[...] tout mouvement psychophysique qui passe le seuil de la conscience est affecté de plaisir dans la mesure où, au-delà d’une certaine limite, il se rapproche de la stabilité complète, et affecté de déplaisir dans la mesure où il s’en éloigne au-delà d’une certaine limite ; entre ces deux limites que l’on peut caractériser comme seuils qualitatifs du plaisir et du déplaisir, il subsiste une certaine zone d’indifférence esthétique.
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Info: Quelques idées sur l’histoire de la création et du développement des organismes (1837)
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