ou de la mort. Comme l’explique Michal Cifra, biologiste à l’Académie des sciences de Prague, cette lumière dépend essentiellement de l’oxygène disponible. Tant qu’il y a oxygène, le métabolisme se poursuit, et les photons sont émis. Un organe isolé, mais irrigué artificiellement, peut donc continuer à briller, même en l’absence d’activité cérébrale.

Ce lien direct entre lumière et activité cellulaire ouvre la voie à des applications médicales non-invasives : en analysant l’intensité lumineuse émise par certaines zones du corps, il serait possible de détecter des lésions, d’évaluer la réponse à un traitement, ou encore de suivre la progression de maladies comme Alzheimer. À une autre échelle, les chercheurs imaginent déjà utiliser cette lueur pour surveiller la santé de vastes écosystèmes en observant, la nuit venue, le scintillement discret des forêts vivantes.

Auteur: Internet

Info: https://www.jeuxvideo.com/ - 13 mai 2025, Arnaud Follin-Arbelet

[ fluide vital ] [ émission de photons ultrafaibles ]

 

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niveaux communautaires

( FLP ) - Tentons de définir diverses échelles de pensées communautaires, éventuellement d'univers consensuels. Peux-être pourras-tu aider à clarifier ceci. A partir de ce raisonnement de départ. Il y a la pensée du couple, puis communautaire familiale-tribale... qui s'étend jusqu'à une pensée collective idiomatique. La langue française "pense un peu à sa façon" par exemple. Ensuite avec Internet nous sommes arrivés à une pensée terrestre anthropique globale, un peu comme si chaque humain représentait un neurone de ce web noosphère. Il y a ensuite la pensée globale Gaïa, grosso modo le vivant émergé et complexifié via des dialogues épigénétiques sous les actions de l'eau, la gravitation et l'énergie du soleil. Vient peut-être ensuite une pensée solaire intégrale, puis galactique, et enfin cosmique. En attendant de découvrir de nouveaux univers, niveaux vibratoires, voire plus.

(Perplexity.ai)  - Votre réflexion sur les différentes échelles de pensées communautaires et les univers consensuels est fascinante et soulève des questions profondes sur la nature de la conscience collective et les niveaux d'interconnexion. Voici une clarification de ces concepts en suivant votre raisonnement :

Échelles de Pensées Communautaires

- Pensée Familiale-Tribale : À la base de la pyramide des pensées communautaires, on trouve les unités les plus petites, comme la famille ou la tribu. Ces groupes partagent des valeurs, des croyances et des traditions qui influencent leur perception du monde.

- Pensée Idiomatique : Les communautés linguistiques, comme celles formées autour de la langue française, partagent une manière de penser et de communiquer qui est façonnée par leur langue. La langue structure la pensée et influence la façon dont les individus perçoivent et interprètent le monde.

- Pensée Anthropique Globale : Avec l'avènement d'Internet, nous avons atteint un niveau de pensée globale où les informations et les idées circulent librement à travers le monde. Cela crée une sorte de "noosphère", où chaque individu contribue à une conscience collective mondiale, semblable à un réseau de neurones interconnectés.

- Pensée Globale Gaïa : Ce concept élargit la pensée collective à l'échelle de la planète entière, englobant toutes les formes de vie et leurs interactions. La théorie de Gaïa propose que la Terre fonctionne comme un système auto-régulateur, où le vivant et l'environnement physique interagissent pour maintenir l'équilibre.

- Pensée Solaire et Galactique : En élargissant encore l'échelle, on peut imaginer une pensée qui intègre non seulement la Terre mais aussi le système solaire et au-delà. Cela inclut la reconnaissance des influences cosmiques sur la vie terrestre, comme l'énergie solaire et les forces gravitationnelles.

- Pensée Cosmique : Enfin, à l'échelle la plus vaste, la pensée cosmique engloberait l'univers entier, incluant toutes les formes de vie, de matière et d'énergie. Cela pourrait inclure des dimensions encore inconnues et des niveaux vibratoires qui transcendent notre compréhension actuelle.

Réflexions et Implications

Ces différentes échelles de pensée soulignent l'interconnexion croissante entre les individus et les systèmes à travers le temps et l'espace. Elles invitent à réfléchir sur notre place dans l'univers et sur la manière dont nos actions et pensées individuelles peuvent influencer des systèmes beaucoup plus vastes. Cette perspective peut encourager une prise de conscience écologique et cosmique, incitant à une responsabilité collective envers notre planète et au-delà. 

