Ma vie.
Il m'a fallu longtemps pour te rejoindre
au cœur du plaisir mûr, silencieuse découverte.
Maintenant je te connais, tu es douce-amère
Peut-on consoler l'arbre vert qui se dessèche ?
Je glisse vers une mer sans soleil,
perdu au milieu d'oies sauvages et de roseaux.
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Info: Feu nomade et autres poèmes
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