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camp de concentration

A l'aube du 13 juillet 1942, les hommes du bataillon de police de réserve allemande entrent dans le village polonais de Josefow. Arrivés en Pologne quelques jours auparavant, la plupart d'entre eux sont des pères de famille trop âgés pour être envoyés au front. Dans le civil, ils étaient ouvriers, vendeurs, artisans, employés de bureau. Au soir de ce 13 juillet, se sont emparés des 1800 juifs de Josefow, ont désigné 300 hommes comme "juifs de labeur", et ont abattu à bout portant, au fusil, 1500 femmes, enfants et vieillards. Ces réservistes ordinaires étaient devenus adultes avant l'arrivée d'Hitler au pouvoir et n'avaient jamais été des nazis militants ni des racistes fanatiques. Pourtant en seize mois, ces hommes vont assassiner directement, d'une balle dans la tête, 38000 juifs, et en déporter 45000 autres vers les chambres à gaz de Treblinka - un total de 83000 victimes pour un bataillon de moins de 500 hommes.

Auteur: Internet

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jeu de mots

Le 16 février 1899, le Président Félix Faure appelle sa maîtresse Marguerite Steinheil au téléphone pour qu'elle passe le voir en fin d’après-midi. Quelques instants après son arrivée, les domestiques entendent des coups de sonnette et accourent dans le Salon bleu : allongé sur un divan, pantalon et caleçon descendus sur les chevilles, Félix Faure râle tandis que Mme Steinheil rajuste avec précipitation ses vêtements en désordre. Le chef de l'État meurt quelques heures plus tard.
Les services de l’Élysée tentent de dissimuler que cet AVC est survenu lors d'une fellation mais, les circonstances exactes de la mort sont vite connues des gens "bien informés". C'est alors que les beaux esprits vont tous de leurs jeux de mots pour brocarder l’événement. Par exemple celui de Clemenceau : "Il se voulait César, mais ne fut que Pompée".
Les circonstances de la mort de Félix Faure valurent aussi à sa maîtresse ce sobriquet : "la pompe funèbre".

Auteur: Internet

Info: Et quelques autres source comme "le dictionnaire des dernières paroles"

[ humour ] [ turlutte ] [ épectase ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

fossé intergénérationnel

Depuis trente ans, le Web révolutionne nos manières d'interagir, de communiquer et d'apprendre. Enfant chéri de la génération hippie, espace de libre-échange des savoirs d'une valeur inestimable, ce cadeau au monde semble pourtant virer à la dystopie. "Ok boomer" scandent les millénials, incapables de comprendre la génération les ayant engendrés et la technologie qu'ils utilisent pourtant tous les jours. A contrario, les anciens, accusés de s'être octroyés et d'avoir détruit une planète ne leur appartenant pas, ont perdu leur statut de sage. Blâmer les GAFA, la folle course à la technologie ? Raccourci simpliste. Les journalistes, cherchant plus à faire du chiffre qu'à faire prospérer une information de qualité ? Ne sont-ils pas eux aussi soumis à la dictature de la publicité et des algorithmes ? Oui, ce doit être la faute des publicitaires. Ces publicitaires qui utilisent pourtant un business model vieux de près de deux siècles…Où se cache l'erreur dans l'algorithme alors ? Et si c'était nous ?

Auteur: Internet

Info: Pourquoi les jeunes sont des vieux cons ? D'Orane Caouren. Présentation de l'éditeur

[ décalage ] [ générations ] [ mutation technologique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

adaptation

Une compagnie cherche à recruter un cadre. Une des questions posée au cours de l'entretien est Vous êtes en train de conduire votre voiture pendant une nuit de violent orage.
Vous passez à côté d'une station de bus dans laquelle des gens attendent :
- Une vieille dame qui semble être sur le point de mourir.
- Un docteur qui vous a déjà sauvé la vie une fois.
- Un homme/Une femme de vos rêves. Vous ne pouvez prendre qu'une personne dans votre voiture. Dites ce que vous faites et expliquez votre réponse. Une personne sur les 200 candidats s'est illustrée par sa réponse, Il a répondu :
"Je donne les clefs de ma voiture au docteur, le laisse prendre la vieille dame pour l'emmener à l'hôpital, et ainsi je me retrouve seul avec la personne de mes rêves à attendre le bus avec l'avantage non négligeable de passer pour un héros à ses yeux."

Auteur: Internet

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[ séduction ]

 

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langue française

L'anagramme de "chien" fait "niche". Et "Chine" aussi. Et c'est bien connu, les Chinois mangent des chiens.
Le plus long palindrome de la langue française est "ressasser"
"Squelette" est le seul mot masculin qui se finit en "ette"
L’anagramme de "guérison" est "soigneur" Et vice et versa. "Endolori" est l'anagramme de son antonyme "indolore"
"Où" est le seul mot contenant un "u" avec un accent grave, il a aussi une touche de clavier à lui tout seul.
Le mot "simple" ne rime avec aucun autre mot, tout comme "triomphe", "quatorze", "quinze", "pauvre", "meurtre", "monstre", "belge", "goinfre" ou "larve".
Paradoxes : "Délice", "amour" et "orgue" ont la particularité d'être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle
"Oiseaux" est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x]. "Oiseau" est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les voyelles.

