Partir, partir, partir, voilà ce qu’il me fallait faire. Mais ensuite, quand je retrouvais mon calme, il m’apparaissait que les hommes font leur malheur par incapacité de se contenter de ce qu’ils ont. On finit par haïr ce qui nous entoure, alors qu’on était bien tranquille, et l’on se jette dans l’inconnu.
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Info: Non-lieu, Editions Archipoche, Paris, 2025, page 273
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