Avec Pandore s’introduit la division sexuelle et le rapport entre naissance et mort. C’est-à-dire, malgré tout, l’avènement de l’humain. Fin de l’Un-sexe, de l’indistinction du père et de la mère archaïque (car c’est bien de Gaïa, Terre-Mère, que sort Ouranos, qui la fécondera pour engendrer monstres et Titans). Or, avec la scission et l’altérité s’insinue la possibilité de la discorde, du non-sens, tout comme l’effort constant pour restaurer l’unité en péril. Chaos et Cosmos, dualité primordiale qui renforce une autre opposition, entre démesure et justice (Dikè).
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