Alors il réalisa cette pensée : on supporte sa solitude tant qu’il y a quelqu’un qui souffre de ne pas vous avoir avec lui, alors que la vraie solitude est une cellule intolérable. Je te plains, petite maman. Il suffisait de répéter ces mots, et la nuit devenait douce.
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Info: Dans "Avant que le coq chante", La prison, trad. Nino Frank, éd. Gallilmard, 1953, page 187
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