[...] si le poème renvoie à quelque chose, c’est toujours à RIEN, au terme néant, signifié zéro. C’est ce vertige de la résolution parfaite, qui laisse parfaitement vide la place du signifié, du référent, qui fait l’intensité du poétique.
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Info: Dans "L'échange symbolique et la mort", éditions Gallimard, 1976, page 328
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