La prudence, c’est la vertu des jours heureux, des périodes prospères. Quand on se trouve bien à l’abri, pourquoi diable aller dehors chercher le risque ? Mais lorsque le risque vient à nous, il s’agit premièrement de lui faire face, puisqu’il serait encore plus dangereux de lui tourner le dos. La prudence n’est alors que l’alibi des lâches.
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Info: Dans "La liberté, pour quoi faire ?", éditions Gallimard, 1995, page 245
Commentaires: 2
Coli Masson
23.09.2022
D'accord.
miguel
23.09.2022
affronter