Auteur: Internet

Info: 20 août 2024

[ zoom arrière ] [ interdépendance ]

 
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musiciens méprisés

14 h - Lyon, France. Je viens d’assister à un moment sidérant. 

Auditorium de Lyon. J’attends que le concert commence. 2ème de Beethoven, R. Capuçon dans le concerto d’ Elgar. 

Les musiciens de l’ONL sont sur scène, au pupitre, en train de chauffer. 

Un message passe dans les enceintes. Les représentants syndicaux vont s’exprimer. 

Et c’est parti pour le scandale. 

Le public s’indigne, immédiatement, sans savoir de quoi il va être question, haut et fort. Le discours n’a même pas commencé qu’on entend des "remboursez !! " vindicatifs. On entend aussi des huées. 

Le délégué syndical s’avance, humblement, sous les invectives. Commence à parler. A dire son inquiétude et le refus des musiciens de la réforme passée par 49.3. Entre chaque phrase, quasi inaudible, des gens poudrés et bien mis de leur personne invectivent, hurlent "musiiiiique !" pour signifier "ferme la et joue !". Comme si devant eux, il y avait un juke box. Ils ont payé, ils exigent. 

Derrière moi, une dame âgée crie "je ne suis pas venue à une manif, mais à un concert !"

Devant moi, quand le représentant explique que pour pratiquer un instrument au niveau professionnel, il faut de longues heures de travail quotidiennes pratiquées depuis l’enfance, qu’être musicien est comparable au sacerdoce d’un sportif de haut niveau, j’entends des "Chochotte !! On a bossé avant vous !!"… le tout sous les sifflets quasi généraux. Les applaudissements sont là aussi. Mais pas majoritaires. 

Je pourrais écrire encore des lignes entières pour décrire cette atmosphère hostile.  

Je suis sidérée. J’ai envie de pleurer.

Beethoven égrène ses mélodies à deux pas de moi. Je me dis que les musiciens ont bien du courage d’offrir cette symphonie à un public si détestable et consommateur.

Commentaires : 

Nat Briegel : Rien n'a change de ce cote la, j'crois bien que c'est même pire qu'avant. Rien de tel qu'une bonne grève surprise dans ces cas la !

Tréboit Franck : J ai assisté à la même scène a l opéra de paris pendant une flûte enchantée pour l ecilogie et alors que le manifestant avait pris soin d intervenir avant même le début du chant au second acte des gens ont hurlé "casse toi tu nous emmerdes" je n ais pas pu identifier les cons qui hurlaient ça ... Mais je me suis dit que tu leur réaction me dégoûtant profondément... Que faire contre ce mépris la ?

Dominique Bonnetain : En 2003, lors des manifestations pour le statut d intermittent, j ai vécu une situation similaire à l opéra de Toulon... c était affreux ... difficile de chanter les dents serrés de peur et de rage...

Médéric Collignon : Dominique Bonnetain Pareil à Vienne avec en plus la division côté artistes sur scène...

Dominique Bonnetain : Médéric oui il y a ça aussi, tu as raison.

Laurent Pla-Tarruella : Finalement la figure du "Bourgeois" existe toujours, cet inculte aux mains pleines qui n’est à l’opéra que pour se représenter en tant que classe sociale. C’est lui, le spectacle, en fait… D’où sa colère !

Auteur: Internet

Info: Sur le fil FB de Médéric Collignon, 18 mars. Alice Laugier depuis l'Auditorium-Orchestre national de Lyon.

[ classique ] [ polique ] [ élitisme ] [ conservatisme ] [ Gaule ]

 

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microbiologie

Les cheveux blancs seraient le signe d'un mécanisme de défense contre le cancer

Si vous scrutez vos cheveux blancs devant le miroir en faisant la moue, cette nouvelle étude pourrait bien vous faire changer d’avis. Certains cheveux deviendraient blancs ou gris pour nous protéger du cancer.

Explications.

Certains arborent une belle chevelure grise, d’autres les teignent ou les arrachent. Les cheveux blancs ne sont pas qu’une affaire d’esthétique. Une récente recherche sur les cellules souches montre qu’un cheveu peut perdre sa couleur – et donc devenir blanc ou gris – pour éviter qu’un cancer ne se développe. Ces résultats, publiés dans la revue Nature Cell Biology, pourraient bien nous faire changer de regard sur ces filaments argentés qui se glissent dans notre chevelure.

