En ce qui concerne la garde-robe, j’emporte en plus des costumes de voyage, un frac et un habit. Le premier est probablement superflu. Pour le voyage en bateau, ne pas oublier un bon manteau. Il vaudrait mieux acheter les chapeaux hauts-de-forme là-bas, car ils sont difficiles à transporter ; et ensuite, avant de repartir, les jeter dans l’océan.
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Info: Dans "Correspondance Freud-Ferenczi 1908-1914", trad. par le groupe de traduction du Coq-Héron, composé de Suzanne Achache-Wiznitzer, Judith Dupont, Suzanne Hommel, Christine Knoll-Froissart, Pierre Sabourin, Françoise Samson, Pierre Thèves, Bernard This, Calmann-Lévy, 1992, lettre du 4 juillet 1909
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