Un des murs du bureau est couvert de livres. Il s'arrête devant eux. Il cherche jusqu'à ce qu'il ait trouvé celui qu'il désire. C'est . (...) Il ne faut pas longtemps. Bientôt le joli langage galopant, la langueur anémique pleine d'arbres sans sève, de débauches déshydratées, commence à flotter, douce, rapide et paisible. Cela vaut mieux que la prière, et l'on n'a pas à se préoccuper de penser tout haut. Il lui semble écouter, dans une cathédrale, un eunuque psalmodier dans une langue qu'il n'a pas besoin de ne pas comprendre.
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Info: Lumière d'août
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