Car il n’est rien qui puisse me satisfaire ;
La nouveauté, sur terre, est si tôt défraîchie ;
Je me sens aspiré sans cesse vers le haut, plus détaché,
Proche de plus en plus de la splendeur solaire.
Auteur:
Info: Poème Icare in Le soleil et l’acier, 1968, trad. Tanguy Kenec’hdu, éditions Gallimard, coll. Du monde entier, 1973, éditions Gallimard, coll. Folio, 1993
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