partou ia desoizo dan larbr ifon in rafu iboufe lenoizete ia in vandchiin vla liver qi staye epil botan qiva samene onva ale ochanpignon onvera biin si iorapa dpapi yon dchou liver ian napa dpapi yon iariinq demite dlamite ian na toultan dlamouch ian naancor pabocou detoile daregne on nan na plinlaguele
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Info: In "Plu kifekler mouinkon nivoua", éd. Lettres Vives, p. 26-29 - où l'on voit que Kati Molnar maîtrisait beaucoup mieux le français phonétique que Dubuffet
Commentaires: 4
Benslama
30.03.2020
Sur le in/un, je suis assez d'accord... mais je me rappelle avoir été choqué de constater que nombre de personnes, en fait, prononcent l'article indéfini "un" de la même manière que le préfixe "in" (rendant indiscernables des expressions telles que "un dépendant" et "indépendant") - pour moi qui vient du Sud, il y a là une offense au bon parler (mais la manière dont je prononce les "o" produit des effets similaires chez mes amis "nordistes" - vous savez : "la rose", évoquée par un marseillais...) (je précise que je ne suis pas marseillais - j'ai fait mes études à Montpellier)
Coli Masson
29.03.2020
le "in" qui doit être lu "un" n'est pas intuitif non plus. Merci pour l'ouverture.
Benslama
29.03.2020
Oui - il aurait dû au moins placer des accents sur les "e" pour différencier les sons "é" et "eu" - "demite", c'est "des mites", mais il faut faire un effort pour comprendre... Kati Molnàr, qui a une formation en linguistique, et qui a réfléchi à ces questions, a élaboré une écriture beaucoup plus lisible, dans "quant a je", et aussi "konférens pour lé zilétré"...