Le sentiment du sacré est donc partout lié à notre capacité de dépassement de nous-mêmes et d’ouverture au mystère. […] un simple morceau de pain suffit à éveiller le frisson du sacré si nous voyons en lui l’aliment de la vie, le support de l’âme et le fruit conjugué de la sueur de l’homme et de la bonté de Dieu.
Auteur:
Info: Notre regard qui manque à la lumière, Librairie Arthème Fayard, 1970, page 81
Commentaires: 8
Coli Masson
09.05.2025
ça devait être goûteux.
miguel
08.05.2025
Mon gd-père utilisait du pain coupé en petits carrés, si g bonne souvenance. Venant il me semble de pain noir, au kilo. ;-)
Coli Masson
14.04.2025
Tu feras attention la prochaine fois !