J'aimerais bien faire un film dont l'histoire aboutirait à une succession sans fin de plans extrêmement quotidiens, des battements dont on sortirait quand on voudrait. Ça battrait à l'infini, n'aurait pas de sens ; ça n'aurait que le sens de cette multitude-là.
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Info: Cité dans "Passage du cinéma, 4992", éd. Ansedonia, p. 448 - tiré d'un entretien publié dans "Positif", n.456, février 1999
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