Plus que le rire, la station debout ou le pouce opposable, le propre de l’homme est de vivre à l’intérieur des fictions qu’il se crée (fictions intimes, familiales, collectives, historiques qu’il bâtit comme il bâtit des cabanes où s’abriter) et d’en construire sans cesse de nouvelles, auxquelles il s’efforce de trouver un sens, une ligne directrice qui, par d’obscurs détours, viendrait éclairer sa propre vie.
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Info: Patagonie dernier refuge
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