Al-Mansur avait utilisé le luxe comme une arme de propagande politique, ‘Abd al-Malik, lui, s’y complaisait avec excès comme tous ceux qui l’entouraient et l’on dit qu’à Cordoue, jamais il n’y eut plus grand commerce de soieries et de métaux précieux que durant les sept années qui précédèrent le désastre.
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Info: Cordoue des Omeyyades p. 199
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