Or, si chacun se mettait à réfléchir calmement, honnêtement, écrivait son problème en détail, en sachant qu’il sera entendu – c’est ça l’essentiel, savoir que quelqu’un vous écoute – alors il s’écouterait avec une partie de lui-même qui serait beaucoup plus lucide que celle prise dans le maelström de l’angoisse, de l’inquiétude, du problème aigu.
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Info: Dans "Lorsque l'enfant paraît", tome 2, éditions du Seuil, 1978, page 8
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