Lire Tourgueniev (même La Fumée, mais sûrement pas La Friche), c’est comme boire de l’eau vive. Et pourtant, dans le monstrueux remue-ménage des romans de Dostoïevski, on trouve disséminés des joyaux dont Tourgueniev est à mille lieues de soupçonner qu’on puisse en faire naître de tels. C’est là que réside la vraie grandeur de Dostoïevski.
Auteur:
Info: Extrait du "Journal" dans "Dostoïevski vivant", trad. du russe par Raïssa Tarr, éditions Gallimard, 1972, page 448
Commentaires: 0