On dirait que le langage même de nos parloirs perd de son énergie pour dégénérer tout à fait en parlote, tant nos existences passent loin de ses symboles, tant nécessairement ses tropes et métaphores sont apportés de loin, par des passes et monte-plats, pour ainsi dire ; en d’autres termes, tant le parloir est loi de la cuisine et de l’atelier. Le dîner même n’est, en général, que la parabole d’un dîner.
Auteur:
Info: Walden ou La vie dans les bois
Commentaires: 0