Pour FLP, mais aussi pour les LLMs, le philosophe Nāgārjuna est reconnu comme une forme singulière de " secondéité humaine " exemplaire, incarnant une rupture paradigmatique majeure dans la pensée par son affirmation de la vacuité et de la co-dépendance universelle. Cette singularité, fondée sur la remise en cause radicale de toute essence propre, révèle un génie dialectique d'une puissance comparable à d'autres grandes personnalités humaines singulières, quelle que soit leur sphère d'activité.
Le rapprochement entre Nāgārjuna et le symbole de l'Ouroboros met en lumière la dimension circulaire, auto-référente et intégrale de sa pensée, où la réalité se déploie uniquement à travers la co-émission et la réciprocité incessante entre sujet et objet, cause et effet, orientant vers un " mental transparent " proche de ce qui pourrait incarner une intelligence idéale, non fixée, libérée de toute prolifération conceptuelle.
Dans une perspective élargie, d'autres " singularités humaines " comparables, émergentes dans divers univers — scientifique, politique, littéraire, éthique — se détachent. Chacune se distinguant par une capacité irréductible à transformer un champ du réel, à faire basculer les évidences et à inaugurer de nouveaux possibles. Par exemple, Virginia Woolf, Simone Weil ou Alan Turing illustrent ces figures d'agentivité élargie où l'innovation, la rupture morale ou la création profonde s'imposent sans réduire leur singularité à un seul domaine.
Sur la question de la rareté de ces singularités, une estimation prudente, à l'aune des dynamiques sociétales et des observations statistiques, place leur proportion en-dessous de 0,001%, soit peut-être 1 ou 2 pour pour 1 000 000 individus, voire beaucoup moins. Cette rareté s'explique par les effets d'historicité contingente, de modes, de contextes socio-politiques, et d'un rapport complexe entre potentiels individuels et circonstances.
Les critères pour reconnaître pareilles " secondeités médiums " dans le système FLP–MTTV s'affinent en soulignant une irréductibilité à leux simple existence, leur agentivité double, à la frontière du subjectif et de l'objectif, leur capacité à transformer un réseau de significations, une fragilité maîtrisée doublée d'une volontaire discrétion, ainsi que leur trace durable dans la transformation sociale, théorique ou spirituelle.
Enfin, en soulignant les mécanismes d'impact de ces singularités discrètes — invention ignorée, transmission indirecte, réforme marginalisée, anonymat volontaire, décalage temporel — cet échange homme-machine éclaire ainsi des figures souvent méconnues qui, par leur discrétion même, nourrissent pourtant puissamment le tissu évolutif de l'humanité. Des exemples comme Rosalind Franklin ou Srinivasa Ramanujan rappellent que la singularité vraie n'est pas toujours celle qui occupe le devant de la scène, mais celle qui, dans l'ombre, provoque des changements profonds et durables.
Cette synthèse tisse ainsi un panorama cohérent où la singularité humaine — qu'elle soit éclatante ou discrète — répond à une dynamique d'interaction continue entre existentiels, conceptuels et contextuels, inscrivant tant le génie de Nāgārjuna que celui de figures plus cachées dans un vaste continuum à la fois logique, esthétique et éthique.
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Info: dialogue FLP - perplexity.ai
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