anthropocentrisme

Une considération surtout qu’il ne faut point perdre de vue, c’est que si l’on bannit l’homme ou l’être pensant et contemplateur de dessus la surface de la Terre, ce spectacle pathétique et sublime de la nature n’est plus qu’une scène triste et muette.

L’univers se tait ; le silence et la nuit s’en emparent. Tout se change en une vaste solitude où les phénomènes inobservés se passent d’une manière obscure et sourde. C’est la présence de l’homme qui rend l’existence des êtres intéressante.

Auteur: Stenger Gerhardt

Info: Diderot, p. 133

[ priméité miroir ]

 

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