J’adore les hérissons. Quand j’en vois un, je le mets dans ma poche, dans mon mouchoir.
Naturellement il pisse, jusqu’à ce que je l’aie ramené sur ma pelouse, à ma maison de campagne.
Et là j’adore voir se produire ce plissement des peauciers du front.
À la suite de quoi, tout comme nous, il se met en boule.
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Info: La Troisième, 1er novembre 1974
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