Je demeurai des milliers d'années sans penser à ma véritable nature : un fossile vivant, une survivance.
Aussi suis-je comme ce jardin, comme ces bosquets où nous nous promenons. Au fond, à l'intérieur, vous ne trouveriez qu'une vieille chose desséchée, un cadavre, incapable d'émerveillement. Car le charme du monde réside dans l'ignorance et la découverte, l'exploration, le désir.
Auteur:
Info: La Nuit du faune
Commentaires: 0