On l'aime beaucoup à Bagdad, le vieil Abou Nawas (Abû-Nuwâs), et certains des Irakiens que j'ai rencontrés lors de mes précédents séjours m'ont invité à lire celui qui fut à leurs yeux l'un des plus grands poètes arabes, voulant me montrer que leur pays était encore capable de tolérance. Mais quel Irakien oserait encore réciter publiquement aujourd'hui ses poèmes qui parlent de vin, de cul, de baise, et se moquent de la religion avec une liberté folle ?
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Info: Une guerre sans fin
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