Le temps : c'est la complexité qui se développe, souvent organique. Les mots : des univers mathématiques symbolisés.
Le mélange des deux : points de vues sémantiques humains, issus de perspectivismes limitants.
Problème : si les mots sont des mondes, la diachronie nous montre qu'ils glissent au fil du temps, changent de sens ("quelqu'un" devient "personne", etc ) et par là même induisent tout un tas de biais dans nos raisonnements.
De plus nos idiomes sont dépendants d'une logique trop simple, boléenne, donc incapables constituer une continuité acceptable en terme scientifique.
En ce sens il est évidemment difficile et dangereux d'user (de citer) des pensées issues de collègues homo sapiens non contemporains. Sauf éventuellement si elles abordent les rapports entre humains.
Ici alors on pourra éventuellement étudier notre évolution propre, et probablement l'égarement que représente l'anthropocentisme primaire qui aura piloté tant de philosophies, et les langages, de l'humanité.
La tétravalence montrée par le carbone est-elle la voie ?
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Info: 28.7.2023
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