Dans ce monde désorbité, le vrai révolutionnaire est celui qui ne rougit pas de rester fidèle aux vérités éternelles. Celui qui a le courage de contester la folie contestataire et qui, armé de sa solitude et de sa foi, ose remonter la pente visqueuse où dévalent les moutons de Panurge.
Auteur:
Info: Dans "L'équilibre et l'harmonie", Librairie Arthème, Fayard, 1976, page 207
Commentaires: 0