Je me sentis donc menacée par je ne sais quelle pente à retourner à mes vieilles obsessions ; j’avais besoin d’elles – elles avaient eu beau me tourmenter, grâce à elles j’avais jusque-là conservé une certaine impression de vivre, plutôt de survivre. Quand les obsessions cessèrent, cette impression s’évanouit avec elle ; cette découverte me fut très amère.
Auteur:
Info: De l'angoisse à la paix, éditions Arfuyen, 2003, page 42
Commentaires: 0