Quand mon cœur s’assombrit, quand l’orgueil m’abandonne,
Quand je voile ma face aux visages rieurs,
Je pense à toi, Léman, pur miroir où l’automne
Rajeunit son mirage en le baignant de pleurs.
Léman, ami de ceux que l’espoir abandonne.
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Info: Dans "La berline arrêtée dans la nuit"
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