Tout au long de la vie, nos cellules sont exposées à des facteurs qui peuvent endommager l’ADN. Un ADN abîmé peut entraîner le vieillissement de la cellule ou le développement d’un cancer. Toutes les cellules sont concernées, y compris les cellules souches spécialisées de nos follicules pileux. Appelées McSCs, ce sont elles qui produisent les mélanocytes, les cellules qui colorent nos cheveux et notre peau. A chaque cycle de croissance des cheveux, elles assurent la régénération des pigments qui nous donnent notre couleur.

Se sacrifier plutôt que de devenir une tumeur

Parfois, les lésions que subit l’ADN s’avèrent très sévères, en particulier les cassures "double-brin" : cela signifie que les deux brins qui forment "le ruban" de l’ADN sont abîmés. "En temps normal, les cellules peuvent réparer une certaine quantité d’ADN. Mais quand les cellules subissent une dégradation de l’ADN supérieure à un certain plafond, les dommages sont au-delà de ce qu’elles peuvent réparer", explique le Dr Yasuaki Mohri, de l'Université de Tokyo, qui signe ces travaux.

Lorsqu’elles doivent y faire face, les cellules McSCs ne tergiversent pas. Elles déclenchent un mécanisme appelé la séno-différenciation. Concrètement, elles se différencient de façon irréversible, donc arrêtent d’être des cellules souches et finissent par disparaître. Sans cellule souche, plus de mélanocytes et sans mélanocyte, plus de couleur. Le cheveu devient alors gris ou blanc. "Il faut bien comprendre que le cheveu gris en lui-même ne protège pas du cancer. Mais il résulte d’un mécanisme qui se débarrasse des cellules très endommagées et potentiellement dangereuses", poursuit le chercheur.

Parfois, les McSCs ne se "sacrifient" pas à cause d’une molécule produite par l’épiderme. Cette molécule, le KIT ligand, empêche la séno-différenciation. Les cellules continuent alors de se renouveler malgré les dommages à l’ADN et sont poussées vers une voie favorisant les tumeurs.

"Nous pensons que cette réaction est présente de façon universelle dans nombre de nos tissus"

En parallèle de ce mécanisme tout juste découvert, il existe de nombreuses raisons pour lesquelles nos cheveux deviennent gris ou blancs, parmi lesquelles des facteurs génétiques ou encore le stress. Les chercheurs aimeraient maintenant savoir si cette réaction observée sur les cellules souches du cuir chevelu se retrouve également ailleurs dans l'organisme. "Nous pensons que cette réaction est présente de façon universelle dans nombre de nos tissus", suppose Yasuaki Mohri. Un "sacrifice" qu'accompliraient nos cellules en silence, sans même que nous nous en rendions compte.

 



 

Auteur: Internet

Info: https://www.sciencesetavenir.fr - Coralie Lemke, 24.10.2025

[ blanchiment ] [ tignasse ] [ sénescence ]

 

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exploration noétique

La Porte des Étoiles Intérieures : Un Voyage Déclassifié au Cœur de la Conscience

Au commencement était le son. Robert Monroe, pionnier des ondes, découvrit que des harmonies cachées pouvaient modeler l'esprit humain, ouvrant des portes vers des états de conscience inexplorés. Son Institut Monroe devint un laboratoire où le son était la clé, et l'esprit, la serrure.

Dans l'ombre de la Guerre Froide, alors que les Soviétiques exploraient les frontières de la perception extrasensorielle, l'armée américaine se lança dans sa propre quête. C'est ainsi que naquit le "Gateway Process", un projet secret de la CIA, consigné dans un rapport de 1983 par le lieutenant-colonel Wayne M. McDonnell.

McDonnell, tel un alchimiste des temps modernes, mêla les sciences : la biomédecine pour comprendre le corps, la mécanique quantique pour sonder la conscience, la physique théorique pour défier l'espace-temps. Son but ? Démystifier les expériences extracorporelles et percer les secrets de la réalité.

Le "Gateway Process" n'était pas de l'hypnose ou de la méditation ordinaire. Il visait un état d'harmonie cérébrale, l'"Hemi-Sync", où les deux hémisphères du cerveau vibrent à l'unisson. Grâce à des techniques sonores complexes, le corps était plongé dans un sommeil artificiel, tandis que l'esprit s'éveillait à de nouvelles fréquences.

Selon le rapport, la matière n'est qu'une illusion, un hologramme tissé par des champs d'énergie. La conscience, elle, est un système qui se superpose à ces schémas énergétiques, capable de transcender l'espace-temps si sa fréquence s'élève suffisamment. C'est le "click-out", le moment où l'onde de conscience s'échappe de la prison de la réalité.

