C’est pourquoi la machine à calculer doit être logique autant qu’arithmétique, et doit combiner les éventualités selon un algorithme systématique. Là où de nombreux algorithmes pourraient être utilisés, le plus simple d’entre eux est connu comme l’algèbre de la logique par excellence, l’algèbre booléenne. Cet algorithme, comme l’arithmétique binaire, est basé sur la dichotomie, le choix entre oui et non, entre appartenir à une classe et ne pas lui appartenir.
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Info: La cybernétique. Information et régulation dans le vivant et la machine. Paris : Éditions du Seuil, "Sources du savoir". 2014. A propos de la machine de Türing
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