Il y a quelque chose de dur dans la politique, quelque chose qui est de l’ordre de la colère. Platon compare quelque part les lois à un vieillard en colère, à un vieillard obstiné qui dit toujours la même chose sans envisager les circonstances avec l’esprit ouvert.
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Info: Dans "Sur le Banquet de Platon", trad. Olivier Sedeyn, éditions de l'éclat, Paris-Tel Aviv, 2006, page 21
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