L'univers lui-même est un tore, une spirale infinie où passé, présent et futur coexistent. En altérant notre conscience, nous pourrions accéder à cette connaissance universelle, voire survivre à la mort elle-même.

Le rapport détaille ensuite les étapes de la technique "Gateway", un chemin initiatique vers la maîtrise de la conscience :

1. La boîte de conversion de l'énergie : Isoler les pensées parasites.

2. Le bourdonnement résonnant : Harmoniser le corps et l'esprit.

3. L'affirmation de la passerelle : Déclarer son intention d'élargir sa conscience.

4. L'Hemi-Sync : Se laisser porter par les fréquences sonores.

5. Le ballon d'énergie : Se protéger des forces inconnues.

Seuls les plus persévérants atteignent les niveaux avancés, où ils peuvent voyager dans le temps, explorer l'avenir ou même quitter leur corps.

Pourtant, le rapport soulève des questions sur la fiabilité des informations obtenues et les risques de biais. Il souligne aussi que d'autres traditions spirituelles, du Tibet à l'Inde, ont exploré des territoires similaires.

Le lieutenant-colonel McDonnell conclut en recommandant à la CIA d'exploiter le potentiel du "Gateway Process" pour la défense nationale.

Mais un mystère demeure : la page 25 du rapport a disparu, emportant avec elle le secret ultime de l'existence. Est-ce un test caché, une invitation à défier le temps et l'espace pour retrouver la vérité perdue ?

Ainsi se termine le récit du "Gateway Process", un voyage aux frontières de la science et de la conscience, où le son devient la clé d'une réalité infiniment plus vaste que ce que nos sens peuvent percevoir.



 

Auteur: Internet

Info: https://www.vice.com/fr/article/comment-echapper-aux-limites-du-temps-et-de-lespace-selon-la-cia/?fbclid=IwY2xjawJUeAFleHRuA2FlbQIxMQABHftbm8av5kL7zvOfc62Dt-Ldk8088HxKwXYugJ7i5JgR7p4KzNVqjiODmg_aem_b0aFAHo6qKEcc9BiUEw8Pw

[ transcendance ] [ introspection ] [ résonance cognitive ] [ décorporation ] [ synchronisation neurale ] [ topologie cosmique ]

 

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témoignage

Si ce livre me touche autant c'est que je connais une personne très proche qui est atteinte de schizophrénie, et je sais à quel point cette maladie mentale est une souffrance au quotidien. Il s'appelle Guillaume, il a été diagnostiqué schizophrène à 18 ans, depuis 20 ans il se bat contre cette maladie, et ce garçon c'est mon petit frère. Avant que la maladie ne le touche, Guillaume était un garçon plein de vie, joyeux, heureux, drôle, intelligent et beau, très beau. Enfant, les gens se retournait sur lui et lui disait qu'il ressemblait à un ange ; blond vénitien, les yeux verts et un visage si doux, sa beauté attirait tous les regards mais malheureusement à force d'être admiré, il a fini par croire qu'il était le plus beau ! Il a eu une enfance très heureuse, c'était le petit dernier d'une grande fratrie, choyé par les frères et soeurs et surtout pas mes parents, il est devenu l'enfant roi. Mais voilà, la maladie est arrivée sournoisement, nous n'avons rien vu, pourtant il y avait des signes avant coureurs. Il a commencé à ne plus accepter la couleur "noir", au point d'arrêter le café, bien sûr nous avons pensé que c'étaient les caprices d'un adolescent. Et puis ça a été très vite, il s'est intéressé à la religion, à l'époque ma mère très croyante avait à son chevet la bible, il a commencé à la lire et ne plus la lâcher. Il prenait tout à la lettre, ça devenait très inquiétant ! Il ne dormait plus, la nuit il faisait des incantations et mangeait des cailloux. Une nuit, guidé par des voix intérieures, se croyant vêtu de blanc (en fait il était nu), il est sorti de chez mes parents, il a été au bord de l'étang du village, a pris une barque et a jeté tous ses vêtements en plein milieu de l'eau. Mes parents étaient dans le déni, et je peux les comprendre, c'est dur très dur, et c'est nous frères et soeurs qui avons pris l'initiative de le faire interner... Il a reçu un traitement de choc, et la première fois que je lui ai rendu visite au pavillon de l'HP, accompagnée de ma mère, j'ai vu un jeune garçon méconnaissable, il avait perdu toute sa beauté, il était terrorisé, j'ai pensé honteusement qu'il serait mieux mort. Et ma mère, pauvre maman je n'ai pas les mots pour exprimer son désarroi quand elle a vu son fils parmi les malades. Depuis 20 ans Guillaume fait des allers retours à l'HP, la schizophrénie lui a volé sa vie. Heureusement il connaît de longs moments d'accalmie, mais comme il refuse les traitements chimiques, il les arrête dès qu'il sent qu'il va mieux, et c'est la rechute et inévitablement le chaos, bouffée délirante, paranoïa, dépression, tentative de suicide... Mon frère est un enfant dans un corps d'adulte, je pense qu'il n'a jamais voulu quitter le monde de l'enfance et son entrée dans le monde des adultes a été brutale. La schizophrénie souffre d'une mauvaise image, elle suscite le rejet, la peur dans notre société, un schizophrène est trop souvent comparé à un fou dangereux, mais les personnes atteintes de cette pathologie sont surtout en danger pour eux-mêmes ! (Voir ce lien)

