(…) Je conclus que si le pouvoir corrosif des mots avait quelque fonction créatrice, c’est dans la beauté formelle de ce "corps idéal" qu’il devait trouver un modèle, et que l’idéal, dans les arts du verbe, devait reposer uniquement sur l’imitation de cette beauté physique, en d’autres termes, sur la poursuite d’une beauté exempte absolument de toute corrosion.
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Info: Le soleil et l’acier, 1968, trad. Tanguy Kenec’hdu, éditions Gallimard, coll. Du monde entier, 1973, éditions Gallimard, coll. Folio, 1993
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