On ne trouve ni goût ni consolation dans les choses divines, ni dans les choses créées… On garde pourtant le souvenir de Dieu, avec une sollicitude et un souci pénible : on craint de ne pas le servir… On ne parvient pas à méditer en recourant au sens de l’imagination, car Dieu commence à se communiquer, non plus par les sens, comme avant, au moyen du raisonnement, mais d’une façon plus spirituelle, par un acte de simple contemplation.
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Info: Nuit obscure, l. i, c. 9
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