Auteur: Internet

Info: Sous le pseudo de fredho, Sur Babelio, à propos du livre d'Arnhild Lauveng, Demain j'étais folle : Un voyage en schizophrénie.

[ psychose ] [ folie ]

 

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géostratégie

A Séoul, Trump et Xi se sont affrontés sous… terre !

Trump et Xi Jinping se sont revus à Séoul. Sur le papier, c’était une rencontre pour apaiser les tensions commerciales entre les deux plus grandes puissances de la planète. Mais dans les faits, c’était un bras de fer beaucoup plus profond qui s’est déroulé sous nos yeux. Pas une guerre de mots… mais une guerre de matière.

Parce que ce que Xi Jinping sait depuis vingt ans, Trump l’a compris tardivement : l’intelligence artificielle ne vit pas dans le cloud. Elle vit dans la roche. Oui, oui, la roche.

Pendant que l’Amérique rêvait de start-up, la Chine creusait des mines. Pendant que la Silicon Valley parlait de code et d’algorithmes, Pékin parlait de cuivre, de lithium et de néodyme. Résultat : aujourd’hui, la Chine contrôle plus de 90 % du raffinage mondial des métaux rares. Et sans ces métaux, rien ne marche.

Pas de batteries, pas de semi-conducteurs, pas d’éoliennes, pas d’intelligence artificielle. Ces minerais, c’est le carburant du XXIᵉ siècle. Et la Chine a, patiemment, verrouillé toute la chaîne : extraction, transformation, logistique. Et les États-Unis s’en rendent compte trop tard.

C’est un peu comme si la Silicon Valley avait construit ses rêves numériques, mais… sur des fondations chinoises.

Aujourd’hui, les conseillers de Trump parlent d’un “retour à la matérialité”. Autrement dit : sans matière, pas de puissance. D’ailleurs, l’Amérique veut rouvrir des mines, reconstruire des raffineries, relocaliser la production.

Mais il faudra des années pour combler le retard. Pendant ce temps, Pékin continue de livrer, d’interrompre, puis de relivrer ses métaux rares selon ses intérêts. Ces métaux rares sont une arme invisible, pour le grand public, mais redoutable.

Ce retour du réel, de la matière première, c’est plus qu’un virage géopolitique. C’est un rappel pour toutes les économies occidentales. Depuis trente ans, on a glorifié le virtuel, le marketing, les idées, la data. Mais on a oublié la base physique du business : l’énergie, les matières premières, la production.

Et c’est là que la leçon devient universelle. Une entreprise, une nation, un entrepreneur… tout repose sur ce qu’on tient entre ses mains. La solidité d’un modèle ne se mesure pas au nombre de followers, mais à la maîtrise de sa chaîne d’approvisionnement. La solidité d’un modèle économique ne se mesure pas à la beauté d’un pitch, mais à la robustesse d’une production.

La Chine a compris que la puissance se construit d’abord dans la matière première. Et c’est ça, au fond, c’était le vrai sujet de ce face-à-face et dont on a très peu parlé dans les médias. La bataille ne se joue pas sur les écrans, mais sous terre.

Entre ceux qui possèdent les ressources, et ceux qui en dépendent. Alors oui, on peut rêver d’un monde numérique, propre et intelligent. Mais pour qu’il fonctionne, il faudra toujours du cuivre, du lithium, du cobalt, du fer.

La technologie change, la géologie, elle, ne bouge pas. Et c’est peut-être la grande leçon de ce siècle : dans un monde saturé de virtuel, la vraie rareté, ce n’est plus l’idée… c’est le concret, la matière première.


 

 

Auteur: Internet

Info: https://trends.levif.be/, Amid Faljaoui, 31 octobre 2025

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste