[…] que chacun de nous s’occupe plus activement de sa propre névrose que de celle du prochain.
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Info: Dans la "Correspondance Jung-Freud, tome 2 : 1910-1914", trad. de l'allemand et de l'anglais par Ruth Fivaz-Silbermann, éd. Gallimard, 1975, lettre du 5 décembre 1912
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