Le monde était un camaïeu de couleurs sales, de toutes les nuances de la merde. Le monde était une puanteur d’odeurs caustiques qui faisaient couler son nez et pleurer ses yeux. Le monde était une menace indéfinissable qui faisait courir sur sa peau des caresses gluantes et froides de limaces.
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Info: Dans "Tous à Zanzibar", trad. Didier Merle, Librairie Générale Française, 1995, page 623
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