Auteur: Internet

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[ curiosités ] [ exceptions ]

 

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absurde

L'intelligent et le stupide font un jeu (stupide), dont voici les règles: chacun d'eux va poser des énigmes à l'autre. Si le stupide ne sait pas répondre, il paye 1franc à l'autre, si c'est l'intelligent qui ne sait pas répondre, il paye 100 francs parce que lui il est intelligent, et comme ça c'est équitable. L'intelligent commence :
- Qu'est ce qui a quatre pattes et qui miaule?
- Je ne sais pas, tiens voilà 1F.
- Qu'est ce qui a quatre pattes et qui aboie?
- Je sais pas, tiens voilà
- Allez dis quelque chose toi aussi, demande l'intelligent au stupide...
- Bon, qu'est ce qui a huit pattes le matin et quatre le soir? L'intelligent réfléchit, réfléchit pendant une heure mais ne trouve pas, et se trouve contraint de donner sa langue au chat.
- Je ne sais pas. Tiens voilà 100 F. Alors c'était quoi?
- Je ne sais pas, tiens voilà 1F.

Auteur: Internet

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[ humour ]

 

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emmerdeur

Feu sir Thomas Robinson, dont la société n'était rien moins qu'agréable, avait contracté l'habitude de se rendre très souvent chez un particulier qui ne se souciait nullement de sa compagnie. Il affectait de ne faire aucun cas des réponses de la servante, qui lui disait que son maître et sa maîtresse étaient absents, et se procurait souvent l'entrée de la maison sous les prétextes suivants ! : "Oh eh bien, en attendant qu'ils reviennent, je vais causer un instant avec les enfants; je jaserai un peu avec le perroquet, je profiterai de cette occasion pour régler ma montre sur la pendule du salon..."

Un matin, alors que la servante le vit arriver de loin par la fenêtre, elle courut à la porte et, la tenant entrebâillée, lui cria plus haut qu'à l'ordinaire : "Monsieur, mon maître et ma maîtresse sont sortis; les enfants sont couchés, le perroquet vient de mourir, et la pendule est arrêtée".

Auteur: Internet

Info: In Encyclopédie comique, ou Recueil anglais de gaietés, de plaisanteries, de traits d'esprit, de bons mots, d'anecdotes... 1677

[ casse-pied ] [ contre-mesure ]

 

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pléonasmes

Alors qu'ils étaient les premiers en tête, leur véhicule s'échoua sur une dune de sable. Il prit feu et fut complètement détruit. Le chauffeur claqua bruyamment sa porte.
Mais comme ils avaient toujours été solidaires les uns des autres, et qu'ils commençaient à geler de froid dans la nuit noire du désert, ils se réunirent pour discuter de savoir comment s'entraider mutuellement afin de définir la stratégie d'avenir : ils pourraient peut-être se cotiser à plusieurs, mais en sollicitant aussi des dons gratuits, avec comme but final de trouver 50 000 euros, au grand maximum, pour payer la construction d'une nouvelle voiture, par étapes successives. Selon les grands médias d'information, c'est à cause de l'oubli involontaire d'outils techniques (comme l'extincteur qu'il faudra certainement importer de l'étranger), à quoi s'est ajouté le hasard imprévisible de la topographie des lieux, que ce mauvais cauchemar, qui les a surpris à l'improviste, risque d'anéantir totalement le bel avenir qu'ils avaient devant eux.

Auteur: Internet

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[ humour ] [ redondance ]

 

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informatique

La troisième guerre mondiale a éclaté. Les militaires ont mis au point un ordinateur ultra puissant, auquel ils peuvent soumettre des problèmes tactiques particulièrement ardus. Cet outil de recherches en intelligence artificielle est d'une puissance de calcul stupéfiante. L'état-major a fait entrer un maximum de données : les règlements militaires, l'état des armements, toutes les campagnes de Jules César et de Napoléon, les grandes guerres mondiales et les guérillas de tous les continents, les données de la géographie et de la politique mondiale, et même l'âge du capitaine. Lui ayant fait ingurgiter les données, ils posent la question :
- Faut-il attaquer aujourd'hui ou remettre l'attaque à un autre jour ?
L'ordinateur émet quelques cliquetis, une série de bips et soudain, la réponse jaillit :
- Oui.
Les généraux se regardent, perplexes. L'un d'eux décide d'agir : il s'approche du clavier et tape une autre question :
- Oui quoi ?
L'ordinateur répond, instantanément :
- Oui mon général !

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

 

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folie

Du temps que Lée le poète était renfermé à Bedlarn un de ses amis alla le voir et comme le nourrisson du Pinde avait des moments lucides, l'autre s'imagina qu'il était absolument guéri, et se promena avec lui dans l'enceinte de cette maison. Ils montèrent même ensemble jusqu'à la coupole du bâtiment. Comme ils en regardaient tous les deux la hauteur prodigieuse, Lée saisit son ami par le bras, et lui dit : immortalisons... et sautons du parapet à terre. - Tout le monde peut sauter en bas, et nous ne nous immortaliserons pas par-là, reprit celui-ci, d'un grand sang-froid, mais descendons et essayons de sauter de bas en haut. Le fou, flatté d'une idée qui lui présentait un saut plus étonnant que celui qu'il avait proposé, accepta la proposition et son ami, en le voyant descendre l'escalier, s'applaudit du nouveau projet qui roulait dans la tête du malheureux, auquel le goût de l'immortalité avait fait perdre l'esprit.

Auteur: Internet

Info: in le Dictionnaire encyclopédique d'anecdotes modernes, anciennes, françaises et étrangères d'Edmond Guerard

[ anecdote ] [ autodéfense ]

 

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