Bernanos ne fait rien d’autre que de dilater, lui aussi, quelque chose, à savoir ce qu’il appelle la "vie intérieure", c’est-à-dire Satan. Tous ses romans sont une manière de procéder à la dilatation de quelque chose qu’il voit refoulé par le monde qui lui est contemporain. Ce quelque chose, il l’appelle le diable, il écarte plus ou moins tout le reste pour remplir la place avec ça, et c’est évidemment le négatif, la négativité.
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Info: Ultima Necat, tome 1, Les Belles Lettres, 2015, 28 février 1981
Commentaires: 4
Coli Masson
16.09.2025
Je ne vois pas le rapport.
miguel
15.09.2025
Parce que ça me fait penser à ça " Mâle le Non, il regarde la femelle. " De René Daumal
Coli Masson
15.09.2025
Euh.... pourquoi tu me sors ça tout d'un coup ?