Le sentiment du sacré est donc partout lié à notre capacité de dépassement de nous-mêmes et d’ouverture au mystère. […] un simple morceau de pain suffit à éveiller le frisson du sacré si nous voyons en lui l’aliment de la vie, le support de l’âme et le fruit conjugué de la sueur de l’homme et de la bonté de Dieu.
Auteur:
Info: Notre regard qui manque à la lumière, Librairie Arthème Fayard, 1970, page 81
Commentaires: 6
Coli Masson
14.04.2025
Tu feras attention la prochaine fois !
miguel
14.04.2025
ah ah ah, bonne question
Coli Masson
19.10.2024
Thibon était catholique. Mais merci pour la précision concernant l'usage du pain chez les protestants. C'est de la baguette ou du pain de campagne ?